Nathan Bedford Forrest

Marchand d’esclaves – Héros confédéré Premier Grand Sorcier du Ku-Klux-Klan

Quand on se penche sur la vie de Nathan Bedford Forrest, hon­­nê­tement, le sentiment qui prédomine est l’incrédulité. Règlements de compte sanglants, bagarres au couteau, chasses nocturnes d’animaux sauvages, trafics d’esclaves, chevauchées frénétiques, corps à corps impitoyables, défilés dans la nuit de cavaliers cagoulés…

Toutes ces scènes, violentes, s’entrechoquent, et on a peine à croire qu’un seul personnage, totalement inconnu sous nos contrées, ait pu les vivre « en vrai » et avoir une exis­tence aussi… mouvementée. Certes, l’époque et le lieu se prêtaient à l’éclosion de ce genre d’individus, mais la plupart n’ont pas eu la chance de vivre assez longtemps pour écrire une seule page de la légende de la « fron­tière » américaine.

Nathan Bedford Forrest EST la légende. Ou plutôt est devenu cette légende car les nombreuses biographies qui lui ont été con­sa­crées aux États-Unis montrent que les faits rapportés sont, pour la plupart, bel et bien réels.

Bedford, comme on le surnomme, c’est l’incarnation de l’Amé­­ri­cain que détestent ou font semblant d’ignorer les bien-pensants du médiatiquement correct : courageux, travailleur inlass­able, viscéralement attaché à ses traditions, à sa famille, et à sa patrie. Ce ne sont évidemment plus des valeurs très estimées de nos jours…

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

Du même auteur
Aux éditions Déterna

Jean Boissel et Le Front Franc ou La vraie vie du « Neuneuil » de Céline, préface de Philippe Randa

Nathan Bedford Forrest

Johann Rattenhuber, l’Ange gardien du Führer

White Power ! George Lincoln Rockwell, le Führer américain

Ian Stuart. La voix du rock anticommuniste

Histoire du Ku-Klux-Klan (1865-1973)

David Duke chevalier de l’Amérique Blanche

Des Prêtres au service du IIIe Reich

Les musiciens maudits

Larry Thorne terreur des Rouges

Plaidoyer pour Joseph McCarthy, préface d’Alain Sanders

Aux éditions Synthèse nationale
Colin Jordan, pour la race et la nation ( Cahiers d’Histoire du nationalisme)

Plaidoyer pour Joseph McCarthy

Préface d’Alain Sanders

Parmi les « maudits » de l’Histoire, aux côtés de l’empereur Néron et d’Adolf Hitler, on peut affirmer, sans risque de se tromper, que le sénateur Joseph McCarthy est le personnage le plus exécré.

Son seul tort ? Avoir voulu exposer aux yeux du peuple américain l’invraisemblable infiltration communiste au sein des plus hautes instances de l’État (Armée, OSS, Département d’État, Trésor, conseillers présidentiels, etc.).

Pour cela, il a été inlassablement insulté, brocardé, puis ostracisé.

Pourtant, comme l’a prouvé de façon irréfutable la divulgation des messages cryptés Venona en 1992, Joseph McCarthy avait raison : un nombre effarant d’officiels très haut placés des gouvernements Roosevelt et Truman ont délibérément entretenu des relations clandestines et continues avec les services de renseignement communistes, et leur ont communiqué des informations dites « sensibles » pendant de très nombreuses années.

L’affaire du clan ethnique des Rosenberg ne constituant que la partie immergée, et très médiatisée, de cet iceberg de la trahison.

Malgré tout, rien n’a changé : McCarthy reste toujours un « maudit ».

Paul-Louis Beaujour pense qu’il est grand temps, soixante dix ans après sa disparition, de rendre justice à celui qui reste « l’homme le plus détesté de toute l’histoire politique américaine » et qui, cependant, fit tout pour sauver l’Amérique du péril rouge.

