Mes quatre vérités

Auteur : Fernand Le Rachinel

Éditeur : Synthèse

Collection : Bouquins de Synthèse

ISBN : 9782367980836

Nombre de pages : 450

Date de parution : 22 février 2022

Format : Livre

27,49 TTC

C’est la parole d’un battant qui n’hésite pas à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Fernand Le Rachinel qui fut le premier élu conseiller général du Front National en France nous livre ici ses quatre vérités. Un brûlot décapant !

Description

C’est la parole d’un battant qui n’hésite pas à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.

Fernand Le Rachinel qui fut le premier élu conseiller général du Front National en France nous livre ici ses quatre vérités. Un brûlot décapant !

L’ancien imprimeur normand, Meilleur Ouvrier de France, passe en revue les grands enjeux de notre société et dénonce les multiples incohérences d’un système politico-médiatique à bout de souffle, en même temps qu’il apporte ses propositions et ses remèdes pour la France en crise et bien malade.

C’est du Le Rachinel tout craché et cela donne à réfléchir…

«Le Rachinel ne fait pas que dans la nostalgie. Il empoigne à bras le corps les problèmes bien réels et contemporains, comme la faillite de l’enseignement, la justice dont la balance penche à gauche toute, la gestion du virus chinois qu’il intitule avec juste raison “Bienvenue en Absurdistan”, la folie des mises aux normes, l’antiracisme et son corollaire, le terrorisme intellectuel, les médias et la désinformation, les tares du socialisme en matière économique, la folle fiscalité française, sans oublier l’administration avec un grand “A”, véritable tonneau des danaïdes, qui pille le pays. On pourrait ajouter un sujet qui concerne des millions d’automobilistes, en lisant les pages consacrées à la sécurité routière.
Il n’oublie pas non plus d’égratigner au passage quelques personnalités qui peuplent notre “zoo politique”, comme Anne Hidalgo, – “Notre-Dame de Paris !” –, qui cherche désespérément des électeurs, Hollande, “benêt et heureux qui sourit aux anges”, – l ’homme qui disait en parlant des terroristes du tragique 13 novembre 2015, “Ce sont des Français qui ont tué vendredi d’autres Français” -, ou encore Pierre Moscovici, “qui a préféré quitter le navire gouvernemental à la dérive”, mais qui n’est « pas parti les mains vides » (Jean-Claude Rolinat, www.polemia.com).

Partager

Informations complémentaires

Auteur(s)

Editeur

Collection

Bouquins de Synthèse