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Guerrier de l’Indochine et de l’Algérie, soldat politique à l’Assemblée nationale
Roger Holeindre (1929-2020) était un des derniers représentants du nationalisme soldatique, membre fondateur du Front National à la personnalité hors-norme, dont la vie s’est croisée avec l’histoire de la France de la seconde moitié du XXe siècle.
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« Au fur et à mesure et à mesure, que j’avançai, j’étais au bord du désespoir. Et je n’avais pas fini de consigner une nouvelle saloperie qu’une autre me tombait sur le râble, plus dégueulasse encore que la précédente. J’en suis sorti épuisé, au bord de la nausée » (confidence de Roger Holeindre à Alain Sanders, préfacier du livre).
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Les sanglots de l’homme blanc commencent à me fatiguer, Roger Holeindre, préface d’Alain Sanders (éditions Atelier Fol’Fer, 335 p. – 24 euros) Préface de maître Jacques Isorni – Avant-propos d’Alain Sanders C’est l’histoire d’une décadence, pour en finir avec la repentance, ou « vérité pour l’histoire ». Roger Holeindre n’en peut plus de constater combien sa patrie a honte de son passé ! Il a poussé ce cri de colère pour dresser le bilan de tout ce que subit notre belle France depuis tant d’années. On y trouve, pêle-mêle, des prises de positions très fermes contre tout ce qui participe à la décadence de notre pays menacé par les hordes qui campent à nos frontières. L’ensemble est couronné par un cours d’histoire à l’usage de Sarkozy et ses ministres mondialistes. « Vous avez hésité à intégrer le chapitre XIII intitulé : « Europe : les “collabos” de la dhimmitude sont au travail ». Pouvez-vous expliquer pourquoi à nos lecteurs. — J’ai travaillé longtemps sur ce chapitre et j’ai hésité à le publier car une fois de plus je me trouve, comme Présent, à contre-courant de ce qu’écrivent les médias. Pourtant je n’ai rien inventé. Chaque jour les Français accompagnent la décadence de leur pays. Quand une culture malléable, incertaine et laxiste rencontre une culture dominante, c’est la première qui s’adapte à la seconde, puis sombre en dhimmitude. Les informations diffusées par le gouvernement concernant les poussières du volcan islandais sont reprises, malaxées, déformées, en revanche on n’entend aucune voix offrant un accueil, un logis ou un transport. Il n’y a aucune mobilisation, seulement des jérémiades » (entretien paru dans le quotidien Présent).
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(éditions Dualpha, 230 p. – 25 euros) Préface de maître Jacques Isorni – Avant-propos d’Alain Sanders Pour l’auteur, toute une partie de la jeunesse est condamnée par les maux de notre temps. Elle se désintéresse des vraies valeurs. Elle les ignore ou les méprise, mais elle ne porte pas la responsabilité de cette ignorance ou de ce mépris. Ce sont les mauvais maîtres qui la dirigent vers les chemins sans issue. Pour la guérir, Roger Holeindre apporte son expérience de la lutte et son espérance, sa force et sa saine verdeur. Ce livre, écrit par un être authentique et croyant, est un des témoignages les plus vigoureux et les plus lucides sur notre époque. « Un livre ? N’est-ce pas plutôt un cri ? Un cri de révolte, mais aussi un cri d’espoir » (Jacques Isorni). Dans sa sainte colère, Roger Holeindre n’épargne personne de tous ceux qui ont porté atteinte, rien de tout ce qui a porté atteinte à la grandeur de la nation et à la vertu, au sens latin, de la jeunesse. Cette colère vient de ce qu’il a vu, enduré, souffert, d’Indochine et d’Algérie, où il s’est battu pour son pays jusqu’à la métropole où il est en prison à cause de cette lutte. Roger Holeindre s’adresse à la jeunesse. Il l’aime et lui parle avec ses entrailles. Elle le désole. Pour lui, la jeunesse – toute une partie de la jeunesse – est condamnée par les maux de notre temps. Elle se désintéresse des vraies valeurs. Elle les ignore ou les méprise, mais elle ne porte pas la responsabilité de cette ignorance ou de ce mépris. Ce sont les mauvais maîtres qui la dirigent vers les chemins sans issue. Pour la guérir, Holeindre apporte son expérience de la lutte et son espérance. Il lui apporte sa force et sa saine verdeur. « Je viens de relire Honneur ou décadence. Cela n’a pas pris une seule ride. Et vous qui allez le découvrir aujourd’hui, vous pourrez vérifier que, par-delà les notations d’époques (encore que l’on y retrouve quelques crapules toujours en activité), ce livre est un livre pour notre époque » (Alain Sanders) Guerrier de l’Indochine et de l’Algérie, soldat politique à l’Assemblée nationale, Roger Holeindre a longtemps été journaliste et grand reporter à Paris-Match, Minute ou Magazine hebdo… Il se consacre aujourd’hui à ses divers mandats électoraux et préside le Cercle National des Combattants.