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

Du même auteur
Aux éditions Déterna

Jean Boissel et Le Front Franc ou La vraie vie du « Neuneuil » de Céline, préface de Philippe Randa

Nathan Bedford Forrest

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White Power ! George Lincoln Rockwell, le Führer américain

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Histoire du Ku-Klux-Klan (1865-1973)

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Les musiciens maudits

Larry Thorne terreur des Rouges

Plaidoyer pour Joseph McCarthy, préface d’Alain Sanders

Aux éditions Synthèse nationale
Colin Jordan, pour la race et la nation ( Cahiers d’Histoire du nationalisme)

Colin Jordan, pour la race et la nation

Colin Jordan (1923-2009), le fondateur de la White Defence League, du National Socialist Movement puis du British Movement semble bien oublié de nos jours. Pourtant, durant presque vingt années (de 1956 à 1975), il fut incontestablement l’agitateur nationaliste britannique n°1, la cible favorite des antifas et des ligues de défense juives de l’époque, et la coqueluche des tabloïds.

À l’instar de son ami George Lincoln Rockwell, chef de l’American Nazi Party avec qui il fondera la World Union of National-Socialists en 1962, Jordan compensera les effectifs groupusculaires de ses troupes par un activisme débridé et des provocations très médiatisées, souvent spectaculaires, lors desquelles il frôlera littéralement le lynchage à plusieurs reprises.

Mais le combat de Colin Jordan, fidèle à ses convictions nationales-socialistes jusqu’à la fin de ses jours, fut très loin d’être exclusivement « physique ».

Pamphlétaire prolifique et talentueux, auteur de plusieurs ouvrages virulents (qui lui vaudront d’être emprisonné par deux fois), il montrera une étonnante prémonition, dès le début des années soixante, pour ce qui deviendra le « Grand Remplacement », particulièrement flagrant dans sa région de prédilection, Birmingham et les Midlands.

Théoricien du concept de micro-communautés autonomes mais néanmoins en liaison et réactives « au cas où », Jordan et ses écrits restent toujours d’une actualité brûlante et conservent une indéniable attractivité auprès d’une frange non négligeable des nationalistes contemporains.

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

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Jean Boissel et Le Front Franc ou La vraie vie du « Neuneuil » de Céline, préface de Philippe Randa

Nathan Bedford Forrest

Johann Rattenhuber, l’Ange gardien du Führer

White Power ! George Lincoln Rockwell, le Führer américain

Ian Stuart. La voix du rock anticommuniste

Histoire du Ku-Klux-Klan (1865-1973)

David Duke chevalier de l’Amérique Blanche

Des Prêtres au service du IIIe Reich

Les musiciens maudits

Larry Thorne terreur des Rouges

Plaidoyer pour Joseph McCarthy, préface d’Alain Sanders

Aux éditions Synthèse nationale
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Larry Thorne terreur des Rouges

De l’armée finlandaise à l’US Army via la Waffen SS…

Le « Combattant absolu », le « Rambo finlandais », l’« Ultime guerrier », la « Bête de guerre », le « Tueur implacable », autant de qualificatifs qui, pour dithyrambiques qu’ils apparaissent, collent par­fai­tement à la personnalité de l’illustre Larry Thorne (né « Lauri Törni »), détenteur de la Croix de Mannerheim (n°144), la « terreur des Rouges » dont les exploits stupéfiants lui valurent, « privilège » rarissime de la part des bolcheviques, de voir sa tête mise à prix par ces derniers !

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies de personnages très peu orthodoxes nous livre la première biographie en français de cette véritable légende que fut le major de l’US Army Larry Thorne, l’inspirateur du best-seller de Robin Moore, The Green Berets, et vraisemblablement le seul, parmi les quelques 400 000 vétérans inhumés au cimetière national d’Arlington, à avoir porté (entre autres) l’uniforme des Waffen SS !

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

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White Power ! George Lincoln Rockwell, le Führer américain

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Histoire du Ku-Klux-Klan (1865-1973)

David Duke chevalier de l’Amérique Blanche

Des Prêtres au service du IIIe Reich

Les musiciens maudits

Larry Thorne terreur des Rouges

Plaidoyer pour Joseph McCarthy, préface d’Alain Sanders

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Colin Jordan, pour la race et la nation ( Cahiers d’Histoire du nationalisme)

Les musiciens maudits

Beethoven, Bruckner, Egk, Graener, Lehár, Mozart, D’Olonne, Orff, Pfitzner, Schmitt, Strauss, Trapp, Wagner, Wolff ont le même point commun : ils ont tous été joués, encensés, voire célébrés durant les «  années les plus sombres » (ALPS) de notre histoire, en particulier par le plus sombre (mais le plus mélomane ?) d’entre tous : Adolf Hitler.

