L’Algérie française, le combat pour l’honneur

Il y a 60 ans, la France et l’Algérie se séparaient suite à un conflit militairement gagné par notre armée mais politiquement torpillé par les pseudo élites de l’époque qui croyaient encore dans ce que l’on appelait « le sens de l’Histoire ». Pour faire simple, le France était divisée entre ceux qui soutenaient le FLN et l’abandon de nos trois départements algériens et ceux qui, par attachement à la grandeur et au rayonnement de notre pays ou par fidélité à la parole donnée, se sont engagés pour défendre l’Algérie française. 60 ans plus tard, notre société est toujours marquée par cette tragédie. Voilà pourquoi nous avons décidé de donner la parole à ceux qui se sont battu pour l’Honneur de notre nation.

La fusillade de la rue d’Isly… Joseph Katz, le boucher d’Oran… Les rapatriements des Pieds-noirs… Le 19 mars… Le commando Georges… Les enfants perdus de l’OAS… Jean Bastien-Thiry… Pierre Château-Jobert… Roger Degueldre… Pierre Lagaillarde… Robert Martel… Jo Ortiz… Pierre Sergent… Jean-Jacques Susini…

Entretiens, Témoignages & contributions de : Philippe Aziz, Armand Bénésis de Rotrou, Francis Bergeron, Jean-Pierre Brun, Daniel Cadet, Philippe Chiaverini, Gérard Crespo, Richard Dessens, Pierre Dimech, Yves Geoffroy, Jean-Claude Giraud, Manuel Gomez, Michel Klen, Gérard Lehmann, Philippe de Parseval, Jean-Claude Pérez, Guy Pujante, Jean-Claude Rolinat, Alain Sanders, Maurice Sarazin, Robert Saucourt, Roger Soncarrieu, Rémy Valat, Michel Vial

L’introduction de Philippe Randa :

À tous ceux qui ont œuvré ou œuvrent toujours pour  rétablir les vérités…

Longtemps nommée « événements d’Algérie » ou encore « Opérations de maintien de l’ordre en Algérie » pour en minorer la gravité et les conséquences, cette véritable guerre civile dura officiellement du 1er novembre 1954 au 5 juillet 19622 ; il fallut attendre le 18 octobre 1999 pour que l’appellation « guerre d’Algérie » soit officiellement adoptée en France.

Événements, opérations, guerre, comme l’on voudra, mais surtout drame effroyable qui brisa tant de destinés, frappa si cruellement des familles, fit naître rancœurs, frustrations et haines d’un bord ou de l’autre, autant des engagés volontaires que des appelés du contingent, qu’ils aient été catholiques, musulmans, combattants des Willayas ou de l’Organisation Armée Secrète.

Puis, en final de « ces événements », « ces opérations », « cette guerre », il y a le drame des Pieds-noirs et l’injustice faite aux harkis qui donne souvent lieu, soixante ans après, à une monstrueuse et intolérable désinformation.

Aussi nous a-t-il semblé important, sinon juste, de privilégier, dans ce Cahier d’histoire du nationalisme, les témoignages d’acteurs de cette cause de l’Algérie française que des historiens ayant désormais « pignons à l’Élysée », Benjamin Stora en tête, s’efforcent de présenter de façon si caricaturale, si injuste et trop souvent si… erronée !

Ce Cahier d’histoire du nationalisme n’est évidemment pas exhaustif sur l’Algérie française ; il n’a d’autre ambition, à travers les témoignages rappelés ou mis en exergue d’acteurs (Jean Bourdier, Jean-Pierre Brun, Jean-Claude Giraud, Philippe Chiaverini, Camille Marie Gallic, Christian de la Mazière, Robert Saucourt, Pierre Dimech), à travers les  portraits de quelques grandes figures de l’OAS (Pierre Chateau-Jobert, Roger Degueldre, Serge Jeanneret, Raoul Salan, Jean Bastien-Thiry, Pierre Sergent), ou encore avec les réflexions et observations d’historiens, journalistes ou écrivains, (Philippe Aziz, Francis Bergeron, Richard Dessens, Philippe de Parseval, Jean-Claude Rolinat, Alain Sanders, Michel Vial… que de donner une autre vision, une autre approche, une autre sensibilité à la réalité d’une histoire qui n’a été que trop politisée…

