Henri Béraud le Lyonnais flamboyant

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Le destin d’Henri Béraud tient tout entier dans le demi-siècle précédent : la guerre de 14 avec les amitiés définitives ; la Révolution bolchevique et le fameux reportage Ce que j’ai vu à Moscou; les scandales de la IIIe République le 6 février 1934 et les éditoriaux fracassants de Gringoire; la montée des totalitarismes et Faut-il réduire l’Angleterre en esclavage?, ce cri qui eut tant d’échos; etc. L’auteur a voulu présenter un Béraud plus complet, plus complexe : un Béraud dont la caractéristique fut, sans doute, d’être le chef de file le plus représentatif d’un courant littéraire que l’on pourrait qualifier de « populiste ».

Description

Le destin d’Henri Béraud tient tout entier dans le demi-siècle précédent: la guerre de 14 avec les amitiés définitives ; la Révolution bolchevique et le fameux reportage Ce que j’ai vu à Moscou; les scandales de la IIIe République le 6 février 1934 et les éditoriaux fracassants de Gringoire ; la montée des totalitarismes et Faut-il réduire l’Angleterre en esclavage?, ce cri qui eut tant d’échos; etc.

Pourtant, ne retenir que l’œuvre polémique et politique des années trente et quarante, ne saurait restituer le personnage. Ne retenir que l’œuvre régionaliste lyonnaise, celle de sa jeunesse, quand il était l’ami des peintres, quand il peignait lui-même, ne le restituerait pas davantage, et cela reviendrait à le mutiler.

L’auteur a voulu présenter un Béraud plus complet, plus complexe: un Béraud dont la caractéristique fut, sans doute, d’être le chef de file le plus représentatif d’un courant littéraire que l’on pourrait qualifier de «populiste». Authentique chef de file de ce courant – sa Croisade contre les longues figures montre cette ligne de fracture des lettres françaises : d’un côté, les « gallimardeux », les « gidards » ; de l’autre, ses amis à lui, bons vivants, gouailleurs et sachant lever le coude. Ce sont des écrivains très français, avec tous les excès – de langue et de plume – que cela peut comporter. Telle est sa conduite: celle d’un homme qui aimait Wagner, le beaujolais, mais pas les Anglais ni les staliniens.

Francis Bergeron a eu une jeunesse engagée en faveur des dissidents d’Europe de l’Est, puis en soutien aux Chrétiens d’Orient, avant de faire une carrière de directeur des ressources humaines dans un groupe international de première importance. En parallèle, il a publié près d’une centaine de livres, dont la série « Clan des Bordesoule », qui s’adresse à de jeunes lecteurs de 8 à 12 ans. Les ventes cumulées de cette dernière collection (quarante titres) ont largement dépassé les trois cent mille exemplaires. Francis Bergeron est aussi ­l’auteur d’une série de biographies d’écrivains, et d’aventuriers.

 

Du même auteur,
Chez Dualpha

Entretien avec Jean Mabire conteur des guerres et de la mer
Entretien avec Geneviève Dormann, la petite sœur des hussards
Présent, un défi au quotidien
Histoire secrète des prétendus « néonazis » de Châteauroux (2001-2021)
Hergé, le voyageur immobile2e éd.
Le choc Marine-Éric (Journal d’une campagne présidentielle (décembre 2021-avril 2022)

aux éditions Déterna-Synthèse nationale

Henri Béraud le Lyonnais flamboyant

aux éditions Déterna

Dictionnaire commenté de livres politiquement incorrects (avec Philippe Randa) préface de Jean Bourdier, 2e éd.

chez Synthèse nationale

Jean-Pierre Stirbois De l’engagement solidariste à la percée du Front national (en collaboration)

à L’Atelier Fol’Fer

Jean-Michel Charlier

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La Bio collection

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