Quant à Furtwangler, Krauss, Jochum, Böhm, Karajan, Mengelberg, Abendroth, Schwarzkopf, Ney, Gieseking, Backhaus, Kempff, Lubin, Suthaus, Weber, Müller (et les autres), non seulement ils furent, à tort ou à raison, tous des partisans déclarés du iiie Reich, mais encore, et surtout, les interprètes inoubliables des compositeurs susnommés.

Car c’est un fait indéniable : les versions unanimement considérées par les « musicologues » comme celles dites « de référence » sont souvent celles qui ont été interprétées par les artistes les plus idéologiquement « nauséabonds » !

C’est pourquoi Paul-Louis Beaujour a recensé une quarantaine de disques « de légende » encore disponibles (jusqu’à quand ?) que tout mélomane aussi politiquement incorrect qu’un brin nostalgique se doit de posséder dans sa discothèque.

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

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Histoire du Ku-Klux-Klan (1865-1973)

David Duke chevalier de l’Amérique Blanche

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Les musiciens maudits

Larry Thorne terreur des Rouges

Plaidoyer pour Joseph McCarthy, préface d’Alain Sanders

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Des Prêtres au service du IIIe Reich

Le point commun de ces trois hommes d’église au « cursus » somme toute très dissemblable (curé de paroisse pour Cyriel Verschaeve ; membre de la Curie romaine pour Aloïs Hudal ; moine-soldat pour Jean Mayol de Lupé), est d’avoir eu la clairvoyance de réaliser, a contrario de l’immense majorité de leurs contemporains, que le Communisme  était bien LE mal absolu, et qu’à ce titre, il fallait le combattre. Radicalement, avec acharnement, sans état d’âme, et jusqu’au bout.

Malencontreusement, ils se retrouvèrent dans le camp des vaincus, et depuis près de quatre-vingt ans, dans celui des « maudits ».

Mais à l’heure où le « Bolchevisme » a certes changé d’étiquette (altermondialisme, antifascisme, écologisme, antiracisme, wokisme, etc.) mais reste toujours aussi malfaisant, et alors que l’Eglise catholique n’en finit plus de s’autodétruire dans une repentance aussi désespérante que scandaleuse, il est utile de se rappeler qu’il a existé une époque où des ecclésiastiques n’hésitaient pas à dénoncer le véritable ennemi et à aller jusqu’à risquer leur vie pour le combattre.

Ces trois prêtres furent de ceux-là.

« À l’heure où les églises chrétiennes n’en finissent pas de se repentir, où les prêtres se font les agents conscients ou inconscients de la subversion anti européenne et où le pape, agenouillé, embrasse les pieds de migrants africains, il est bon de se souvenir qu’au XXe siècle des prêtres se sont levés et ont combattu le wokisme de l’époque à savoir le Janus bolchevisme/cosmopolitisme » (Jean-Paul Lorrain, Terre & Peuple, Solstice d’Hiver n°94).

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

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Jean Boissel et Le Front Franc ou La vraie vie du « Neuneuil » de Céline, préface de Philippe Randa

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David Duke chevalier de l’Amérique Blanche

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David Duke chevalier de l’Amérique Blanche

Le 1er juillet 2020, David Duke a fêté ses 70 ans, dont 56 ont été passés au service d’une unique cause : la défense, envers et contre tous, de la seule espèce véritablement en voie de disparition à ses yeux : l’homme blanc.

Et si l’on peut reconnaitre à Duke une qualité, excessivement rare à l’heure où partout dans le monde, le retournement de veste en politique est devenu la règle, c’est bien la constance.

