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Robert Vallery-Radot (1885-1970
Robert Vallery-Radot (1885-1970 : Journaliste, Homme de lettres, Vice-président de l’Union antimaçonnique de France, il rejoint le régime de Vichy en 1940, assure la rédaction des Documents maçonniques (1941-1944) avec Bernard Faÿ et Jean Marquès-Rivière et reçoit la Francisque. Après la iie Guerre mondiale, il se réfugie en Espagne. Devenu veuf, il est ordonné prêtre en 1953 et finit ses jours à l’abbaye cistercienne de Bricquebec (Manche) où il devient le père Irénée.
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Le rôle du Grand Orient dans le déclenchement de la iie Guerre mondiale
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« (L’auteur) fait un historique très documenté de la Franc-Maçonnerie rappelant ses origines à Londres, en 1777, d’où elle s’étendit immédiatement en France, tout en restant sous l’obédience du roi d’Angleterre et de deux pasteurs anglicans qui édictaient les mots de passe. (Robert Vallery-Radot) met en évidence la coopération d’idées et d’action de la City anglaise et de la F...-M..., l’influence néfaste des écrivains français du xviiie siècle tels que Voltaire, Montesquieu, Diderot qui symbolisent l’esprit maçonnique, et on arrive aux déplorables résultats dont nous supportons les funestes conséquences. M. Vallery-Radot montre que les adeptes de la secte sont de trois sortes : les naïfs, les fanatiques et les profiteurs. Il espère que les premiers auront compris ; quant aux autres, il déclare qu’ils doivent cesser de nuire. L’orateur insiste sur l’action criminelle conjuguée de l’Angleterre et de la F...-M... pour nuire à la France. Il rappelle les évènements de Fachoda, la scandaleuse attitude des Francs-maçons qui, en juin 1917, tenaient un congrès à Paris pour empêcher la paix avec l’Autriche qui aurait mis fin à la guerre un an plus tôt. Il dénonce le rôle d’hommes d’état américains et anglais dont le but était d’asservir la France comme le montrent les plans Young, Dawes, etc. et flétrit l’alliance de la finance internationale de la Cité de Wall-Street, cimentée par les liens maçonniques. Aussi, M. Vallery-Radot n’hésite pas à affirmer que les responsables de la défaite sont les Francs-maçons alliés aux juifs et soutenus par le communisme destructeur. La guerre actuelle, dit-il, est une guerre d’idées qui met d’un côté les barbares d’Asie alliés aux Juifs et aux Maçons et de l’autre les défenseurs de la civilisation européenne. Il faut prendre position et l’orateur conclut en proclamant que la France, fière de son passé à ses traditions, ne peut pas hésiter et confiante dans son destin suivra les directives du Maréchal qui lui a montré la voie de la renaissance et de la résurrection » ( compte-rendu paru dans L’Éclair en 1942, suite à une conférence anti-maçonnique de Robert Vallery-Radot, le 26 octobre 1942 à Carcassonne). Éditions Déterna, 108 pages, 17 euros.
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Jean-Marie Rivière dit Jean Marquès-Rivière (1903-2000)
Jean-Marie Rivière dit Jean Marquès-Rivière (1903-2000), écrivain et journaliste français, est un brillant orientaliste, ancien maçon lui-même. Il mettra un terme à sa très courte expérience de Franc-maçon (dont il restera néanmoins un indélébile initié) en publiant La trahison spirituelle de la Franc-Maçonnerie. S’agissait-il d’un ouvrage impulsif causé par la déception d’un ordre, ou inversement, le point de départ d’une pensée amenée à mûrir et à s’étoffer ? Il organisera en France durant la iie Guerre mondiale l'important département des Recherches et recrute personnellement les délégués régionaux et départementaux. Il est le scénariste du film de Jean Mamy, Forces occultes (1943). Collaborateur au journal Documents maçonniques, rédacteur d’Au Pilori à partir du 4 mars 1943, il est condamné à mort le 1er juin 1949. Curieusement, au regard de son parcours littéraire, Marquès-Rivière aura critiqué et fossoyé pendant plus de soixante ans – une structure brièvement côtoyée – (initié à 24 ans, démissionnaire à la fin de l’année 1930) devenant à ses dépens et comme beaucoup d’autres avant lui, un « Frère défroqué ». « Le scénariste de Forces occultes, Jean Marquès-Rivière, avait lui aussi été Franc-Maçon ; il avait démissionné de la Grande Loge de France en 1931 et écrit plusieurs livres pour dénoncer les erreurs et les activités pernicieuses de la Franc-Maçonnerie. Plus heureux que son ex-frère et confrère Mamy, il réussit à se réfugier à l’étranger en 1944 et il a échappé ainsi aux épurateurs » (Henry Coston). Éditions L'Æncre, 290 pages, 31 euros.
