Description
Traduit de l’Allemand par Adler von Scholle
Bilan des combats culturels et spirituels de notre temps
Le Mythe du XXe siècle, paru en 1930, est un essai d’Alfred Rosenberg, l’un des principaux idéologues du parti national-socialiste et l’éditeur du journal Völkischer Beobachter.
Publié à un moment d’intense activité intellectuelle en Europe, Le Mythe du xxe siècle constitue un document essentiel de l’histoire des idées. Les réflexions de son auteur ont non seulement influencé le régime allemand, mais également une pléiade d’auteurs politiques.
Sa publication à des millions d’exemplaires sera à l’origine d’une vaste polémique entre nationaux-socialistes et chrétiens.
En effet, l’auteur veut démontrer scientifiquement et de façon très argumentée que la quasi-totalité des avancées de civilisation est le fruit des Européens, et résulte de leur héritage racial. De plus, il entend également prouver, documents à l’appui, que les apports sémitiques ont toujours nui à l’Europe.
Comme dans l’ensemble de ses ouvrages, il défend des thèses proches de celles de Houston Stewart Chamberlain, défendant la thèse que la race nordique recouvre avant tout une conception du monde.
« Au côté du livre du Führer, il a contribué dans une mesure unique à l’élévation et au développement spirituel et physique de ce peuple » (Bucher Kunde, novembre 1942).
Le Mythe du XXe siècle figure au premier rang des ouvrages qui, selon Pierre Grosclaude, « constituent avec Mein Kampf les assises idéologiques du national socialisme. »
