Les gloires du Judo français

Auteur : Catherine Gravil

Éditeur : Atelier Fol'Fer

Collection : Xénophon

ISBN : 9782357910966

Nombre de pages : 189

Date de parution : 10 octobre 2017

Format : Livre

18,96 TTC

Ni un documentaire, ni une tranche de vie, ni un mémorial, simplement un livre de portraits sur des hommes qui offrent à tous les amateurs de judo, le moyen de comprendre l’énigme humaine qui fait de certains d’entre eux des champions. Vous y trouverez des judokas exemplaires dont le judo est qualifié pour chacun de technique, puissant, traditionnel, élégant, stratégique, agressif, flamboyant, pétillant, tactique. Trouvez à qui peuvent s’appliquer ces qualificatifs en lisant ce livre de Catherine Gravil.

Description

Cet ouvrage est un regard surtout empathique sur douze merveilleux judokas. Ce n’est ni un documentaire, ni une tranche de vie, ce n’est pas non plus un mémorial. C’est un livre de portraits sur des hommes qui offrent à tous les amateurs de judo le moyen de comprendre l’énigme humaine qui fait de certains d’entre eux des champions. Parce que tout ne s’explique pas seulement par la force physique. Ces coups d’œil en arrière n’empêchent pas d’aller de l’avant, bien au contraire, ils expliquent le présent.

Le judo a son langage, un parler pointu, une langue vernaculaire dont seuls les initiés comprennent l’esprit et l’image. Le judo se réinvente sans cesse. Chacun vit son judo différemment, il se conjugue au singulier et se dispute au pluriel. Il y a le judo technique d’Henri Courtine, le seul 8e dan français, le judo puissant de Pierre Albertini, l’élégant de Guy Auffray, le stratégique de Jean-Luc Rougé, le fonceur de Jean-Paul Coche, le pétillant de Patrick Vial, le traditionnel de Jean-Claude Brondani, l’agressif de Serge Feist, le flamboyant d’Angelo Parisi, le tactique de Fabien Canu, l’opportuniste de Thierry Rey, le rapide de Bernard Tchoullouyan… C’est toujours un danger de se raconter, mais ces douze grands champions n’ont pas hésité, chacun avec ses anecdotes, sa façon personnelle de concevoir sa passion, de la vivre ou de l’avoir vécue. Chacun dans son intimité et son émotion.

« Cet ouvrage est un regard surtout empathique sur douze merveilleux judokas. Ce n’est ni un documentaire, ni une tranche de vie, ce n’est pas non plus un mémorial. C’est un livre de portraits sur des hommes qui offrent à tous les amateurs de judo le moyen de comprendre l’énigme humaine qui fait de certains d’entre eux des champions. Parce que tout ne s’explique pas seulement par la force physique. Ces coups d’œil en arrière n’empêchent pas d’aller de l’avant, bien au contraire, ils expliquent le présent.

Le judo a son langage, un parler inconnu, une langue vernaculaire dont seuls les initiés comprennent l’esprit et l’image. Le judo se réinvente sans cesse. Chacun vit son judo différemment, il se conjugue au singulier et se dispute au pluriel. Il y a le judo technique d’Henri Courtine, le seul 8e dan français, le judo puissant de Pierre Albertini, l’élégant de Guy Auffray, le stratégique de Jean-Luc Rougé, le fonceur de Jean-Paul Coche, le pétillant de Patrick Vial, le traditionnel de Jean-Claude Brondani, l’agressif de Serge Feist, le flamboyant d’Angelo Parisi, le tactique de Fabien Canu, l’opportuniste de Thierry Rey, le rapide de Bernard Tchoullouyan… C’est toujours un danger de se raconter, mais ces douze grands champions n’ont pas hésité, chacun avec ses anecdotes, sa façon personnelle de concevoir sa passion, de la vivre ou de l’avoir vécue. Chacun dans son intimité et son émotion » (Boutique Judo, la boutique de la Fédé).

 

Catherine Gravil est journaliste. Elle a travaillé pour différents journaux nationaux et des magazines sportifs. Elle est également l’auteur de quatre ouvrages : Paroles de croyants (éditions Via Romana), D’où viens-tu forain ? (éditions Jacob-Duvernet), Django Reinhardt et l’histoire de la Chope des Puces (éditions Didier Carpentier) et Vainqueurs aux poings (éditions de Paris Max Chaleil).

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