Description
Préface de Bernard Plouvier.
Pour un lecteur français, ce petit livre est intéressant. C’est un abrégé, certes court, mais aussi précis que le permet la concision, des faits tels qu’on les a ressentis en terres germaniques. Il présente le versant allemand de l’historiographie non consensuelle.
Interrompue par l’inéquitable traité de Versailles, la guerre civile plongera à nouveau l’Europe sous un déluge de feu dès 1939. Première visée, une nouvelle nation admirée par le monde entier, le jeune Reich national-socialiste – pacifiste contrairement aux idées reçues – dont la réussite sociale, politique et économique, attise les germanophobies de nombreuses nations, en particulier des USA, décidés à éliminer cette nouvelle puissance européenne.
Les Allemands devront faire face avec un courage exemplaire à ceux qui écraseront l’Europe et dont les responsables, eux, ne seront jamais jugés : sur 11 millions d’allemands tués, 6.5 millions le seront après le 8 mai 1945.
Né en 1925, Ulf Hambrecht a vécu les Jeunesses Hitlériennes, le Reichsarbeitsdienst (service du travail du Reich), la guerre comme soldat d’infanterie. Il a connu la captivité américaine et française ainsi que le travail forcé dans les mines du Saargebiet. Il a donc été contemporain et témoin d’une époque.
Vu la représentation trompeuse qui nous est faite sur cette période de l’Histoire, il a entrepris de réaliser cet ouvrage synthétique à l’aide de sources non partisanes, afin de mieux faire comprendre les contraintes imposées à l’Allemagne avant et durant la guerre.
D’une manière générale, cet abrégé résume de façon très schématique – comme tout abrégé – les faits réels des années 1939-45, tels qu’ils sont connus en terres germaniques dans les milieux qui ne sont pas courbés devant le veau d’or ou ne sont pas gangrenés par une repentance excessive.
Cette présentation est bien supérieure aux mensonges des recensions usuelles, consensuelles, qui suivent fidèlement la Deception (tromperie en langue anglaise) alliée, imposée par le TMI de Nuremberg.
