Description
Ce texte s’adresse à tous ceux qui doutent d’un monde meilleur, tous ceux qui crient à l’injustice, ceux qui courent après la guérison de leurs pensées et de leurs âmes. Recherchons dans notre conscience pure, la trace de justice, de force, de rayonnement, pour qu’elle règne enfin dans notre monde.
Vous qui avez souffert, cru et espéré, venez courir sur mes lignes de papier, pour découvrir notre identité commune, pour retrouver la paix, pour partager notre tendresse. Si vous avez erré dans le dédale du désespoir, venez avec nous retrouver l’espoir de la vérité. Parcourons ensemble une partie d’histoire, qui est celle de tous ceux qui quittent leur terre fuyant la violence. Venez faire ce bout de chemin d’homme, pour enfin, retrouver le goût d’aimer.
« Voici le témoignage d’un pied-noir, un de plus diront certains, non ! un témoignage différent, plus intellectuel, plus fouillé, plus profond. Le témoignage d’un garçon qui vient de sortir de l’adolescence. Alain, jeune Oranais, sur les quatre dernières années de la présence française à Oran. C’était alors un jeune, un jeune “lambda”. Il exprime maintenant ce qu’il ressentait durant ces années. Il évoque son évolution – celle que connurent la plupart des Français d’Algérie – avec sensibilité : passer d’un fol espoir à un désespoir sans limites… qui a abouti au drame effroyable du 5 juillet. Comme il le fait remarquer, ce qui est assez extraordinaire, c’est la réaction de cette population accablée qui, finalement, a repris sa place, non sans drames, dans la communauté nationale en améliorant sa situation.
La construction de cet ouvrage est curieuse : mais y a-t-il, construction ? Fluides, les chapitres se suivent et le lecteur accompagne sans problème l’auteur dans ses analyses les plus fines. Un excellent livre que tous ceux qui ne comprennent pas les Français d’Algérie devraient lire » (Y. N., L’Algérianiste).
Du même auteur,
chez le même éditeur
L’Empreinte de la terre. Un pionnier de l’Algérie française raconte
La Nuit venait de tomber