Description
Préface de Jean-Pierre Blanchard.
Ceux qui seraient tentés de croire que la germanophobie n’appartient plus qu’à un passé révolu se trompent.
Aujourd’hui, la responsabilité des crimes de guerre ou contre l’humanité ne reposerait plus sur le seul national-socialisme et son chef suprême Adolf Hitler, presque absous puisque conséquence directe de la volonté populaire, mais sur celle, collective, du peuple allemand.
Oui, la germanophobie continue à bien se porter. Aussi, l’auteur pose-t-il en conclusion une question capitale : comment une Allemagne qui crache sur son passé et une France qui renie son identité pourront-elles offrir aux jeunes générations autre chose qu’une Europe honteuse d’elle-même ?
Enfant de l’exode de 1940, Philippe Gautier est le fils d’un prisonnier de guerre qui a terminé sa captivité au camp de concentration de Sandbostel. Il a vécu son enfance sous les raids aériens anglo-saxons de Caen et du Havre et a toujours été profondément choqué par le manichéisme ancestral anti-allemand.
Du même auteur
chez le même éditeur
La Germanophobie, 3e éd.
Le racisme anti-allemand, 3e éd.