La désinformation autour du Parti Communiste « français »

Auteur : Michel Festivi

Éditeur : Dualpha

Collection : Vérités pour l'Histoire

ISBN : 9782353746514

Nombre de pages : 352

Date de parution : 10 mai 2024

Format : Livre

36,97 TTC

Préface de Francis Bergeron

Cet ouvrage extrêmement documenté, relie en permanence l’histoire et l’actualité du PC « F », qui est toujours « une passion française », reprenant les positions récentes ou contemporaines d’un parti pas comme les autres, qui défend toujours des totalitarismes et des tyrans. Un livre à mettre entre toutes les mains, sans modération, pour se sortir des mensonges de notre histoire politique.

Description

Préface de Francis Bergeron

L’Histoire du PC « F » ne fut que constructions de mensonges, trahisons, mystifications, complicités avec les pires totalitarismes, au nom « des lendemains qui chantent », « du charme universel d’Octobre », et « de la lueur qui s’est levée à l’Est ». Tous ces épisodes de terreur et de sang sont passés en revue à savoir : le soutien aux « procès » de Moscou, les trahisons de la France entre 1939-1941 en promouvant l’alliance Hitler-Staline, les appels aux sabotages de la défense nationale à l’hiver 1939-1940, les diatribes contre l’Angleterre et la France Libre qui osaient s’opposer seules aux Allemands, les appuis à l’URSS et au IIIe Reich jusqu’à l’opération Barbarossa. Le PC « F » négociera la reparution de sa presse, en se rapprochant des occupants qui leur libéreront de nombreux militants. Plusieurs communistes « français » se proposeront même d’être délateurs à charge contre les accusés du procès de Riom, relents antisémites compris et garantis.

L’auteur revient sur la non résistance des communistes « français » jusqu’au 22 juin 1941, sur le faux appel du 10 juillet 1940, sur le mythe « Guy Môquet » qui jamais ne fut un résistant aux Allemands ; il démontre aussi la supercherie d’une deuxième voie résistante avec Guingouin, Havez ou Tillon, ce qui ne fut qu’une construction mémorielle de plus. Il évoque les manipulations de Georges Marchais et du Parti, refusant d’admettre qu’il était allé travailler volontairement en Allemagne en 1942. Il expose la nature totalitaire bolchevique du PC « F », son emprise sur ses militants, ses listes noires, la liquidation de ses opposants, les agissements de Marcel Paul à Buchenwald, l’escroquerie historique du Parti des « 75 000 fusillés ». Il retrace la vie de personnages qui ont soutenu l’URSS et ses crimes : Pierre Cot, Artur London ou les époux Rosenberg… Il dépeint la guerre des mémoires qu’imposait le PC « F » et ses soutiens comme dans « l’affaire Manouchian ». Sont décrits les liens organiques et financiers du PC « F » avec la iiie Internationale et l’URSS jusqu’en 1991, l’aveuglement toujours existant des dirigeants français pour les pires régimes et tyrans : Lénine, Staline, Mao, Castro, Pol Pot, Kim.

L’auteur plaide enfin sur la nécessité d’un Nuremberg du communisme pour arrêter de falsifier l’histoire.

Cet ouvrage extrêmement documenté, relie en permanence l’histoire et l’actualité du PC « F », qui est toujours « une passion française », reprenant les positions récentes ou contemporaines d’un parti pas comme les autres, qui défend toujours des totalitarismes et des tyrans. Un livre à mettre entre toutes les mains, sans modération, pour se sortir des mensonges de notre histoire politique.

« Traiter de la désinformation autour du PCF, c’était vouloir tout bonnement s’astreindre à raconter beaucoup des opérations de désinformation constamment menées par ce parti, selon les directives de Moscou, et plus particulièrement élaborées par “l’Internationale communiste” (IC) sous l’impitoyable férule liberticide et sanguinaire de la dictature léniniste, puis lénino-stalinienne, et enfin stalinienne de 1917 à nos jours.(…) Festivi écrit qu’en parallèle aux effluves d’absurdités, de dégénérescences mentales soulevées par les deuils d’un Lénine, d’un Staline, d’un Thorez, d’un Ceausescu, Thierry Wolton a le mérite de nous asséner que “notre mémoire a occulté les exterminations par la famine, décidées par les régimes communistes”. Et il déplore ainsi que l’Holodomor ukrainien qui a tué autant que la Shoah n’arrive qu’en septième position dans l’échelle des horreurs plus ou moins mémorisées par nos contemporains. Encore qu’un classement soit, selon nous, bien difficile à établir. Mais après tout qu’importe de savoir exactement si Pol-Pot a exterminé plus que les dirigeants Jeunes-Turcs, et si dans l’Holodomor les Ukrainiens ont été plus ou moins nombreux à périr que les Juifs dans la Shoah. On est là dans la perversion satanique de l’humanité » (Le blog de Bernard Antony).

Michel Festivi, avocat honoraire, ancien bâtonnier de l’Ordre (1995-1996), ancien membre du Conseil de l’Ordre, a été associé jusqu’au 31 décembre 2018. Il est été correspondant permanent en Espagne pour les sites EuroLibertés et du Nouveau Présent, ainsi que pour la revue Synthèse nationale.

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