Le symbolisme de l’amour et de la mort durant la renaissance italienne

Auteur : Jill Manon Bordellay

Éditeur : Dualpha

Collection : Patrimoine des héritages

ISBN : 9782353746040

Nombre de pages : 146

Date de parution : 10 décembre 2022

Format : Livre

18,01 TTC

Préface de Pierre Moussy, postface de Bastien Loukia
De nombreux ouvrages ont été écrits sur la peinture italienne à cette période foisonnante dans toutes les expressions artistiques de la Renaissance. Toutefois cet ouvrage a comme humble ambition de porter notre attention sur le symbolisme de l’amour et de la mort, thèmes définis à partir des topiques du réel et de l’imaginaire des artistes qui font également écho aux mécènes et au public avisé.

Description

Préface de Pierre Moussy, postface de Bastien Loukia

De nombreux ouvrages ont été écrits sur la peinture italienne à cette période foisonnante dans toutes les expressions artistiques de la Renaissance. Toutefois cet ouvrage a comme humble ambition de porter notre attention sur le symbolisme de l’amour et de la mort, thèmes définis à partir des topiques du réel et de l’imaginaire des artistes qui font également écho aux mécènes et au public avisé.

Comment la Renaissance a pu traduire dans la peinture des symboles exhumés en partie de l’Antiquité pour les faire revivre et en leur donnant une autre lecture parfois contradictoire avec les symboles religieux ?

On sait toutefois que la chronologie de la Renaissance peut être sujette à discussion, mais on s’accorde à la situer entre le milieu du XIVe siècle et le milieu du XVIe siècle, les grands noms des artistes peintres de cette période – Michel-Ange, Sandro Botticelli, Raphaël, Donatello, Di Cosimo – sont tous inspirés par l’humanisme et le renouveau de la pensée néoplatonicienne et la thématique de la Théogonie d’Hésiode.

Vénus est née des flots de la mer, représentée debout dans un coquillage, elle est sensuelle, mais en même temps pudique, masquant son sexe derrière sa longue chevelure animée par le Zéphyr, comme dans les œuvres d’inspiration néoplatonicienne ; l’artiste est confronté à plusieurs niveaux de lectures entre la réalité, l’idéal et le naturel.

Alors qu’au Moyen Âge la création artistique était tournée vers la religion chrétienne, la Renaissance fait prévaloir des thèmes comme la tolérance, la liberté de pensée, la paix, l’éducation visant l’épanouissement de l’individu, si bien que le traitement artistique des représentations de l’amour et de la mort à travers l’expression corporelle sera différente.

Jill-Manon Bordellay vous fait pénétrer dans cet univers extraordinaire…

Jill Manon Bordellay, Professeur certifié de Philosophie, Docteur en Philosophie et en Littératures comparées et en Psychologie. Collaboratrice à l’Encyclopédie Universalis, différentes revues d’Art, de psy­cho­logie et des revues « alternatives végétariennes » et « Droit animal éthique et sciences ». Elle collabore au site EuroLibertés et au Petit journal de Valence, de Lisbonne, de Milan et de Berlin.

 

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