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(éditions Dutan, 236 p. – 25 euros) Ce livre est un roman basé sur des faits réels. Il fait revivre une époque qui marque encore les hommes d’aujourd’hui. Roger Holeindre raconte ici la vie, la guerre, la mort vues par un homme de troupe, par un deuxième classe para. À 14 ans, il s’échappait du pensionnat, s’emparait d’une mitrailleuse allemande et rejoignait les FFI. À 17 ans, il partait pour l’Indochine dans les « bérets-rouges ». Au cours de trois séjours, il a été de tous les coups durs. Il est rude, mais il est également tendre pour pleurer ses camarades tombés au combat. C’est avant tout un poète ; qui chante une aventure extraordinaire de notre temps.
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Deux livres pour connaître la vie de Roger Holeindre
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Philippe Randa (éditions Déterna, 304 p. – 31 euros) Préface de Jean Mabire. Tous les guerriers ne sont pas des professionnels du pistolet mitrailleur. Cetains ont été, avant leurs combats ou au retour de leur aventure, des écrivains. Leurs livres témoigneront un jour de ce qu’ils ont vécu, non comme observateurs, stylo au poing, mais comme combattant de choc. Le destin de ces « écrivains guerriers » est parfois si inattendu et si pittoresque que Philippe Randa a eu la bonne idée d’interroger près dix-huit d’entre eux pour en tracer de saisissants portraits où se mélangent l’encre et le sang. Ils ne seront pas des journalistes ou des écrivains « comme les autres ». Leurs articles ou leurs bouquins gardent toujours l’empreinte de combats vécus avant d’être rêvés. Ils sont à jamais différents du monde des civils, méprisant cette « civilisation » qui a voulu transformer les centurions en boutiquiers. De la Résistance à l’Algérie en passant par le Front de l’Est et l’Indochine, leur parcours est riche d’aventures, de rencontres, de souvenirs. D’eux, on a envie de dire, selon la formule d’Ernst von Salomon : « La patrie brûlait sourdement dans quelques cerveaux hardis… » - René Bail • Erwan Bergot • Marcel Bigeard • Gwen-Aël Bolloré • Jean Bourdier • Serge de Beketch • Guy des Cars • André Figueras • Georges Fleury • Alain Griotteray • Philippe Héduy • Roger Holeindre • Serge Jacquemard • Jean Mabire • Saint-Loup • Pierre Sergent • Dominique Venner • Pierre de Villemarest
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d’Arnaud Menu (éditions Synthèse, 160 p. – 20 euros) Un livre d’entretiens avec Roger Holeindre L’une des personnalités les plus marquantes, et aussi des plus attachantes, du mouvement national est incontestablement celle de Roger Holeindre. Militaire, il a combattu en Algérie et en Indochine ; journaliste, il a été grand reporter à travers le monde, écrivain, il a publié de nombreux ouvrages poltiques et historiques, militant, il a été l’un des responsables de la campagne Tixier-Vignancour en 1965, l’un des fondateur du FN en 1973 et il a été député de Seine-Saint-Denis en 1986… Aujourd’hui président du Cercle national des combattants, le CNC, il est une figure reconnue et respectée du monde combattant… Toute sa vie, il n’a eu qu’un seul idéal : la France. Roger avait eu 90 ans en avril 2019. Il est décédé en janvier 2020. Dans ce livre d’entretiens réalisé avec le journaliste Arnaud Menu, il raconte sa vie, ses engagements, ses espoirs et aussi ses peines. Comme on dit souvent dans les milieux nationalistes lorsque Roger Holeindre fait trembler les murs en poussant l’une de ses gueulantes légendaires contre le Système : « Et oui, c’est Roger… »
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