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Médecin et sociologue français (7 mai 1841-13 décembre 1931, Gustave Le Bon s’est intéressé au désordre comportemental et à la psychologie des foules. Ses analyses ont connu un grand succès chez de nombreux leaders politiques.
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Avant-propos de Jean Mabire. Il est des noms qui répandent dans l’atmosphère aujourd’hui ambiante une insupportable odeur de soufre. Gustave Le Bon fait partie de cette catégorie de « réprouvés », dont on rejette d’autant plus vigoureusement l’œuvre qu’on ne s’est jamais donné la peine de la découvrir et de l’étudier. Le malentendu vient sans doute d’un livre purement scientifique, intitulé Psychologie des foules, publié en 1895, voici plus de cent ans. Le Bon y analysait les mystères du comportement des masses populaires. Il donnait ainsi la clé d’une méthode qui allait permettre la conquête du pouvoir par un politicien totalement inconnu qui se nommait Adolf Hitler… 172 pages, 23 euros.
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Gustave Le Bon lançait un cri d’alarme en constatant (en 1898 !), la multiplication des inadaptés. Cette foule grossit chaque jour grâce aux importations d’inadaptables dans notre pays complètement apathique, ayant perdu jusqu’à l’instinct du territoire, l’un des plus essentiels. L’armée grandissante de ces inadaptés ne cherchera qu’à détruire l’ordre établi à moins que ne surgisse quelque César à poigne d’acier. L’imposture de l’égalité commence seulement à être ressentie comme le danger mortel et définitif de notre patrie. Pourquoi donc, devant de telles évidences, s’accrocher encore au socialisme, puisque le socialisme n’existe pas, n’a jamais existé, et n’existera jamais ?Ses doctrines fumeuses sont construites sur d’infantiles impostures puisqu’elles ne tiennent compte en aucune façon de la nature de l’Homme ni des lois de la Vie. Lois féroces, peut-être, mais qui n’en sont pas moins indispensables à la survie de l’espèce. 424 pages, 33 euros
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Psychologie de l’Éducation
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Préface de Pierre Chaunu de l’Institut. La valeur de l’homme ne se mesure pas, comme le croient les maîtres de notre Université, au niveau de son instruction, mais à celui de son caractère. Car c’est la force de son caractère, et non l’instruction, qui donne à l’homme une armature interne résistante. Privé de cette armature, il devient le jouet de toutes les circonstances. 332 pages, 31 euros.
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Immigration, chance ou catastrophe ?
Le déséquilibre démographique est, de plus en plus, le problème crucial de cette fin de siècle, et la France, l’Europe, ne sont plus qu’un troupeau hétérogène, ingouvernable, sans berger et sans chiens, engagé dans le cul-de-sac de dogmes dénaturés. Les Occidentaux, envoiturés, fonctionnarisés, surchauffés, matérialisés, envacancés, insouciants d’avenir, mais soucieux de digestion, ont perdu ce qui pouvait encore les sublimer : le caractère. Les problèmes qu’il décelait dans le triste colonialisme sont restés exactement les mêmes, puisqu’il n’y a, de nos jours, qu’une permutation dans les rapports colonisateurs-colonisés. 178 pages, 18 euros.
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