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Le martyre du pamphlétaire
Henri Béraud (1885-1958) a été Grand reporter au sein des rédactions des plus grands titres de son époque, comme L’Œuvre, Le Petit Journal, Le Journal, Gringoire pour lesquels il parcourt l’Europe et le monde. Rassasié de voyages, et profitant de la tribune que lui offre, à partir de 1934, l’hebdomadaire Gringoire, il va laisser libre cours à sa verve, multipliant les interpellations flamboyantes et les formules choc. À la fin de la guerre, le célèbre reporter-écrivain Henri Béraud est condamné à mort. La sentence sidère tous les autres détenus politiques de l’Épuration, en attente de jugement.
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Préface de Francis Bergeron, Président de l’Association des Amis d’Henri Béraud
La croisade des longues figures (suivi de) Faut-il réduire l’Angleterre en esclavage ? (suivi de) Les Raisons d’un silence (préface de Francis Bergeron, Président de l’Association des Amis d’Henri Béraud). Les trois grands pamphlets d’Henri Béraud que beaucoup cherchaient à se procurer sans succès ont été écrits à une époque où la chappe de plomb du « politiquement correct » n’étouffait pas les grands auteurs ; ces textes sont désormais des bouffées d’air salvatrices… forcément ! 22 pages, 27 euros.
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Dictateurs de l’entre-deux guerres
Préface de Francis Bergeron. Les dictateurs décrits par Henri Béraud étaient ses contemporains. Grand reporter, il avait pu rencontrer tous ces hommes qui ont laissé une trace dans l’Histoire : Benito Mussolini, Primo de Rivera (le père de José Antonio), Monseigneur Seipel, le régent Horty, Thomas Masaryk, Edouard Benes, Pilsudski, Mustapha Kemal. Un panorama exhaustif, riche en couleurs, des hommes d’État qui dirigent les pays dont le régime de gouvernement est fort. 188 pages, 25 euros.
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La petite place
Préface de Francis Bergeron Ce récit fait un peu penser au Clochemerle de son ami Gabriel Chevallier. Henri Béraud nous raconte une joute électorale opposant socialistes, radicaux et conservateurs, à propos de la rénovation d’un quartier de la ville. Il a le mérite de nous faire vivre la vie politique et la vie tout court dans une sous-préfecture de province, au début du XXe siècle : les clivages de l’époque, les références, et aussi le vocabulaire de ce temps, les métiers exercés, l’importance des cafés, la place du clergé, le militantisme catholique, son engagement. Tout cela contribue au charme de ce petit roman, qui ressemble plutôt à une longue nouvelle. 124 pages, 15 euros.
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Le Nœud au mouchoir
Préface de Francis Bergeron. C’est sur la base de certains des textes reproduits dans ce livre que le commissaire du gouvernement Lindon exigea la mort pour Béraud. Et c’est sur cette même base que les jurés la lui accordèrent. L’écrivain et journaliste Henri Béraud fut en effet condamné à mort pour des éditoriaux publiés dans l’hebdomadaire Gringoire entre le 14 novembre 1940 et le 8 octobre 1943, et en particulier pour ses textes postérieurs à l’invasion de la zone libre. 228 pages, 25 euros.
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TF 677 – Journal de prison
Préface, mis en forme et commentaire de Francis Bergeron À la fin de la guerre, le célèbre reporter-écrivain Henri Béraud est condamné à mort. La sentence sidère tous les autres détenus politiques de l’Épuration, en attente de jugement. Si Béraud, qui n’avait eu aucun contact avec l’armée et les autorités d’occupation, dont le crime supposé était d’avoir continué à écrire ce qu’il écrivait avant-guerre, qui ne cachait pas sa germanophobie, et plus globalement sa xénophobie, est condamné à mort, quel sort attend donc les vrais collaborateurs ? Pendant 15 jours, Béraud va porter les chaînes du condamné à mort, avant que Charles De Gaulle le gracie, sur intervention de François Mauriac. Interné à Poissy, puis au bagne de l’île de Ré, il sera libéré en 1950, et passera les dernières années de sa vie à Saint-Clément des Baleines, aux « Trois bicoques », tout au nord de cette île qu’il avait contribué à mettre à la mode. TF 677, matricule du condamné Henri Béraud, raconte sa détention à la prison de Poissy et ses états d’âme. 188 pages, 25 euros.
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