Description
Si son épouse n’avait pas assassiné Calmette, le « patron » du quotidien Le Figaro, en 1914, Joseph Caillaux aurait sans doute été élu Président de la République à la place de Clemenceau. Dès lors le destin de la France, et celui de l’Europe, auraient été tout autres.
Il a été condamné par une Haute Cour de justice pour intelligence avec l’ennemi et haute trahison.
Ce « visionnaire » s’il avait été entendu et écouté aurait sans doute évité à la France la Ire Guerre mondiale (1914-1918) et ses conséquences : l’apparition du nazisme, la montée au Pouvoir d’Adolf Hitler et, peut-être, la IIe Guerre mondiale (1939-1945).
Avec Jean Jaurès, Clemenceau, Gambetta et Poincaré, Caillaux fut l’un des hommes forts et incontournables de notre IIIe République. De nombreuses fois ministre des finances, président du Conseil et vice-président, Joseph Caillaux a été « l’inventeur » de l’impôt sur les revenus.
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Joseph Caillaux, traître ou visionnaire