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Rite Écossais Ancien et Accepté d’après les Rituels Anciens (1829) (présenté par Élisabeth Mutel)
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Rituels pour le Travail en Loge d’Apprenti, de Compagnon et de Maître des Hospices Jacobites Reprise des anciens cahiers des Rituels des trois degrés symboliques (1829) du Rite Écossais Ancien et Accepté augmentés de commentaires et d’annotations. Ces éléments ajoutés permettent d’offrir un guide sûr durant les actes rituels, afin de maintenir aisément et sans hésitation des Travaux uniformes en Loge, pour que les Maçons qui ont la charge d’un Office interviennent de façon pérenne et identique à chaque Tenue. Éditions Dualpha, 196 pages, 21 euros.
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Livre des Constitutions maçonniques (Dr James Anderson)
Préface de Philippe Randa. Voici LE livre que tout le monde cite, dont tout Maçon a entendu parler – forcément – mais que peu de monde, finalement, a lu. Ce livre est appelé également Constitutions d’Anderson, du nom du pasteur écossais James Anderson. Reproduction du texte original anglais de 1723 accompagnée d’une traduction française, d’une introduction et de notes et publiée par Mgr E. Jouin. Éd. Dualpha, 274 pages, 29 euros.
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La Franc-Maçonnerie sous la IIIe République (Henry Coston)
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L’auteur, spécialiste de la Franc-Maçonnerie et ouvertement opposé à celle-ci, étudie son rôle sous la IIIe République de la France, de la Commune à l’Ordre moral, de l’affaire Dreyfus à l’affaire des fiches, du Bloc national au Cartel des gauches, etc. Il fait porter la responsabilité de tous les maux de la société française de l’époque à l’influence excessive de la Franc-Maçonnerie du Grand Orient dont il dresse la liste des membres dans les différents gouvernements et détaille leur action. Éditions L'Æncre, 230 pages, 27 euros.
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La spiritualité de la rose-croix (Jean-Pierre Bayard)
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Histoire, tradition et valeur initiatique
Pourquoi ce nom de Rose-Croix ? Qui sont ces Rose-Croix ? D’où viennent les pouvoirs de ces Supérieurs inconnus qui commandent le monde et peuvent guérir toutes les maladies ? Quelques sociétés fermées prétendent conserver l’esprit rosicrucien en faisant revivre le symbole de la Rose refleurissant sur la Croix…
Jean-Pierre Bayard, docteur ès lettres, spécialiste de l’histoire des religions, de la recherche initiatique et attaché à la transmission de la pensée traditionnelle, nous guide ici dans ce mystérieux cheminement. En commentant ces légendes – et leur actualité – il cerne le phénomène spirituel de l’imaginaire collectif. Éditions Dualpha, 230 pages, 31 euros.
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Nos dernières parutions
Histoire des soldats libres de l’Antiquité à l’an 2000, François-Xavier Sidos, 372 pages, 37 euros La grande aventure des mercenaires L’époque est à la « privatisation de la guerre », mais les mercenaires restent très méconnus. Il y a une réalité mercenaire, loin des mythes et des jugements péremptoires. C’est cette réalité-là qu’il faut cerner, comprendre et, pourquoi pas, vivre. De Xénophon à Bob Denard, ce sont près de vingt-cinq siècles d’engagements, de combats et de rêves vécus qui sont ici racontés. Pour commander ce livre, cliquez ici.
Pour une révolution aristocratique de Louis Furiet Essai de philosophie morale et politique… La magnanimité, ou grandeur d’âme, peut se définir comme une certaine force dans la poursuite des plus grands biens de l’âme, ou biens spirituels. Elle s’identifie au sommet de la vie morale, à la perfection humaine. L’auteur nous démontre qu’une magnanimité accessible à tous n’a de sens que dans une démocratie organique. Éditions L'Æncre, Préface de David L’Épée, 142 pages, 21 euros. Pour obtenir ce livre, cliquez ici.
