|
| |
|
« Nos dirigeants n’ont jamais réagi
face à la menace
du « Grand remplacement »,
baptisé par
le monde musulman au complet
sous la houlette de l’ICESCO :
« Islam, Civilisation de substitution »,
ils ne vont pas changer » Entretien avec Bernard Chupin, auteur de L’ICESCO et le Grand Remplacement aux éditions Dualpha (Propos recueillis par Fabrice Dutilleul, publié sur le site de la réinformation européenne Eurolibertés).
|
|
|
|
|
|
| |
 |
|
Vous aviez publié en 2017 aux éditions de l’Atelier Fol’Fer Demain l’Islam en France, révélant la stratégie de conquête de l’ICESCO. Pourquoi reprenez-vous ce sujet en 2022 ? Parce que nos gouvernants font semblant d’être incrédules et continuent de contester les évidences du « Grand remplacement », alors que celui-ci est parfaitement bien rodé et progresse à sa vitesse de croisière, s’adaptant au terrain. Soit par la violence, soit par la séduction, soit par les faux bons sentiments, de façon douloureuse ou indolore, au choix. L’ICESCO a choisi la méthode indolore, c’est ce qui la rend particulièrement dangereuse. L’Islam n’a pas d’efforts à faire, il se présente seulement à nos portes, que nous lui ouvrons généreusement. Je ne suis pas le seul à évoquer l’ICESCO, loin de là, mais nos gouvernements sont trop attachés à leurs accords diplomatiques et commerciaux pour prendre en considération des risques même évalués à leur juste degré de nocivité. Nous aurions dû, effectivement, aller jusqu’à prendre des mesures comme la rupture de nos relations diplomatiques avec les régimes qui ont apporté leur signature aux textes de l’ICESCO. Mais quel Chef d’État occidental osera cette transgression ? Nous sommes dirigés par la peur et par l’égoïsme, transmettant la menace à nos descendants. À part quelques exceptions qui sont le fait d’une minorité d’extrémistes condamnables, l’immigration musulmane ne gêne personne, la majorité de ces réfugiés ne demande qu’à vivre tranquillement et pacifiquement avec nous en nous offrant leur force de travail, dont nous avons besoin, et une richesse culturelle non négligeable, non ? Oui, exactement, et c’est ce qui fait la force de la minorité appliquant la « taqiya » telle qu’elle est suggérée par la stratégie de l’ICESCO. Toutefois, il faut toujours être objectif : le taux de travailleurs réels parmi eux reste faible, mais là n’est pas l’essentiel. C’est l’apport culturel qui est le plus important. Pour ma part, j’ai beaucoup voyagé en Afrique et en Asie, j’ai partout été séduit par la beauté de l’art islamique et admiratif pour la foi des populations islamisées. J’ai connu Samarcande qui, pour moi, est la plus belle ville du monde, et partout mes contacts avec ces peuples ont été chaleureux. Mais l’expérience prouve que ces attirances sont des leurres dans lesquels nous pouvons être digérés comme par des fleurs séduisantes, mais vénéneuses.
|
|
|
|
|
|
| |
 |
|
La réaction contre l’immigration non contrôlée s’est développée ces dernières années, même à gauche. Croyez-vous dans la portée de votre dénonciation de l’ICESCO ? Ce n’est pas une dénonciation, encore moins une calomnie à l’égard de l’Islam. C’est une constatation et rien que cela. Mon opuscule n’est pas saturé par des opinions qui me seraient personnelles, ce sont des faits et seulement des faits, que chacun peut constater. Ce n’est pas moi qui l’ai écrit, c’est l’ICESCO qui a tout écrit, je me suis permis quelques commentaires qui m’ont semblé manifestes, c’est tout. Quant à sa portée, nous employons la seule arme dont nous disposons : l’écriture. Nos dirigeants n’ont jamais réagi face à la menace du « Grand remplacement », baptisé par le monde musulman au complet sous la houlette de l’ICESCO : « Islam, Civilisation de substitution », ils ne vont pas changer, ils se sont rangés depuis un demi-siècle sous la bannière du renoncement, confirmé par l’adhésion illégale à l’Union européenne immigrationniste, reconfirmé sans cesse par les autres résultats électoraux, nos peuples choisissant majoritairement les courants politiques potentiellement « dhimmis », infectés par la « lèpre » (pour retenir un terme macronien employé à notre égard), soi-disant progressiste, collaborationniste, diffusée par l’ambiance générale de notre pays (presse, médias, publicités, modes, snobismes, mimétismes, genre et autres folies, woke et autres déconstructions,…). Cela étant, nous pouvons toujours rêver, la France en a vu d’autres, des espoirs se lèvent à nos horizons, nous sommes longs à comprendre, mais tout peut arriver… même un miracle.
|
|
|
|
|
|