Ce numéro des Cahier d’histoire du nationalisme est dédié à tous ceux qui ont œuvré ou œuvrent toujours pour rétablir les vérités, que ce soit par leur engagement, leur fidélité, leur passion restée intacte pour leur terre natale, leur colères contre les mensonges, les impostures, les forfaitures et toutes les « degaullaiseries » qui n’ont de cesse, depuis les accords d’Évian le 18 mars 1962, de répandre mensonges et calomnies sur les 132 années de colonisation française et les sept années et cinq mois de guerre civile.

À titre personnel, je tiens à dédier tout particulièrement ce Cahier à Jean-Pierre Rondeau, l’ami qui m’a engagé à publier ou republier tant d’ouvrages sur cette période, d’abord dans la collection « Vérités pour l’histoire » des éditions Dualpha et désormais dans la collection « Vérités guerre d’Algérie » aux éditions de l’Atelier Fol’Fer que j’ai reprises et qui avaient, sous la direction de Sabine Bénichou et d’Alain Sanders, publiés également tant de livres importants sur cette période.

Philippe Randa

La Démocratie travestie par les mots

Les mots ont-ils un sens ? Ou comment manipuler les codes habituels de la communication pour travestir les notions et les valeurs de ce qui constitue l’identité d’un peuple, d’une nation ou d’une civilisation. C’est ce que tente de démontrer l’ouvrage de Richard Dessens à travers une trentaine de mots ou de concepts utilisés par les penseurs de la démocratie moderne de l’après-guerre.

Au-delà de l’instrumentalisation d’une pensée caricaturale et simplificatrice, c’est la liberté concrète d’expression et de diffusion qui est posée pour quiconque tenterait de vouloir débattre ou contredire un politiquement correct de circonstance, ou des évidences sociétales en réalité vidées de toute substance, mais excluantes et dictatoriales. Jamais l’intolérance, l’inculture institutionnalisée et l’outrance n’ont été aussi palpables, sous couvert de liberté et de principes démocratiques.

C’est aussi le constat dramatique de la fin de la politique qui domine dans les lignes de cet abécédaire désenchanté, politique rejetée et méprisée au profit d’un individualisme de consommateur qui a tué ce qu’il subsistait des valeurs citoyennes de la république.

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

Du même auteur
chez le même éditeur

Henri Rochefort ou la véritable liberté de la presse

La démocratie interdite

Histoire et formation de la pensée politique

L’Europe chrétienne ou la mémoire perdue (suivi de) La dictature démocratique

La Démocratie travestie par les mots

Les grands enjeux du XXIe siècle

L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020), préface de Philippe Randa

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L’écume de la mémoire

Histoire et formation de la pensée politique

La pensée politique naît, se développe, s’infléchit en fonction d’éléments et d’objectifs pratiques et concrets : comment organiser les relations entre les hommes, selon quels critères, avec quel pouvoir et quelles limites ?

Ce caractère concret de la pensée politique et ses conséquences dans la vie quotidienne des hommes, sont déterminants pour en comprendre les mécanismes… Analyser quelques grandes idées, principes, évènements et leurs enchaînements, mais aussi et surtout apprendre à structurer la pensée : tels sont les objectifs de ce livre.

Richard Dessens aborde ainsi les éléments fondamentaux de philosophie politique, d’histoire des idées politiques, de sociologie et de science politiques, d’histoire, de géographie, d’histoire des religions et des techniques.

Divisé en deux parties, la seconde traite sept thèmes politiques d’aujourd’hui comme l’individualisme, la citoyenneté ou les partis politiques.

