La conquête de l’Algérie

Auteur : Jules Mazé

Éditeur : Nos chères provinces

Collection : Nos anciennes provinces

ISBN : 9782493454058

Nombre de pages : 288

Date de parution : 10 décembre 2022

Format : Livre

29,38 TTC

Cette guerre fut sanglante, évidemment violente, nécessairement politique et économique pour la France, nécessairement déstabilisante et porteuse d’un périlleux inconnu pour l’Algérie d’alors. Tel est le tableau peint par Jules Mazé, sans complaisance pour les parties en présence. Il met en exergue le courage et les hésitations des combattants français, officiers, sous-officiers et hommes de troupe ; il fait état des alliances plus ou moins fragiles des tribus algériennes. Il demeure de ce fait historique des noms tels le maréchal Clauzel, le maréchal Bugeaud, le duc d’Aumale… et le valeureux Abd-el-Kader, chef de guerre de l’Algérie. C’est l’histoire, douloureuse, parfois injuste, mais c’est l’histoire, vue du côté du vainqueur. À lire avec le recul de l’Histoire.

Description

Trois coups de chasse-mouche au représentant français par le Bey d’Alger, des excuses attendues en vain par la France, ont suffit pour déclencher le conflit franco-algérien dont l’enjeu était la conquête de l’Algérie.

Cette guerre fut sanglante, évidemment violente, nécessairement politique et économique pour la France, nécessairement déstabilisante et porteuse d’un périlleux inconnu pour l’Algérie d’alors.

Tel est le tableau peint par Jules Mazé, sans complaisance pour les parties en présence. Il met en exergue le courage et les hésitations des combattants français, officiers, sous-officiers et hommes de troupe ; il fait état des alliances plus ou moins fragiles des tribus algériennes.

Il demeure de ce fait historique des noms tels le maréchal Clauzel, le maréchal Bugeaud, le duc d’Aumale… et le valeureux Abd-el-Kader, chef de guerre de l’Algérie.

C’est l’histoire, douloureuse, parfois injuste, mais c’est l’histoire, vue du côté du vainqueur. À lire avec le recul de l’Histoire.

Jules Mazé (1865-1951) : Né Jules Martinie à Carignan, il prend, pour la plume, le nom de sa mère. Critique d’art, il écrit également des livres d’histoire, notamment sur la guerre (celle de 1870 entre la France et l’Allemagne, la Première guerre mondiale…), ainsi que des fictions publiées dans Le Petit Parisien. En outre, il exerce à la Cour des Comptes. Il décède à Paris en 1951.
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