Votre essai ne serait-il pas une philippique contre l’islam ? Il serait plutôt une supplique adressée à la France incertaine et incapable de gérer l’islam depuis déjà quelques présidences. Incapable, aujourd’hui, de contrer les divers pactes internationaux signés au profit de l’islam et des migrants au Caire, à Istambul et à Marrakech. Mais c’est aussi, bien sûr, une polémique contre l’islam, dont il s’agit de signaler tous les stigmates qui marquent notre cher pays. Il n’est plus possible de rester neutres face à des logiques qui ne nous sont malheureusement plus étrangères. Celles-ci irradient notre société dans tous ses recoins les plus officiels comme les plus intimes. Nous sommes donc confrontés au Coran – aux musulmans par conséquence directe – qui bouleverse par ses ordres sacrés nos codes de vie institutionnels, sociaux, culturels et cultuels. Ces commandements divins venus d’un autre monde ou d’un autre ciel sont une véritable récitation imposant la guerre et le meurtre. La soumission des musulmans au Coran étant littéralement effective, nous sommes en droit de nous interroger sur notre avenir immédiat et lointain. N’évoquez-vous pas là l’islamisme et non pas l’islam modéré ? Il n’y a pas d’islam ouvert ni d’islamisme assassin ; le mot islamisme a été intelligemment inventé pour dédouaner l’islam de tous les actes fous commis par les musulmans. En effet, l’islam et l’islamisme ne font qu’un puisque l’un comme l’autre puisent leur foi dans le même Coran et face à ces logorrhées insupportables et meurtrières envers les chrétiens, les juifs et les mécréants nous comprenons aisément que la France est bien concernée, bien visée. Elle commence à prendre réellement conscience de ce phénomène, mais elle se laisse encore bercer par le rythme annihilant d’une société libertaire et hédoniste. Elle s’adonne presque endormie aux délices des petites libertés plaisantes en oubliant cette liberté singulière, celle-là même pour laquelle nous pouvons consentir à nous faire tuer pour la défendre. Certes, mais alors comment comprendre tous ces musulmans français parfaitement intégrés à notre pays ? Vous touchez là à toute l’ambiguïté de l’homme avec l’islam. La réponse est dans le Coran : « Allah vous a prescrit certes de vous libérer de vos serments. Allah est le maître ; et c’est lui l’Omniscient, le Sage » (Sourate LXVI, verset 2). Je rends tout d’abord hommage à nos combattants musulmans qui ont combattu à nos côtés – ce ne fut d’ailleurs pas le cas de tous les Français – dans nos combats contre le communisme en Indochine, contre le terrorisme en Algérie. De même, j’honore fraternellement tous ceux qui travaillent à nos côtés pour la grandeur de la France. Mais la limite de cette démarche est terrible. Si tous les musulmans engagés aujourd’hui, dans une logique de conquête de la France – à commencer par celle du ventre de leurs épouses musulmanes – souhaitent neutraliser notre État à tous les postes administratifs et techniques, ainsi que dans nos cités perdues qu’ils détiennent et tiennent, ils pourront alors se dédire moralement de tous leurs contrats et serments en toute impunité religieuse coranique. Il y a là un doute terrible, insupportable que l’on retrouve dans un proverbe arabe et qui tient de l’esprit du Coran : « Embrasse la main que tu ne peux pas mordre ». C’est une véritable impasse au regard de cet aphorisme : « Quand il y a un doute, il n’y a plus de doutes. » Les Lames ensanglantées de l’islam. Récitation mortelle et soumission de Jean-Jacques Doucet, éditions Dualpha, collection « Patrimoine Des Héritages », dirigée par Philippe Randa, 200 pages, 23 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.
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