Description
Porteur de lumière ou ange déchu, Satan fascine autant ses ennemis que ses adeptes. Mais est-il identifiable à la figure biblique d’un Lucifer précipité par Dieu dans l’abîme ?
Est-il une entité individuelle ou collective ?
Est-il une projection morbide, un produit culturel ou le bouc émissaire idéal de nos propres aliénations ?
Le satanisme est-il une vraie religion ?
A-t-il un credo, des rites, des codes ?
Ancien interne des Hôpitaux de Paris, le docteur Nghiem démêle ici les vraies racines d’un phénomène spirituel et social inhérent à toutes les traditions religieuses.
Il a déjà publié La violence des jeunes et le cerveau reptilien aux éditions Consep.
« En abordant le phénomène sous l’angle des neurosciences, un petit livre du docteur Nghiem arrache les différents masques empruntés par le satanisme au gré des âges et des civilisations : “Des temps modernes date la suppression de la transcendance, derrière une façade de respectabilité, de bonté et même d’amour pour l’humanité, la démocratie satanique par principe encourage le massacre des innocents par l’avortement ou l’euthanasie d’êtres légalement décrétés indignes de vivre : malades, juifs, Vendéens, bourgeois, aristocrates, et gens ne pensant pas comme la majorité…”
Pour lui, Satan est l’ange déchu par excellence, et donc un avatar religieux avec ses rites et des dogmes » (Benoît Mancheron, Fideliter).