Description
Préface de Marc Laudelout – postface d’André Garnier
Libéré en 1954, après neuf ans de bagne, P.-A. Cousteau est accueilli par René Malliavin à Rivarol qu’il a fondé après les Écrits de Paris, en 1950. La prose est plus apaisée, mais, dégagée d’un combat plus immédiat, l’esprit ruisselle, sans la moindre amertume. Au cours des années 1954-1955, l’hebdomadaire d’opposition nationale est dirigé par le “libéral” Fabre-Luce, l’auteur de l’Anthologie de l’Europe nouvelle (1941), de l’Adieu aux Américains (1942) et du Journal de la France qui s’est rallié au bradeur Mendès France. Cousteau ne peut l’admettre, Fabre-Luce devra partir et le journal antigaulliste retrouvera vite sa véritable vocation. Quelques articles de ce temps-là, fustigeant un monde stupide et lâche, sont rassemblés sous le titre évocateur Après le déluge ». André Garnier.
Du même auteur, chez le même éditeur
Collection « En ce temps-là », dirigée par Marc Laudelout
En ce temps là…, préface de Lucien Rebatet, 2003.
Mines de rien, préface de Lucien Rebatet, postface de Louis Védrines, 2004.
Après le déluge, préface de Marc Laudelout, postface d’André Garnier, 2007.