Description
Préface par Jean-Pierre Rondeau.
Histoire de la rebellion en Algérie française du 1er novembre 1954 au 3 juillet 1962
La Grande Honte retrace, au jour le jour, les crimes du FLN. algérien.
Ce véritable Mémorial contribue à faire cesser l’impudence de certains qui viennent nous parler de torture et de leurs malheurs. Aussi graves qu’ils aient pu être, ils sont toujours en vie. Cela leur permet de geindre dans les médias, alors même qu’ils occultent les horreurs et le nettoyage ethnique dont ils furent acteurs et responsables aux côtés du FLN. Cela va du fellagha ou de la terroriste poseuse de bombe – parfois aujourd’hui enseignants dans nos universités – au chef d’État étranger venant insulter la mémoire de nos combattants musulmans jusqu’au sein de notre Assemblée nationale et de nos nécropoles… sans oublier le « porteur de valises » emplies de bombes ou d’argent qui servaient à acheter des armes destinées à assassiner ses compatriotes.
Cet exceptionnel document doit aujourd’hui être accessible à tous. Exceptionnel par sa richesse, mais aussi parce qu’il est l’œuvre d’un seul homme très connu au temps de l’Algérie française.
Un de ces contemporains dont on ne se pardonne jamais de ne pas l’avoir connu avant sa mort, artiste et journaliste de talent, soldat courageux et patriote fidèle.
René Rostagny fut tout à la fois journaliste, peintre, graveur, caricaturiste et critique d’art à L’Écho d’Alger, Dernière Heure, Annales Africaines, Terre d’Afrique, Méridional-La France, L’Afrique du Nord illustrée, Le Cri d’Alger, L’Édile algérien, Algérias, Magazine de l’Afrique du Nord, etc. Il présida longtemps l’Union des artistes d’Afrique du Nord et reçut en 1961, avec Sauveur Galliero, le Grand prix artistique de l’Algérie.