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« Jugez l’histoire à travers « ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont écrit », et non pas à travers ce qu’on raconte qu’ils « auraient fait, ce qu’on raconte qu’ils auraient pu écrire… »
Chers lecteurs, 76 ans après la fin des hostilités, la IIe Guerre mondiale continue de hanter les Européens… Comment une telle guerre civile ? Pourquoi une telle tragédie ? Plus le temps passe, plus les ouvrages anciens deviennent difficiles à se procurer : tirages parfois confidentiels, papier de mauvaise qualité, destructions pour raisons politiques… Quelques rares exemplaires ne se trouvent plus qu’occasionnellement, par miracle, chez des bouquinistes spécialisés et atteignent alors des prix parfois astronomiques. Tout ce qui est rare est cher, mais le destin de certains livres doit-il être celui d’une armoire, d’un vase ou d’un tableau ? Philippe Randa ne le croit pas, aussi a-t-il créé cette collection d’ouvrages devenus « introuvables ». Les textes y sont reproduits à l’identique des éditions originales. À tous, Bonnes lectures ! Bien cordialement, Évelyne Cotinet (Évelyne Cotinet, responsable de Francephi diffusion)
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Un conflit parallèle et tangent à la IIe Guerre mondiale. Du 3 juillet 1940 au 11 novembre 1942, l’Angleterre et ses alliés ont fait la guerre à la France métropolitaine et impériale ; l’autre, dite « France libre » représentait moins de 2 % des hommes en état de porter les armes. Les motivations anglaises sont passionnelles et opportunistes. Dès son début cette guerre a eu pour effet de stériliser le recrutement gaulliste, réduit après Mers-el-Kébir, au statut individuel – alors qu’avant le 3 juillet 1940 plusieurs unités avaient rejoint De Gaulle – et de renvoyer l’escadre à Toulon, c’est-à-dire à portée des Allemands : ce sera déterminant en novembre 1942.
Éditions Dualpha, Collection « Vérités pour L'Histoire », 646 pages, 49 euros.
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Préface de Bernard Plouvier. Successeur d’Adolf Hitler, Karl Doenitz tire les conséquences de la défaite en apportant un témoignage capital. Un livre définitif, honnête sans reniement pour comprendre l’état d’esprit des grands chefs militaires allemands dans la guerre. Ses réflexions nous font comprendre à quel point a été délibérément trompé l’opinion publique après 1945. Éditions Déterna, Collection « Documents pour L'Histoire », 314 pages, 31 euros.
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« Les enfants de la guerre 1939-1945 ont trop souffert de violence et de crimes et ont trop entendu de mensonges et de bobards pour ne pas désirer la liberté de pensée, de parler et d’écrire pour tous les chercheurs, sans tabou… » Ce récit ne se veut pas le reflet de l’Histoire de toute la France avant, pendant ou après l’Occupation. Il n’est que le témoignage d’un adolescent ordinaire ballotté par les événements, curieux comme tous ses camarades, et qui a beaucoup observé et écouté.
Éditions Dualpha, Collection «Vérités pour L'Histoire », 196 pages, 25 euros.
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Allocutions radiophoniques. Tome I – 1942 Très actif dans la Collaboration, engagé au sein de la Milice française, Philippe Henriot prend la parole chaque jours à l’antenne de Radio Paris pour défendre la politique de collaboration avec l’Allemagne. Orateur virulent, il participe à une guerre des ondes qui se déroule entre Radio Londres et Radio Paris. Il acquiert rapidement la réputation de pouvoir présenter les sujets les plus complexes d’une façon claire et directe et arrive ainsi à défendre la Collaboration mieux que Philippe Pétain lui-même, ou encore Pierre Laval.
Éditions L’Ancre, Collection «Témoignages pour L'Histoire », 220 pages, 29 euros.
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Allocutions radiophoniques. Tome II – 1943 Très actif dans la Collaboration, engagé au sein de la Milice française, Philippe Henriot prend la parole chaque jours à l’antenne de Radio Paris pour défendre la politique de collaboration avec l’Allemagne. Orateur virulent, il participe à une guerre des ondes qui se déroule entre Radio Londres et Radio Paris. Il acquiert rapidement la réputation de pouvoir présenter les sujets les plus complexes d’une façon claire et directe et arrive ainsi à défendre la Collaboration mieux que Philippe Pétain lui-même, ou encore Pierre Laval.
Éditions L’Ancre, Collection «Témoignages pour L'Histoire », 304 pages, 31 euros.
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Commandée par le légendaire lansquenet bavarois « Sepp » Dietrich, la division la Leibstandarte SS Adolf Hitler a participé aux offensives les plus hardies comme aux combats les plus désespérés. En Pologne, en Hollande, en Macédoine, en Grèce, en Ukraine, en Normandie, dans les Ardennes ou en Hongrie, les hommes de la Garde Noire ont toujours été à la pointe de l’armée allemande. À l’approche de la défaite, ses Panzers ont vainement tenté de forcer la décision, et le sacrifice des régiments de la Leibstandarte achève l’aventure militaire du IIIe Reich. En 1945, sur cinquante mille hommes qui sont passés dans ses rangs, près de la moitié reposent sur les champs de bataille de toute l’Europe.
Éditions Déterna, Collection « Documents pour L'Histoire », 500 pages, 39 euros.
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Dans ses souvenirs. c’est surtout sur lui-même que le Maréchal Wilhelm Keitel porte un jugement objectif alors que la plupart de ses camarades du corps des officiers, et en particulier de l’État-major général, lui ont jeté la pierre en lui faisant grief de n’avoir su empêcher ce qu’eux-mêmes n’ont pu davantage éviter. En tout cas, les mémoires du Maréchal soulèvent quantité de problèmes ; ils touchent à celui, toujours brûlant, de l’articulation du haut-commandement dans les trois armes : terre, mer, air. Problème qui s’apparente à l’organisation de l’État et qui n’a encore jamais été résolu nulle part de façon satisfaisante.
Éditions Déterna, Collection « Documents pour L'Histoire », 412 pages, 37 euros.
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