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L’incroyable pacte entre Sionistes et Nazis de l’entre-deux-guerre
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Les Cahiers Libres d’Histoire de Jean-Claude Valla

Valla Jean-Claude ‌

Jean-Claude Valla (1944-2010), journaliste et historien, a été tour à tour journaliste à Valeurs actuelles, secrétaire général du GRECE (Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne), rédacteur en chef d’Éléments pour la civilisation européenne, directeur de la rédaction du Figaro Magazine, de Magazine Hebdo, puis de la Lettre de Magazine hebdo et de Minute. Collaborateur d’Historia, il a publié une douzaine de livres dont, en 2000, les « Cahiers Libres d’Histoire ».

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‌ Couv Pacte germano sioniste

« Chaïm Arlosoroff, directeur du département politique
de l’Agence juive et proche collaborateur de Ben Gourion,
a effectué un voyage en Allemagne au mois de juin 1933.
Ami d’enfance de la femme de Goebbels, Chaïm Arlosoroff a probablement joué de ses relations
pour préparer le terrain de la négociation. À peine rentré en Palestine, plusieurs semaines avant que l’accord ne soit signé,
il fut accusé par un journal de s’être
“roulé aux pieds d’Hitler”
et assassiné, le même jour, sur une
plage de Tel-Aviv »

(Tom Segev, historien israélien,
in Le septième million. Les israéliens et le Génocide)

Dans l’avant propos de son livre Le Pacte germano-sioniste, Jean-Claude Valla écrit : « Dans aucun manuel d’histoire vous ne trouverez mention d’un pacte germano-sioniste. Seuls quelques livres spécialisés, pour la plupart anglo-saxons ou israéliens, évoquent la réunion du 7 août 1933 au ministère allemand de l’Économie, au cours de laquelle des représentants de l’Agence juive et de l’Organisation sioniste mondiale ont signé avec de hauts fonctionnaires du Reich ce que l’on a appelé pudiquement l’accord de la haavara (du mot hébreu haavara qui signifie : transfert). »

De quoi s’agissait-il ?

« (…) d’organiser le transfert vers la Palestine de capitaux que les Juifs allemands, candidats à l’émigration, souhaitaient emporter avec eux. Cet accord technique, nous le verrons, ne fut que le premier acte d’une étroite collaboration et joua un rôle décisif dans le développement économique de cette région sous-développée qu’était la Palestine. »

Cette collaboration inimaginable pour beaucoup de nos contemporains est pourtant confirmée par  l’historien israélien Eliahu Ben Elissar : « Personne ne connaît et sans doute ne pourra jamais déterminer avec précision ni la date où fut prise la décision fatale d’exterminer physiquement les Juifs ni les circonstances réelles dans lesquelles elle intervint. Tout cependant tend à prouver que bien après son accession au pouvoir, le Führer poursuivait encore une politique qui ne devait pas obligatoirement déboucher sur une issue de cette nature. »

Et Jean-Claude Valla d’indiquer : « La gêne des historiens à évoquer librement cette affaire tient au fait que la Shoah occupe aujourd’hui une place considérable dans les esprits et que cette hypertrophie de la Mémoire déforme complètement la vision que l’on peut avoir des événements qui ont précédé la IIe Guerre mondiale. Si la Shoah est “indicible” comme certains le prétendent, il devient presque impensable de dire que des sionistes ont collaboré avec le IIIe  Reich. »

C’est ce que l’auteur démontre pourtant dans son livre Le Pacte germanosioniste (7 août 1933) ( dont le titre est un clin d’œil au pacte germano-soviétique du 23 août 1939 : « Dans un cas comme dans l’autre, nous avons affaire à des ennemis jurés qui jugent plus profitable de s’entendre, peut-être parce que, au-delà d’une convergence momentanée d’intérêts, ils présentent plus de caractéristiques communes qu’on ne le croit. Entre le national-socialisme et le sionisme, les similitudes abondent également, d’autant plus frappantes qu’elles prennent souvent la forme d’une convergence idéologique. Mais la comparaison entre les deux pactes s’arrête là. Ils n’ont pas eu les mêmes conséquences pour la bonne raison que les sionistes de Palestine, peu nombreux et encore sous tutelle britannique, n’avaient pas dans le monde le même poids ni la même influence que les communistes russes. En signant un pacte de non-agression avec Staline, Hitler a réussi à neutraliser momentanément l’Internationale communiste, voire même à la faire travailler à son profit, notamment en France par le sabotage de l’effort de guerre, tandis que son accord de collaboration avec les sionistes, qui ne représentaient alors qu’eux-mêmes, n’a en rien désarmé l’hostilité de la communauté juive internationale à l’égard du IIIe Reich. »
Le Pacte germano-sioniste (7 août 1933), Jean-Claude Valla, Dualpha, Les Cahiers Libres d’Histoire, 120 pages, 23 €.

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Juifs Francais collabore quadri

Ces Juifs de France qui ont collaboré

Des personnalités représentatives de toutes les sensibilités du ju­daïs­me français ont accepté d’exer­cer de hautes responsabilités au sein de l’Union générale des israélites de France (UGIF), créée en novembre 1941 par le gou­vernement du maréchal Pé­tain. La plupart de ces personnalités ont entretenu des relations de confiance, voire amicales, avec Xavier Vallat, premier commissai­re général aux Questions jui­ves.
Ces Juifs de France qui ont collaboré, Jean-Claude Valla, Dualpha, Les Cahiers Libres d’Histoire, 166 pages, 23 €.