 

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

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Les grands enjeux du XXIe siècle

L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020), préface de Philippe Randa

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L’écume de la mémoire

L’écume de la mémoire

Postface d’André Dessens

De l’Espagne au royaume arabe d’Algérie (1879-1962). Un itinéraire de Dalias à Saint-Cloud

Ce sont des centaines de milliers d’Espagnols, d’Alicante, de Carthagène, de Murcie, d’Alméria et de dizaines de villages perdus des Alpujarras, qui vinrent peupler l’Algérie oranaise majoritairement, rejoignant leurs compatriotes déjà installés depuis quatre siècles dans une Algérie de tradition espagnole dans l’« Oraniense ».

C’est leur mémoire et leurs souffrances dans une Algérie conquise par la France et colonie de peuplement à partir de 1848 qui constitue le fil rouge de cette histoire dans l’Histoire finalement dramatique d’une Algérie française, dont la composante oranaise est d’abord espagnole. Ces Espagnols, devenus fièrement Français, n’avaient jamais vraiment connu la France dans leur majorité jusqu’en 1962 lorsqu’ils la découvrirent en tant que « rapatriés » ; des « rapatriés » qui étaient en réalité des « expatriés oranais » espagnols dont le cœur et l’âme étaient devenus français, notamment par leur sang versé pendant la guerre de 1914. L’Algérie, « colonie » tellement atypique, tellement charnelle, tellement patriotique, terre séculaire voire multiséculaire de tant d’Espagnols et aussi de Français d’une métropole si lointaine.

Les souffrances volontaires de leur arrivée à partir des années 1860 n’a d’égal que les souffrances subies en 1962.

Histoire du peuplement de 1848, du rêve algérien de Napoléon III et d’Abd-el-Kader, de l’immigration espagnole, avec l’aventure d’une famille de Dalias, village proche d’Alméria, les Villégas, emblématiques de cette immigration réussie dans l’Oranais, à Saint-Cloud, l’un des premiers villages de peuplement où les Espagnols d’origine vont représenter 80% de la population française.

C’est une histoire de l’Algérie oranaise, complétée par des souvenirs d’une autre histoire dans le Constantinois, à Bône, qui se déroule à travers les pages de ce livre, comme celle d’une épopée unique dans l’histoire d’une colonisation unique achevée dans le sang et les larmes.

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

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L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020), préface de Philippe Randa

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L’écume de la mémoire

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La cause animale : un enjeu politique, une éthique de responsabilité

Le sujet de la condition animale, de la place de l’Homme dans ou vis-à-vis de la Nature, de ses relations avec elle, et donc de sa propre nature, est profondément politique en tant qu’il découle d’une philosophie fondatrice. La question de la « frontière infranchissable » entre l’Homme et la Nature, souvent évoquée, en montre l’ampleur et détermine deux conceptions très différentes et même opposées de l’Homme et de la Nature, et notamment de sa faune supérieure.

À force de vouloir se démarquer systématiquement de la Nature, les Hommes en arrivent à privilégier des aberrations sur tout bon sens, ne serait-ce que pour démontrer leur autonomie totale de toute contrainte quelle qu’elle soit et d’où qu’elle vienne. La philosophie des Lumières et kantienne qui affirme une « autonomie de la volonté » humaine comme la mesure de la supériorité des Hommes et sa supra naturalité, a fait un mal inouï au monde animal et à la Nature. Un monde dénaturé ne peut que produire des solutions dénaturées et mortifères à terme.

C’est tout un comportement, une philosophie, une conception des relations qui doivent cette fois évoluer vers une nouvelle symbiose naturelle par laquelle notamment l’Homme réapprendrait à considérer l’animal à un même degré de dignité que pour lui-même, tout en tenant compte des différents degrés de conscience de chaque espèce et en privilégiant l’immense responsabilité dont les hommes sont les dépositaires face à la Nature.

