Description
Journal d’un iconoclaste – volume I (2000-2005)
« J’ai rencontré Pierre Lance il y a environ 50 ans et je suis devenu très vite son secrétaire et son ami pour tout le reste de ma vie. Je ne vous dirai rien de l’homme, car je passerai pour flatteur. Mais je peux vous parler de son œuvre, aussi originale que monumentale, que je connais jusqu’à la moindre ligne. Elle compte à ce jour plus de 20 000 pages publiées en livres ou en articles et quelques milliers de lecteurs fidèles en France et en francophonie.
La notoriété de Pierre Lance est bien loin de ce qu’elle devrait être. Son caractère intransigeant et farouchement indépendant y est sans doute pour quelque chose. C’est ce qu’il nomme lui-même le « syndrome de l’étalon sauvage », qui n’accepte aucune bride sur le cou. Mais cette absolue liberté de pensée est le socle inébranlable de ses écrits et la source même de leur qualité, aussi bien littéraire que sociologique. Précurseur en de multiples domaines, je crois pouvoir dire qu’il fut écologiste avant Hulot, iconoclaste avant Houellebecq et contempteur avant Finkielkraut. Je le tiens surtout pour l’un des plus formidables lanceurs d’alertes du monde moderne, et les lecteurs de ce volume auront tôt fait de s’en rendre compte. Et ils comprendront très vite que si ce grand écrivain français avait été mieux entendu, le monde dans lequel nous vivons serait sans aucun doute plus beau et plus sain. J’espère en tout cas qu’ils rejoindront nombreux la cohorte de ses compagnons d’idées et voudront participer activement avec lui au sauvetage d’une humanité menacée d’autodestruction ! » (Jean Vigouroux).
« J’ai joué, durant des années d’analyse critique de la France et du monde, un rôle de lanceur d’alertes particulièrement combatif sur le plan de l’écologie et de la sauvegarde de notre environnement. Or, le lecteur pourra constater, eu égard aux catastrophes climatiques qui se sont produites dans divers pays en 2018, que je les annonçais 15 ans à l’avance, avec des précisions qui, à la relecture, m’ont étonné moi-même. D’autant plus que je ne me contentais pas de les prédire, mais que je proposais toutes sortes d’actions à entreprendre pour éviter qu’elles se produisent. »
Du même auteur,
chez le même éditeur
Le syndrome de l’étalon sauvage, 2019
Au-delà de Nietzsche, 2019