L’abbé Molin parle de quelques soldats, poètes, écrivains et saints es hommes qui ont illuminé l’histoire de notre patrie : Laperrine, de Foucauld, Psichari, Lacheroy, le général Raoul Salan, le colonel Jean Bastien Thiry, François Villon, Pierre Corneille, Jean de La Fontaine, Michel Perrin, Robert Brasillach, Gustave Thibon, mais aussi des Saints Évêques, Saint Louis, Saint François de Sales, Jean Marie Vianney, Jean d’Avila, La Dame de sainte Bernadette…
Lorsque surviennent des élections, les hommes politiques redécouvrent qu’ils appartiennent à un pays appelé la France. Et chacun, bien sûr, a son « idée » de celle-ci. Mais la France n’est pas une idée, c’est une réalité charnelle : des paysages, des villages, des villes… Sur les 15 000 églises rurales de notre pays, 2 800 sont menacées de destruction. Ainsi s’éteindront des lumières de France. Plus encore : ce sont des hommes qui ont illuminé l’histoire de notre patrie. L’abbé Molin a retenu quelques soldats, poètes, écrivains et saints : Laperrine, de Foucauld, Psichari, Lacheroy, le général Raoul Salan, le colonel Jean Bastien Thiry, François Villon, Pierre Corneille, Jean de La Fontaine, Michel Perrin, Robert Brasillach, Gustave Thibon, mais aussi des Saints Évêques, Saint Louis, Saint François de Sales, Jean Marie Vianney, Jean d’Avila, La Dame de sainte Bernadette…
« Un homme parmi d’autres… un prêtre, pas meilleur que les autres, même pas pire sans doute. Ni polytechnicien, ni jésuite, ni docteur en théologie, ni psychiatre, ni dominicain, ni sociologue, ni bourgeois, ni inscrit à la CGT… ouvrier cependant par l’origine, prêtre simplement par l’appel et la grâce de Dieu » : ainsi se présentait l’abbé Pierre Molin (1936-2009) dans son premier ouvrage : J’ai appris la tendresse de Dieu, parut en 1977. Il était alors vicaire dans une paroisse de la banlieue parisienne et aumônier d’étudiants à l’institut Catholique de Paris. En 1982, la Providence l’orienta vers un autre monde : l’hôpital par l’intermédiaire de l’armée. Aumônier de l’Hôpital d’Instruction des Armées du Val de Grâce de 1982 à 1992. Il effectue ensuite un « temps de purgatoire » au ministère de la Défense à Paris. En 1994, il « ouvre » l’Aumônerie du nouvel Hôpital d’Instruction des Armées Percy à Clamart où il demeure jusqu’en 2003. Actuellement, il a un rôle de « supplétif » auprès de ses confrères aumôniers militaires. Il garde une profonde affection à l’égard de tous les personnels du service de Santé des Armées.