Il ne s’agit pas de comparer ni de hiérarchiser les hommes et les animaux, mais d’adopter une véritable éthique de la complémentarité, ce qui constitue une démarche nouvelle débarrassée des discours sans fin et stériles de nature « anthropomorphique » pour les uns, sentimentale pour d’autres, spécistes ou anti-spécistes encore.

 

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

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L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020), préface de Philippe Randa

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L’écume de la mémoire

L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020)

Préface de Philippe Randa.

L’Europe est encore et toujours en danger et en proie à toutes les convoitises. Mais aux périls séculaires anciens extérieurs, toujours d’actualité, se sont ajoutés, et c’est le plus inquiétant, les périls intérieurs nés d’idéologies mortifères pour la civilisation européenne et ses valeurs. Les dirigeants ultra-libéraux de l’Europe la veulent mondialisée, offerte, vidée, violée, repentante, honteuse de ses racines, sans l’affirmer bien sûr aussi clairement.

Mais depuis quelques années, certains peuples renâclent à se laisser mourir et plusieurs États européens ont choisi d’autres voies sous les foudres, anathèmes et condamnations de l’Union européenne : Pologne, Hongrie, Tchéquie et Slovaquie, appelés le Groupe de Visegrad. D’autres ont fait des tentatives de sursaut : l’Italie ou l’Autriche un temps. D’autres enfin ont renforcé leurs combats, en Allemagne, Belgique, Suède, Norvège, Royaume-Uni et même en France.

C’est dans ce contexte à la fois de déliquescence volontaire, comme la servitude annoncée, et de climat conflictuel de plus en plus acéré que Richard Dessens laisse parler ses convictions, ses indignations, ses colères, ses analyses aussi, sur l’Europe et le devenir européen, dans plusieurs séries d’articles qui forment une tentative d’essai socio-politique. Tous les sujets d’actualité, européens et de géopolitique, sont scrutés, disséqués pour essayer d’en comprendre les significations et les projections. Droits de l’Homme, mixité, citoyenneté, mondialisme, immigration, identités, surpopulation mondiale, État-Nations, régions, Europe des peuples, écologie – la sincère et l’usurpée –, christianisme, liberté, justice, jusqu’à l’idéologie macronienne, sont entre d’autres sujets, au cœur de la politique et de sa réflexion philosophique.

Gare aux spectateurs détachés et autres abstentionnistes dépolitisés au profit du tout-économique qui devraient se rappeler un slogan célèbre : « Si tu ne t’intéresses pas à la politique, la politique, elle, s’intéresse à toi »… pour mieux te circonvenir.

Philippe Randa écrit dans sa préface : « Le fil rouge de son essai est dans son titre : la montée de l’Eu­rope des peuples, soit l’émergence dans tout notre continent de mouvements populistes, identitaires, révoltés contre cette repentance castratrice dont les gouvernants de l’Union européenne, désormais aux abois, n’ont que trop abusés pour asseoir leur Pouvoir et surtout leurs intérêts personnels.»

 

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

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L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020), préface de Philippe Randa

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L’écume de la mémoire

Les grands enjeux du XXIe siècle

Les relations internationales depuis 1943.

Un monde, et même plusieurs, sépare la seconde moitié du XXe siècle et le début du XXIe : effondrement des valeurs religieuses, de l’autorité, explosion de l’individualisme et déification de la loi du marché en Occident sont couronnés à la fin du millénaire par la mondialisation et la globalisation financière qui l’accompagne.

Ce monde devenu désenchanté à la torpeur apathique de la fin du XXe siècle va être secoué par l’émergence de nouveaux dangers encore inconnus pour certains ou tenus à bas bruit pour d’autres : contestation de l’Ordre mondial occidental sous couvert d’islamisme radical ; risques économiques considérables à l’échelle d’une mondialisation devenue une bombe de moins en moins à retardement, compte tenu de l’interdépendance de toutes les économies nationales ; destruction de la Nature et surpopulation ; phénomènes migratoires à grande échelle enfin, constituent les grands enjeux du XXIe siècle…

Toute action suscite en réaction. Parfois la réaction est trop tardive ou inadaptée souvent pour des raisons idéologiques qui refusent de faire les choix salvateurs.

