Description
Charles De Gaulle par lui-même : Genèse et analyse d’une imposture
La guerre d’Algérie s’est achevée dans une confusion certaine, laissant perplexe le citoyen, neutre mais consciencieux, en droit de s’interroger sur les sinuosités intellectuelles du général De Gaulle entre mai 1958 et juillet 1962. Et si des événements de ces périodes tragiques considérées, avaient été en partie distordus, faussés, déformés par la volonté d’un homme exceptionnel maniant avec talent tous les outils possibles avec pour seule finalité l’affirmation de son « Moi » ?
C’est dans ses notes, ses travaux, ses discours, sa correspondance, ses mémoires, ses confidences, qu’apparaît ce « Moi » qui fournit la seule clé possible pour l’ouverture de la compréhension du Général. Il suffit dès lors de le laisser exprimer des convictions affichables dans l’instant avant de l’observer jouant de cet art qu’il a su mettre en œuvre pour conformer les événements à des arrière-pensées beaucoup moins avouables.
Du même auteur
chez le même éditeur
J’étais dans l’OAS Métro Jeunes-1961-1962
Chroniques de l’Algérie française, préface de Jean Bourdier
Une Presse nationale de combat 1960-197…, préface de Philippe Randa
Camus autrement, préface de Laurence Brun-Mircher
Algérie 54-62… Un autre jeunesse française, préface d’Yves Sarthe
Les voies incertaines de la Repentance. Algérie 1830-1962, préface de Thierry Rolando
D’Azzedine à Si Salah. Une étude sur « La paix des braves », préface de Jean-Pierre Blanchard
Hélie Denoix de Saint Marc, entre honneur et sainteté, préface de Père Christophe Kowalczyk
De Gaulle et l’armée, la fatale équivoque, préface de Henri-Christian Giraud
« L’esprit public » ou la dernière flibuste
Aux éditions Atelier Fol’Fer
Témoignages pour un engagement. OAS Métropole-1961-1962, collectif