L’enrôlement des animaux durant les guerres

Auteur : Jill Manon Bordellay

Éditeur : Dualpha

Collection : Patrimoine des héritages

Format : Livre

14,22 TTC

Préface de Michel Quinton, postface de Jocelyne Donsanti

Les commémorations successives des tués pour la France pendant les deux guerres du XXe siècle ont oublié de parler des 11 millions d’animaux morts lors de la Grande Guerre.

Déjà, dans l’Antiquité, les animaux sont présents sur les scènes de guerres comme destriers ou ressources inépuisables qui fournissent laine, cuir, chair, cornes… Qu’ils aient été à deux ou quatre pattes, à nageoires, qu’ils aient eu des poils, des plumes ou des écailles, ils ont servi les hommes dans leurs guerres et surtout pour la paix qu’ils préfèrent. Car les animaux ne sont pas guerriers, même s’ils se battent ponctuellement pour un territoire ou obtenir les faveurs d’une femelle. Les animaux ont partagé nos vies depuis toujours pour le meilleur et pour le pire ; ils ont supporté notre folie meurtrière. Leurs efforts, leurs vies n’ont jamais été épargnées.

 

Description

Préface de Michel Quinton, postface de Jocelyne Donsanti

Les commémorations successives des tués pour la France pendant les deux guerres du XXe siècle ont oublié de parler des 11 millions d’animaux morts lors de la Grande Guerre.

Durant les guerres, les animaux ont payé un lourd tribut : un nombre incroyable de chevaux, d’ânes, de mulets ont été réquisitionnés ; 100 000 chiens et 200 000 pigeons, de 1914-1918, ont porté, tiré, guetté, secouru, informé et ont vécu un enfer, tout comme les soldats qu’ils accompagnaient. Le pigeon Cher Ami a ainsi sauvé la vie de 194 soldats en octobre 1918.

Pendant la IIe Guerre mondiale, l’ours Wojtek (1942-1963), adopté par l’armée polonaise, a aidé à transporter les munitions lors de la bataille de Monte Cassino. Cet ours aimait boire de la bière et fumer des cigarettes avec les soldats.

Déjà, dans l’Antiquité, les animaux sont présents sur les scènes de guerres comme destriers ou ressources inépuisables qui fournissent laine, cuir, chair, cornes… Qu’ils aient été à deux ou quatre pattes, à nageoires, qu’ils aient eu des poils, des plumes ou des écailles, ils ont servi les hommes dans leurs guerres et surtout pour la paix qu’ils préfèrent. Car les animaux ne sont pas guerriers, même s’ils se battent ponctuellement pour un territoire ou obtenir les faveurs d’une femelle.

Les animaux ont partagé nos vies depuis toujours pour le meilleur et pour le pire ; ils ont supporté notre folie meurtrière. Leurs efforts, leurs vies n’ont jamais été épargnées.

Jill Manon Bordellay, Professeur certifié de Philosophie, Docteur en Philosophie et en Littératures comparées et en Psychologie. Collaboratrice à l’Encyclopédie Universalis, différentes revues d’Art, de psy­cho­logie et des revues « alternatives végétariennes » et « Droit animal éthique et sciences ». Elle collabore au site EuroLibertés et au Petit journal de Valence, de Lisbonne, de Milan et de Berlin.

 

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Informations complémentaires

Auteur(s)

Editeur

Collection

Patrimoine des héritages

Pages

104

Prix

15

Date

10/05/2021

Format

Livre

Isbn/Ean

9782353745364