Description
Préface de Jean-Luc Gagneux
Dante, Diderot, Sainte Thérèse, Lamartine, Les Maîtres romantiques, Pascal,
Ernest Psichari, Ernest Renan, Jean-Jacques Rousseau, Victor Hugo…
Les Maîtres, sous la forme publiée en 1927 par la Librairie Plon, et réédité ici, n’est pas un titre de Maurice Barrès, mais le fruit des choix opérés par Philippe, son fils, puisant dans les carnets retrouvés et s’appuyant sur les conversations paternelles.
Témoignages forcément posthumes, puisque Maurice Barrès est mort en 1923 : articles, conférences, projets ont donc été réunis par la piété filiale.
Les Maîtres convoquent une longue théorie d’amitiés spirituelles, de Dante à Renan, de Pascal à Hugo, en passant par Rousseau ou Lamartine… et donne très fortement l’idée de ce qu’était un « maître » pour Maurice Barrès. Et cela, au besoin, par quelques antithèses.
Transmettre, préserver, sauver de la mort est incontestablement le « beau souci » de l’auteur.
Maître à écrire des principaux écrivains français du XXe siècle, de Montherlant à Mauriac, d’Aragon à Drieu La Rochelle, Maurice Barrès (1862-1923) joua en même temps un rôle essentiel dans l’Histoire des Idées puisqu’il fut, littéralement, l’inventeur du nationalisme français.
Du même auteur
aux éditions Dualpha
Loi sur la laïcité : La grande pitié des églises de France
Témoignages sur Renan, Taine et de Guaita
Dans le cloaque, préface de Jean-Luc Gagneux