Description
Depuis de nombreuses décennies, l’Éducation nationale enseigne dans nos écoles une certaine histoire de la France. Elle semble envisager de retirer cette matière des programmes scolaires, matière déjà réduite comme peau de chagrin, ce qui serait en quelque sorte un moindre mal, compte tenu de l’orientation « politiquement correcte » de cet enseignement.
Depuis plus d’un demi-siècle, nos colonies ont acquis leur « liberté » à l’instar de celles de toutes les puissances coloniales européennes. Ces indépendances, quasi exclusivement politiques et non économiques, chèrement obtenues dans certains cas, ont été le plus souvent confisquées par les potentats locaux avec parfois, la complicité active ou passive des gouvernements. On s’est alors efforcé de gommer l’œuvre réalisée pendant l’époque coloniale, œuvre qui, elle, ne bénéficiant pas du devoir de mémoire, disparaît des manuels et des esprits par les assauts répétés de repentance des prétendus « bons pensants ».
L’auteur a tenu à rétablir le bon ordre des choses : Les recherches qu’il a faites et les conclusions qu’il en a tirées en bonne conscience et avec le maximum d’objectivité le conduisent à affirmer que la France n’a pas à rougir de son passé colonial.