Car malgré toutes les péripéties qui ont émaillé son existence (injustices des médias, calomnies permanentes, menaces de mort, rares succès et nombreuses déroutes électorales, exil forcé, bannissements, prisons), David Duke n’a jamais dévié de la mission initiale qu’il s’était donnée lorsqu’il n’était alors qu’un adolescent : défendre, encore et toujours, les droits et l’héritage des Blancs et combattre le « seul véritable racisme d’aujour­d’hui, le racisme anti-blanc. »

L’autre qualité que possède David Duke – comme également quelques-uns de ces combattants politiques cités dans cet ouvrage – c’est indéniablement le courage. Car il le déclare lui-même : « La vérité, cependant, ne prévaudra que si l’on ose en parler, la défendre, et se battre pour elle avec intelligence et courage. »

Quelles que soient ses réalisations futures et son passé « controversé », Duke, ancien Grand Sorcier des Knights of the Ku Klux Klan, restera toujours celui qui fut pendant plus de cinquante ans la voix, le défenseur, et le porte-parole d’une grande partie des Américains et des Européens blancs, leur « chevalier » en quelque sorte.

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

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Jean Boissel et Le Front Franc ou La vraie vie du « Neuneuil » de Céline, préface de Philippe Randa

Nathan Bedford Forrest

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Histoire du Ku-Klux-Klan (1865-1973)

Comment une simple blague de potache concoctée par six anciens officiers sudistes, légèrement éméchés et en mal d’action, a-t-elle pu donner naissance à ce phénoménal mouvement populaire, fort de 4 millions d’adhérents en 1924, qu’est devenu le Ku-Klux-Klan ?

L’histoire du Klan (ou plus exactement « des » Klans), c’est tout d’abord l’histoire d’une défaite, celle des États du Sud, et d’une « résistance » à l’occupation humiliante et insupportable par les Yankees qui s’ensuivit, la fameuse « Reconstruction ».

À l’heure où, en Amérique, les « conflits » raciaux semblent avoir atteint un point de non retour (Black Lives Matters, Cancel Cultur, haine anti-blanche, discrimination « positive », etc.), il est utile de connaître, à travers l’histoire du KKK, les véritables raisons qui ont amené les Blancs de ce fascinant pays à une situation aussi désespérée.

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

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Jean Boissel et Le Front Franc ou La vraie vie du « Neuneuil » de Céline, préface de Philippe Randa

Nathan Bedford Forrest

Johann Rattenhuber, l’Ange gardien du Führer

White Power ! George Lincoln Rockwell, le Führer américain

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David Duke chevalier de l’Amérique Blanche

Des Prêtres au service du IIIe Reich

Les musiciens maudits

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Colin Jordan, pour la race et la nation ( Cahiers d’Histoire du nationalisme)

Ian Stuart. La voix du rock anticommuniste

Pendant plus de quarante ans, le rock fut l’une des armes les plus efficaces de la contestation politique et de la « rébellion » contre le « conservatisme » sous toutes ses formes. Précisons bien : une contestation essentiellement « de gauche » : appel à la libération des mœurs, de la sexualité, de l’usage des drogues ; éloge de l’antiracisme, de la mixité raciale, de l’anarchie, du pacifisme, du communisme ; haine du patriotisme, du militarisme, de la nation et de l’ordre « établi » en général.

Il faut attendre 1982 pour qu’un jeune musicien de 25 ans, Ian Stuart Donaldson, dit Ian Stuart, ci-devant leader du groupe skinhead Skrewdriver, décide de briser ce « monopole ». Il avait compris qu’un groupe de rock de tendance strictement nationaliste pourrait être un très efficace outil de propagande et avoir un impact politique considérable.

Certes, Ian Stuart n’a pas été à l’origine du mouvement Rock Against Communism (RAC), mais il en est très vite devenu, grâce à son incontestable talent d’auteur (228 chansons écrites en 22 albums !), la figure emblématique. Et cela ne se fit pas sans douleur : tentatives de meurtre, incarcérations multiples, agressions physiques, boycotts des concerts, équipements volés, bagarres générales, attaques médiatiques calomnieuses permanentes, la liste fut longue.

Malgré tout, Ian Stuart, qui décèdera à l’âge de 36 ans dans un stupide accident de voiture, a inspiré, par son combat incessant, toute une génération de jeunes nationalistes qui jusque-là, devaient se contenter de raser les murs. Grâce à lui, ceux d’aujourd’hui les raseront, espérons-le, un peu moins.

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

Du même auteur
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Nathan Bedford Forrest

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