Description
La guerre dite « de Sécession » fut le conflit le plus sanglant de toute l’histoire américaine
Il y a belle lurette que de nombreux historiens anglo-saxons ont fait – et continuent de faire – litière des clichés très politiquement corrects sur ce qu’on appelle en France la « guerre de Sécession ». Appellation que nous utiliserons nous-même pour des raisons de facilité. Mais en signalant que les Yankees désignent ce conflit sous le nom de guerre civile. Et que les Sudistes disent la guerre entre les États (ou encore : l’invasion nordiste, la guerre d’agression, etc.).
Le traitement objectif de ce conflit meurtrier, de cette guerre totale, de cet affrontement sanglant, par de nombreux historiens, notamment outre-Atlantique, signifie-t-il pour autant que le sujet soit désormais abordé de façon apaisée aux États-Unis ? Pas forcément. Certes des centaines de livres rendent justice au Sud et sont d’utiles antidotes à ces études « historiques » pour lesquels l’affaire est définitivement réglée : les vertueux Nordistes d’un côté et, de l’autre, les diaboliques Sudistes.
C’est tout cela que nous allons évoquer dans les pages qui suivent. Et d’abord montrer que le Nord n’a pas agressé le Sud pour des « raisons humanitaires »(comme on dirait de nos jours pour justifier parfois l’injustifiable).
Lincoln a une statue gigantesque à son effigie à Washington. Et à Monroe, et à Richmond, on interdit de célébrer les soldats noirs vêtus de gris qui, au coude à coude avec les soldats blancs vêtus de gris, choisirent de se battre et de mourir pour Dixieland. Cherchez l’erreur…
« 150 ans après la guerre de Sécession, cet ouvrage réhabilite le Sud en exaltant son courage et son énergie, en rendant aux milliers de Noirs qui se sont battus au sein de l’armée confédérée, en traitant objectivement ce conflit meurtrier aux antipodes de la version officielle qui tend à présenter cette guerre totale comme opposant le Nord vertueux au Sud diabolique » (Renaissance des Hommes et des Idées).
« Inscrit dans une collection consacrée à la désinformation historique, ce petit ouvrage particulièrement tonique, revient sur l’un des épisodes majeurs de l’histoire des États-Unis : la Civil War des vainqueurs nordistes, désignée comme la “guerre entre les États” par les gens du Sud. Contre une lecture univoque confondue avec un dossier à charge accablant pour la malheureuse Confédération, Alain Sanders, dont on sait l’intérêt qu’il porte à une certaine Amérique, démonte méthodiquement les mensonges et les légendes entretenus depuis un siècle et demi à propos de ce conflit, du prétexte abolitionniste au bellicisme de Lincoln, appuyé, déjà, sur de prétendues exigences “humanitaires” » (Jean Kappel, La Nouvelle Revue d’Histoire).
Du même auteur
aux Éditions Dutan
Le Hussard blet (vingt ans après) (roman)
Les chants profonds du Dixieland (poèmes)
Prière pour aller au paradis avec mes chats (poèmes)
Du même auteur
aux Éditions Dualpha
La véritable histoire de Jesse James
Ce qu’on n’a jamais dit sur Katyn (avec Roger Holeindre)
Les héroïnes sudistes durant la guerre de Sécession
La désinformation autour de la guerre de Sécession
Centurions. 30 baroudeurs de l’Indochine française
aux Éditions de l’Atelier Fol’Fer
Mercenaires. Soldats de fortune et d’infortune
Armand de La Rouërie, l’« autre héros » des Deux Nations (avec Jean Raspail)
Le Sanders-Express est de retour
Bal(l)ades texanes. Petit guide sentimental au cœur de l’Étoile solitaire
Bal(l)ades irlandaises. Petit guide sentimental à l’Eire libre
Dans la famille… je demande le père
Comme disait ma grand-mère… et autres souvenirs du Maroc heureux
La désinformation autour de Marie-Antoinette
La désinformation autour d’Abraham Lincoln
L’Amérique dans tous ses États … et autres états d’âme
Le Who’s who des cowboys chantants
Il a tué Lincoln ! J. W. Booth, le Brutus des Sudistes
Charles Maurras. Prophète et résistant
Pembroke ou la mort un jour (théâtre)
Mexique. De l’indépendance aux Cristeros
Si je t’oublie jamais, Saïgon… (La fin du Vietnam libre)
Meurtre à Bandera, Texas (roman)