Ecce homo de Louis-Claude de Saint-Martin « Ce petit livre qui parut en 1792 a gardé sa valeur et reste actuel. Les mêmes déviations contre lesquelles Louis-Claude de Saint-Martin mettait en garde ses contemporains se perpétuent aujourd’hui. Et il est toujours combien nécessaire que les hommes soient rappelés à la vraie spiritualité qui est toute intérieure, au seul chemin qui est la “voie étroite”, au seul Médiateur qui est le divin Réparateur » (Paul Dérain). Éditions Déterna, 12 pages, 19 euros. Pour obtenir ce livre, cliquez ici.
Miribel et Freycinet (1888-1893) de Witold Zaniewicki Doctrine de l’École de Guerre En 1870, il n’existait en France aucune Doctrine de Guerre : les combats étaient imposés par l’ennemi, les missions n’étaient pas définies, les troupes manœuvraient en masse comme sur le polygone d’instruction. Les Allemands, au contraire, attaquaient par petits éléments, profitaient du terrain et obéissaient à une impulsion commune issue de la doctrine de leur État-Major. Pour essayer de donner aux officiers français cette « communauté de pensée, cette doctrine commune », on créera l’École de Guerre. Au manque d’unité doctrinale s’oppose le travail pratique de Freycinet, aidé de Miribel et de l’État-Major de l’armée. Ils voient en effet dans la nation armée, caractérisée par l’emploi des réserves, le facteur primordial de la guerre future. Éditions Dualpha, 144 pages, 21 euros. Pour obtenir ce livre, cliquez ici. Doctrine de la fédération française de tir des professionnels armés, Raymond H. A. Carter - Henri Pétry, 62 pages, 17 euros Préface de Christian Ménard, ancien secrétaire de la Commission de la Défense et des Forces Armées (A.N.), ancien Député-Maire honoraire de Châteauneuf-du-Faou Sociétés Militaires Privées (SMP), Contractors, Mercenaires : que n’a-t-on prat d’amalgames pour jeter l’opprobresur des activités de Défense et de Sécurité s’exerçant en toute légalité. Une formation adaptée, reconnue par les instances publiques est une nécessité. Il ne s’agit pas là de former des « rambos », des « bodybuilders », mais des hommes complets, c’est-à-dire des personnes capables de réfléchir, de s’adapter à toute situation, possédant des éléments de géopolitique, maîtrisant une langue étrangère. Cette doctrine a été réalisée en 2023 sous la direction du Comité d’administration de la Fédération Française de Tir des Professionnels Armés avec l’aide du groupe de travail composé de (par ordre alphabétique) : Fabrice AUGERAUD, Olivier BILLY, Dr Raymond CARTER, Me Guillaume DEMARCQ, Jean-Pierre DIOT, Richard ETZWEILER, Dr Vincent LAFORGE, Pascal LIENARD, Pascal LOUIS, Henri PETRY, Cédric ROSSO. Pour commander ce livre, cliquez ici.
Germanica, Alain de Benoist, 174 pages, 23 euros Yggdrasill, l’Arbre cosmique des ancien Germains Verden : Widukind face à Charlemagne Götz von Berlichingen et la Guerre des Paysans Dans ce volume intitulé Germanica, l’essayiste Alain de Benoist apporte sa pierre aux études germaniques en s’intéressant à trois sujets bien différents, mais qui tous contribuent à éclairer certains aspects mythologiques et historiques mal connus dans notre pays. Pour commander ce livre, cliquez ici.
J’étais à la Harka 903, Gérard de Badts de Cugnac, 270 ages, 31 euros On s’accorde pour situer la première harka en 1954 dans les Aurès, créée à l’instigation de Jean Servier. Dès 1956, le Bachaga Boualam reçoit l’autorisation de lever une harka de trois cents hommes. Le capitaine Hentic devient l’organisateur et le conseiller de l’embryon qui, au fil des ans, donne naissance aux différentes harkas du Bachaga. Début octobre, l’auteur, jeune sergent de vingt ans, fier de ses galons tous neufs, débarque sur les Hauts Plateaux Sétifiens. Il va vivre intensément les derniers feux de la guerre d’Algérie dans les rangs de la Harka 903. Pour commander ce livre, cliquez ici.
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