Le Bouddhisme

Auteur : Gaston-Eugène de Lafont

Éditeur : Dualpha

Collection : Patrimoine des religions

ISBN : 9782353745432

Nombre de pages : 196

Date de parution : 10 juillet 2021

Format : Livre

21,80 TTC

Préface de Sar Peladan.

On a beaucoup disserté sur l’art d’écrire l’histoire : combien l’art de traiter des religions, implique encore plus de qualités diverses ! Ici, le gentilhomme a gardé les belles bienséances de sa race, et ni l’oriental, ni le chrétien n’y sont froissés, à aucun endroit. Esprit scientifique pour la méthode, ému et artiste dans la compréhension des textes, Le comte de Lafont n’a fait ni œuvre enthousiaste aveuglément, ni œuvre impersonnelle et glacée.

Description

(Précédé d’un) Essai sur le Védisme et le Brahmanisme.

Préface de Sar Peladan.

« C’est nuire à sa propre croyance que de croire l’exalter, en décriant les croyants des autres Sectes » Édit du roi Açoka, 265 av. J.-C.

Ce livre a été écrit parce que « les religions seulement sont intéressantes, en ce monde et que son auteur, à la fois très actif et très cultivé, après de grands voyages et de grandes lectures, après avoir cassé les reins aux panthères et coupé les tiges des roses à la balle, pour se distraire, n’a trouvé sa vraie et haute, distraction que dans ces matières sacrées et lointaines. Il faut montrer l’écrivain pour préparer un livre : surtout en une matière où le fanatisme de la négation se montre souvent aussi odieux que celui de la foi. »

Esprit scientifique pour la méthode, ému et artiste dans la compréhension des textes, Le comte de Lafont n’a fait ni œuvre enthousiaste aveuglément, ni œuvre impersonnelle et glacée.

On a beaucoup disserté sur l’art d’écrire l’histoire : combien l’art de traiter des religions, implique encore plus de qualités diverses ! Ici, le gentilhomme a gardé les belles bienséances de sa race, et ni l’oriental, ni le chrétien n’y sont froissés, à aucun endroit. M. Gaston de Lafont a vu que le Boudhisme ne s’expliquait pas sans ses antécédences, qu’il fallait montrer la stratification religieuse des deux couches précédentes, le Védisme et le Brahmanisme avant de raconter la vie et d’exposer la doctrine de Cakya‑Mouni. La première conséquence des études indianistes se manifeste par un peu d’impatience et de colère contre Israël ; cet usurpateur des biens terrestres usurpe dans la mémoire humaine, la place de plus grands que lui et le geste initial du savant repousse l’hébreu, pour le rentrer à son plan, de petit peuple, admirable seulement par la prodigieuse écriture de ses annales, où l’esprit occidental a trouvé des allégories si humaines et si précises qu’il les a adoptées, comme ses images usuelles.

Partager

Informations complémentaires

Auteur(s)

Editeur

Collection

Patrimoine des religions

Format

Livre