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Les socialistes dans la Collaboration. De Jaurès à Hitler

‌ Socialos collabos quadri

Ce sont des hommes de gauche qui, les premiers, se sont ralliés à la Collaboration, de façon spontanée et sans états d’âme, à un moment où la plupart des hommes de droite, pétris de mar­rassisme, hésitaient encore sur la conduite à tenir. Comment des disciples de Jean Jaurès qui avaient milité avant la guerre à la ligue des droits de l’homme ou au Comité de vigilance des intellectuels antifascistes, ont-ils pu devenir les hérauts du « Nouvel Ordre Européen » ?
Les socialistes dans la Collaboration. De Jaurès à Hitler, Jean-Claude Valla, Dualpha, Les Cahiers Libres d’Histoire, 206 pages, 23 €.

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La Gauche pétainiste

Couv Gauche petainiste ‌

La délégation des pleins pouvoirs au maréchal Pétain par l’Assemblée nationale réunie à Vichy le 10 juillet 1940 reste aujourd’hui encore un sujet tabou. Cette gauche pétainiste, plus attentiste que collaborationniste, attachée à la personne du Maréchal ou respectueuse de sa légitimité, aucun historien n’a vraiment pris la peine de l’étudier dans sa spécificité. Jean-Claude Valla nous la fait découvrir.
La Gauche pétainiste, Jean-Claude Valla, Dualpha, Les Cahiers Libres d’Histoire, 238 pages, 25 €.

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L’Extrême-droite dans la Résistance, partie 1

‌ L’Extrême-droite dans la Résistance, tome 1

On oublie surtout que les premiers résistants venaient le plus souvent d’une droite nationaliste pour laquelle l’Allemagne, qu’elle fût celle de Bismarck ou de Hitler, était l’Éternelle Ennemie de la France et de la Civilisation. Cette germanophobie, dont on a du mal aujourd’hui à mesurer la virulence, avait trouvé en Maurras son doctrinaire le plus intransigeant, mais débordait largement les cercles d’Action française.
L’Extrême-droite dans la Résistance, partie 1, Jean-Claude Valla, Dualpha, Les Cahiers Libres d’Histoire, 152 pages, 23 €.

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L’Extrême-droite dans la Résistance, partie 2

Extr. droite Resist. CLH N 2 quadri ‌

En nous entraînant dans les coulisses de la Résistance, l’auteur nous permet de mieux comprendre pourquoi l’Organisation Civile et Militaire (OCM), la plus importante organisation clandestine de zone nord, affichait encore, en juin 1942, un programme fortement teinté d’antisémitisme, cette « grande pensée politique » dont parlait Georges Bernanos, lui-même rallié à la France libre sans avoir jamais renié son maître Édouard Drumont.
L’Extrême-droite dans la Résistance, partie 2, Jean-Claude Valla, Dualpha, Les Cahiers Libres d’Histoire, 166 pages, 23 €.

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La France sous les bombes américaines

‌ France sous bombes americaines

En une seule journée, le 27 mai 1944, les bombardiers américains ont tué autant, sinon plus, de civils français innocents qu’il y a eu de victimes tout aussi innocentes dans les Twin Towers de New York, lors du double attentat du 11 septembre 2001. Jean-Claude Valla a jugé utile de raconter ce qu’ont subi les malheureux Français pris sous les bombes américaines, ces destructions d’immeubles d’habitation et d’assassinats collectifs d’innocents. Le moment était venu d’évoquer cette tragédie trop souvent occultée ou déformée par l’hypertrophie d’une Mémoire sélective.
La France sous les bombes américaines 1942-1945, Jean-Claude Valla, Dualpha, Les Cahiers Libres d’Histoire, 138 pages, 23 €.

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Milice Lyon

La Milice. Lyon 1943-1944

Pour savoir ce qu’était réellement la Milice, il faut la replacer dans son contexte : celui d’une impitoyable guerre civile, déclenchée par les communistes dès la rupture du pacte germano-soviétique, acceptée par la plupart des mouvements de Résistance et finalement cautionnée par la France libre. Jean-Claude Valla a choisi cette ville de Lyon qu’il connaît bien pour tenter de mieux comprendre l’état d’esprit des miliciens dont la mission était de contribuer au maintien de l’ordre dans des circonstances particulièrement difficiles.
La Milice. Lyon 1943-1944, Jean-Claude Valla, Dualpha, Les Cahiers Libres d’Histoire, 140 pages, 23 €.

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Cagoule 1936-1937

La Cagoule 1936-1937

Que sait-on de l’Organisation Secrète d’Action Révolutionnaire Nationale (OSARN), plus connue aujourd’hui sous le nom de Comité Secret d’Action Révolutionnaire (CSAR) ? Quels objectifs poursuivait son fondateur, Eugène Deloncle ? L’histoire de la Cagoule méritait d’être revisitée, sans concession à l’idéologie dominante et avec un grand souci d’objectivité.
La Cagoule 1936-1937, Jean-Claude Valla, Dualpha, Les Cahiers Libres d’Histoire, 140 pages, 23 €.

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Également disponible, 3 autres livres Jean-Claude Valla

Ledesma Ramos et la Phalange espagnole, 1931-1936, 23 €

Georges Valois, de l’anarcho-syndicalisme au fascisme, 23 €

La nostalgie de l’Empire, 23 €

Tous nos livres sont sur www.francephi.com
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