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Octobre 2025 – le message d’Évelyne Cotinet

Chers lecteurs,

Beaucoup attendaient la réédition de Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens  de Jean Mabire et les éditions Déterna ont eu l’excellente de le rééditer : L’esprit de Thulé continue à vivre dans le secret d’Ordres chevaleresques ou de groupes initiatiques… Le plus mal connu de tous reste, sans doute, la célèbre « Société Thulé » qui joua un rôle considérable lors de la Révolution de Munich, en 1919. Jean Mabire en révèle ici les secrets, restitue les traits essentiels du paganisme nordique et évoque l’implacable lutte du Marteau de Thor et de la Croix du Christ.Haut du formulaire

« Accusons les causes qui produisent les effets », disait l’évêque Bossuet, surnommé l’« Aigle de Meaux ».

Quel auteur proclamera, quel auteur de manuels scolaires écrira : « La République est née dans le sang des innocents, sous les lames des guillotines et des couteaux, comme au bout des fusils. »
Ils sont innombrables les meurtres perpétrés au nom de la liberté et de la fraternité que nous rapporte Jacques Dansan avec talent et honnêteté dans Les fleuves de sang de la Révolution française… Il a entrepris cet indispensable « devoir de Mémoire » afin de rappeler les crimes de la Terreur révolutionnaire et républicaine.

Qu’entendait le national-socialisme par le terme « politique sociale » ?

Les éditions de L’Æncre ont réédité La politique sociale du IIIe Reich, le livre de l’Allemand Heinrich Schulz qui passe en revue les mesures qui caractérisent particulièrement le national-socialisme. Le Front du Travail, pionnier de la politique sociale allemande s’y trouve au premier plan. Le gouvernement national-socialiste qui plongeait si profondément ses racines dans le peuple et qui avait inscrit à son programme une nouvelle organisation sociale de grande envergure, ne pouvait prendre de mesure que révolutionnaire, même dans les domaines en apparence de moindre importance. Les institutions sociales avaient certes déjà pris un remarquable développement depuis plusieurs décades, au point que le régime n’eut qu’à les consolider et à les compléter ; ce fut le cas, par exemple, pour l’Assurance sociale et l’assistance publique.

Je vous souhaite à tous d’excellentes heures de lecture…

Bien cordialement,

Évelyne Cotinet, responsable de Francephi diffusion

 

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