Description
Covid-19. Incompétence, panique et gros mensonges
La pandémie de coronavirus a donné lieu à une panique planétaire orchestrée par les politiciens de l’Organisation Mondiale de la Santé. Rares furent les pays, comme le Japon et la Suède, où les gouvernants gardèrent leur sang-froid. Ce ne fut pas le cas en France, où l’on connut l’effarant cabotinage de médecins aux avis contradictoires ; puis le show médiatique quotidien fut réservé aux seuls « experts » de la mouvance gouvernementale, une fois terminée la phase de cacophonie entre l’Élysée et des ministres déboussolés.
L’on changea de mesures, puis de protocoles et l’on généralisa la pratique de vaccins, en partie issus du génie génétique, avec une totale incertitude quant aux effets à moyen et long termes de cette chimère biologique : l’on a osé injecter de l’acide nucléique viral à des humains.
Certains esprits contestant mesures et principe, Emmanuel Macron enrage au point de se laisser aller à des invectives scatologiques à l’encontre de tous les réfractaires à la soumission envers les apprentis-sorciers des laboratoires pharmaceutiques, grands gagnants de cette folie collective, où l’on foule aux pieds les principes de l’immunologie et plombe les économies nationales.
Bernard Plouvier, en tant que médecin, et Philippe Randa en tant que chroniqueur politique, ont beaucoup écrits sur la Covid-19… D’où l’idée de ce Verbatim de leurs écrits, articles ou entretiens pour raviver la mémoire défaillante de leurs compatriotes et contredire les insultes prononcées à l’encontre de plusieurs millions d’entre eux.
Autant que leurs écrits, ce sont leurs dates de parution qui importent : elles confirment que, dès les premiers temps de cette pandémie et contrairement à ce que continuent d’affirmer, sans la moindre honte, politiciens et certains « spécialistes » dont la seule parole est autorisée, cette pandémie ne méritait en aucun cas la gestion alarmiste qui a été imposé aux populations… avec les dramatiques conséquences psychologiques, économiques et criminelles (maladies détectées trop tardivement, opérations reportées, etc.) dont il faudra bien établir tôt ou tard la macabre liste qui ne cesse de s’allonger…
Ce qu’ils en disent :
« Rafraîchir notre mémoire pour éviter de refaire les mêmes erreurs
Je dois d’entrée de jeu admettre que comme nombre de mes compatriotes et même contemporains de partout, j’en ai ras le bol de la Covid. Je ne demande qu’une chose, qu’on me foute la paix à ce propos. Pourtant, cette exaspération des plus légitimes comporte un piège de taille. En évitant de se requestionner sur le sujet, de revisiter cet enjeu et surtout la façon dont la pandémie fut traitée, nous risquons d’être condamnés à revivre une fois de plus une telle gestion calamiteuse. Les émotions, les peurs, les craintes seront retombées, que restera-t-il de cette pandémie ? Une tempête dans un verre d’eau ? Une catastrophe évitée ? Nos gouvernants aimeraient que l’on adhère au second postulat.
Certaines vérités émergent de l’étude de l’histoire : il est aujourd’hui connu et reconnu que l’Irak n’avait pas les armes de destruction massive qui avaient justifié son invasion, tout comme on sait que les fameuses couveuses du Koweït n’étaient qu’une macabre mise en scène. On peut le dire sans se tromper la pandémie suscita une panique par sa surmédiatisation ; une peur exacerbée par les politiques. L’épisode de la Covid-19, dont la sixième vague poindrait déjà à l’horizon, avant la septième et ainsi de suite, n’a, quantitativement parlant, aucun lien avec la grippe espagnole, la peste ou même les dernières pandémies de grippe.
C’est pour mettre tout cela en relief et pour « raviver la mémoire défaillante de nos compatriotes » que vient de paraître Verbatim d’un délire sanitaire, réunissant divers textes du docteur Bernard Plouvier et de Philippe Randa sur le sujet. Il s’agit d’un ouvrage à deux mains ou plutôt trois car on croise souvent Guirec Sèvres qui a interviewé Philippe Randa sur la question à de multiples reprises. Connaissant bien Philippe Randa, avec qui je travaille tant à Eurolibertés qu’à Présent, et que je lis quasi religieusement, ce sont les textes du docteur Plouvier qui m’ont davantage interpellé. Je connaissais le Plouvier historien, le Plouvier analyste politique, mais je n’avais jamais pris le temps de lire ses écrits sur la médecine. Une honte, car c’est bien là sa spécialité. Cet hygiéniste, dans lequel on reconnaît l’esprit d’Alexis Carrel et les réflexions d’un Louis-Ferdinand Destouches, n’était ni de l’avis des autorités, ni de celui des complotistes. Les uns exagéraient la menace et agissaient sans réfléchir ; les autres imputaient cette mauvaise gestion à un complot organisé ou niaient carrément la pandémie. Le docteur Plouvier ne tenait quant à lui qu’à une approche rationnelle basée sur l’expérience et le bon sens : “panique et sensiblerie ne font pas bon ménage avec la pratique sérieuse et responsable de la médecine. Les politiciens n’ont rien à y faire”. La partie la plus intéressante est composée des textes écrits au début de mars 2020, avant ce qu’on appelle désormais le premier confinement. Pleinement conscient de la pandémie qui menaçait, le docteur Plouvier mettait déjà en garde nos gouvernants. Maintenant, quelle leçon tirer de cet épisode ? Le même qu’en 1940 : il faut se préparer et non réagir aux évènements. « Gouverner, c’est prévoir ; et ne rien prévoir, c’est courir à sa perte » écrivait Émile de Girardin. » (