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Le 2e volume de la « bio » collection est paru !
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Michel Festivi s’est imposé en quelques livres, préfacés par les historiens espagnols Pio Mora et Arnaud Imatz, comme un spécialiste français désormais incontestable de l’histoire historique et politique de l’Espagne ; il était donc tout désigné pour nous dresser un portrait concis et passionnant de celui qui empêcha son pays de sombrer dans la dictature communiste : Francisco Franco un caudillo pour l’Espagne (page 7) : grâce à lui, le lecteur découvre qui il était vraiment et ce qu’il a réalisé à la tête de l’État : beaucoup rêveront qu’un homme (ou une femme) de sa trempe se révèle aujourd’hui pour empêcher le chaos qui chaque jour, inexorablement, se précise dans toutes l’Europe avec hier la menace rouge, aujourd’hui celle de l’invasion migratoire.
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Entre récits haineux ou hagiographiques, et au vu des avancées récentes de l’historiographie, pour le cinquantième anniversaire de la mort de Franco, il importe de revenir sur cette personnalité qui a profondément marqué son pays, entre 1925 et 1975. La présente biographie dissèque les faits et gestes de cet homme d’État, avec ses qualités et ses défauts, en nous replongeant en permanence dans le contexte éminemment délicat de cette époque.
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Les trahisons des gauches espagnoles
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Le 14 avril 1931, la monarchie Bourbonienne s’étant effondrée comme un château de cartes, la IIe République espagnole est auto-proclamée, par les gauches républicaines, grâce à des mouvements de foule incontrôlés, dans les plus grandes villes d’Espagne. L’auteur démontre, faits et références historiques à l’appui, comment « la légende dorée » de cette République espagnole alors à gauche, doit être remise en cause. Le livre met aussi en évidence que l’actuel débat politique espagnol, du fait de l’alliance gouvernementale de la gauche avec l’extrême gauche, est entaché, voire perverti plus que jamais par le ton et les clivages de cette époque, qui remontent à la surface.
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L’Espagne ensanglantée
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Une violence qui jouera un rôle majeur dans l’effondrement de la seconde République Anarchistes, milices socialistes, communistes et révolutionnaires : 1880-1939 À partir de la fin du XIXe siècle, l’Espagne va souffrir d’importants mouvements anarchistes, entrainant une violence politique sans précédent. L’auteur décrit ces crimes et assassinats terroristes qui vont ensanglanter la péninsule, l’empêchant de progresser. Des plus hauts dignitaires de l’État, des ecclésiastiques, ou de simples gens du peuple vont être abattus au nom du communisme libertaire.
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Histoire de la guerre d’Espagne
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Préface de Cécile Dugas – Iconographie de David Gattegno Ils ont à peine plus de trente ans, ils sont attentifs à leur époque, ils aiment les terres brûlantes de l’Espagne où la guerre civile a éclaté en juillet 1936. D’observateurs passionnés, Maurice Bardèche et Robert Brasillach vont se transformer en historiens. Cette Histoire de la guerre d’Espagne nous fait vivre presque au jour le jour les épisodes de ce tragique conflit, dans une présentation augmentée d’une riche iconographie (quelque 300 photos) et d’un index.
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Les griffes de Staline sur l’Espagne républicaine (1936/1939)
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Préface de Pio Moa Par quels procédés les hommes de Staline ont-ils réussi à enserrer dans leurs griffes la zone espagnole révolutionnaire ? L’auteur décrit l’arrivée des envoyés du Komintern, la rafle de l’or de la Banque d’Espagne, la nature et le rôle des Brigades internationales, les crimes de masse, des tchékas partout, la terreur rouge, les génocides contre les opposants, le clergé, les catholiques, l’élimination ou l’éviction de ceux qui ne suivaient pas la ligne stalinienne, les procès de Barcelone, à l’égal de ceux de Moscou, et leurs conséquences nationales et internationales.
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Division Azul ! 12 ans en enfer
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Préface de Pierre d’Arribère Avant-propos d’Olivier Grimaldi Président du Cercle Franco-hispanique Ancien combattant dans les troupes mobiles des phalanges d’Aragon durant la guerre civile espagnole, le capitaine Teodoro Palacios Cueto est capitaine dans la «Division Bleue» sur le Front de l’est ; à l’instar de tous les volontaires de celle-ci, il se comporte héroïquement sur le front avant d’être fait prisonnier à Krasny Bor à la tête de sa 5e Compagnie.
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Également disponibles de Michel Festivi aux éditions Dualpha
Miguel Primo de Rivera, préface d’Arnaud Imatz, traduit en espagnol La désinformation autour du Parti Communiste « français », préface de Francis Bergeron
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