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Vengeances de femmes
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Portrait-Gofman-Patrick-dessin-Redon

Entretien avec Patrick Gofman, auteur de Vengeances de femmes aux éditions Dualpha.

Propos recueillis par Philippe Chanteloup, publiés sur le site de la Réinformation européenne Eurolibertés).

« Les femmes ont mille façons

d’attraper les pauvres garçons »

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Couv Vengeances femmes

Vos titres, Dr Patrick and Mr Gofman, semblent s’entrechoquer. Vous avez publié Bats ta femme tous les jours, mais aussi Vengeances de femmes… Et le Dictionnaire des emmerdeuses !

Vous voulez dire qu’une nuit je choisis le parti des unes, et le lendemain le camp des autres ? Eh bien ! C’est vrai. Mais n’oubliez pas qu’un être humain, c’est un homme ET une femme ! Unis, solidaires. Ils se trouvent quelque part dans les saintes Écritures, me rappelait souvent le regretté Serge de Beketch. Et de plus, je suis constant – depuis les années 1970 à l’université de Caen – dans ma résistance à l’abominable féminisme, qui mobilise à peu près autant de dizaines de paltoquets que de douzaines de pécores…

Il y a tout de même une ribambelle de criminelles épouvantables, parmi vos vengeresses ?

Épouvantables, car humaines. Telle est la nature des femmes, que certaines variantes du féminisme présentent comme angéliques et inoffensives. Elles peuvent concurrencer les hommes dans l’horreur. Je viens de découvrir (trop tard pour l’aligner dans la 3e édition de Vengeances de femmes) Jodi Arias, « Latina » qui fascine l’Amérique du Nord depuis 2008, époque à laquelle elle a troué vingt-sept fois, au couteau, la peau d’un WASP (White Anglo-Saxon Protestant) qui la traitait – et la dénommait – ouvertement en bête à plaisir, entre deux exégèses de la Bible mormone.

Vous ne faites pas l’apologie du crime féminin ?!

Rassurez-vous : je pense que, comme toute femme bafouée, Jodi Arias avait le droit de se défendre et de se venger, en proportion des affronts subis. Elle ne s’est d’ailleurs pas privée d’abord de crever les pneus du goujat, ni d’offenser ses amis… Mais la charcuterie, je suis contre.

On constate en effet que vos (cinquante) personnages manient plus souvent l’humour que la hache…

Dieu merci ! « Les femmes ont mille façons d’attraper les pauvres garçons ». Elles les ont élaborées dans un rapport des forces défavorable, en aiguisant d’abord leurs langues. Voyez, dans mon livre, cette hôtesse de l’air qui mouche d’un mot le boxeur Cassius Clay alias Mohamed Ali. La comtesse de Mascaret qui jure sur l’autel au comte qu’il est cocu. Cette duchesse qui se prostitue pour déshonorer son mari. Bref, cinquante recettes de vengeance bien salées !

Vengeances de femmes de Patrick Gofman, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 3e édition, 168 pages, 21 euros.

Pour obtenir ce livre, cliquez ici.
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Couv Diverses droites

Les autres livres disponibles de Patrick Gofman

Diverses droites
Éditions Déterna
232 pages, 24 euros.
Patrick Gofman a apprit à se battre dans la même école (trotskiste) de gladiateurs que MM. les camarades Lionel Jospin (ex-Pre­mier ministre PS), Jean-Christophe Cambadélis (ex-n° 2 du PS), etc. On le voit en lisant ou relisant dans Diverses droites ses billets d’humeur pour le quotidien Le Français (1994-1995), l’hebdomadaire Minute (2000-2002) et le décadaire Le Libre Journal de Serge de Beketch † (de mars 2002 à octobre 2007) : mauvaise foi, acharnement, violence d’un autre temps, parfois censurée par ses em­ployeurs (mais restituée dans ce livre), coups redoublés sur des clous comme « Franc Sphincter », « l’inspecteur Œil-Dæninckx », les « socialauds »… formules grossières et meurtriè­res qu’il a juré, sans modestie, de faire passer dans l’usage courant… 232 pages, 24 euros.

Pour obtenir ce livre, cliquez ici.
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Couv Jim Jules

Headline goes here.

Jim & Jules
Éditions Dutan
118 pages, 17 euros.
(roman noir, suivi de cinq nouvelles obscures)
Dans l’affaire Jim et Jules, petits spectres de Jules et Jim (roman de Henri Pierre Roché, 1953 ; film de François Truffaut, 1962), tout commence et tout finit à Bénodet, charmante station balnéaire du Finistère-Sud, en Bretagne. Comme son nom l’indique, Bénodet se trouve à l’embouchure de l’Odet, rivière ombreuse qui traverse d’abord, quinze kilomètres plus haut, Quimper, chef-lieu du département (et non Brest comme on le croit souvent). On pourrait dire que le torrent de larmes évaporées en 1970 dans cette localité a plané en nuage quinze ans au-dessus d’elle, avant de crever et d’y retomber en pluie de sang…

Pour obtenir ce livre, cliquez ici.
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