Le XXIe siècle est celui d’une nouvelle réaction, des Hommes comme de la Nature, aux excès inouïs et suicidaires à terme de la seconde moitié du XXe. C’est ce que tente de montrer cet ouvrage, à travers l’histoire politique du monde depuis le début de la fin du IIIe Reich à Stalingrad en 1943, jusqu’à la nouvelle déstabilisation du XXIe siècle que nous sommes en train de vivre.

 

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

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L’écume de la mémoire

L’Europe chrétienne ou la mémoire perdue (suivi de) La dictature démocratique

La première grande migration des idées vers l’Europe fut celle du christianisme, qui mit dix siècles à s’imposer et à investir les valeurs et les esprits européens en détruisant leurs racines naturelles dans le sang de massacres successifs. Son premier fils, l’humanisme, suivi de son puiné, le libéralisme, entourèrent la naissance de leur fille cadette, la démocratie moderne. Tous se penchèrent enfin sur le berceau du petit dernier : l’individualisme et ses avatars droits-de-l’hommiens.

Ce parent extra européen de la première mixité imprégna de son manichéisme du Bien et du Mal chrétiens, l’homme européen ; le détourna de la Nature et de ses valeurs identitaires, en supprima les liens sacrés et nourriciers ; fit de l’homme européen le symbole de l’asservissement des peuples au nom du Christ rédempteur et nivelant, puis en celui de sa nouvelle religion continuatrice des Droits de l’Homme.

Il fit de la liberté naturelle de l’homme-citoyen une seule espérance castratrice de sa liberté dans une vie meilleure au Royaume de Dieu, au mépris de la Terre, vallée de larmes, et sa Nature hostile dont le seul objet est de servir l’homme destructeur.

Le lent poison du christianisme et de ses enfants aux visages d’anges tentateurs, a détruit l’homme européen et répandu les germes de la discorde dans le monde, au nom de valeurs originelles qui ont muté progressivement jusqu’à faire de chaque homme un Dieu, à condition qu’il souscrive à la nouvelle idéologie religieuse des Droits de l’Homme, et une incarnation du Mal s’il ose y résister, s’il s’accroche à ses valeurs identitaires, s’il refuse la grande mixité de la race humaine cosmopolite voulue par Dieu.

 

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

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L’écume de la mémoire

La démocratie interdite

Quelle est la véritable nature de nos démocraties européennes postmodernes ? Sous couvert de sentiments généreux et en flattant l’individualisme la démocratie répond-elle aux valeurs qu’elle brandit sans cesse, souvent pour interdire toute opposition ou remise en cause de situations qui ont tant évolué depuis la fin de la IIe Guerre mondiale ? Valeurs universelles ou valeurs utilisées pour laisser le champ libre aux puissances économico-financières qui ont en réalité pris le pouvoir pour servir leurs propres intérêts ? L’opposition entre individualisme, et toutes les conséquences qui en découlent au quotidien, et l’intérêt général des peuples, n’est-elle pas devenue l’arme absolue des idéologues d’un monde de la mixité généralisée et vidé des valeurs civilisationnelles et identitaires de l’Europe ?

Autant de questions auxquelles l’auteur tente de répondre à travers vingt-deux arguments de la démocratie interdite.

Table des valeurs démocratiques

Introduction – Argument 1 : La théorie du complot (ou les complots n’existent pas) – Argument 2 : La compassion (l’émotion et l’excuse)- Argument 3 : L’accueil des migrants- Argument 4 : Les cellules psychologiques (ou l’homme désarmé)- Argument 5 : Poutine, Erdogan, Trump, mais…- Argument 6 : L’homosexualité- Argument 7 : Les droits des femmes (la négation de la complémentarité)- Argument 8 : La délinquance (la théorie de l’excuse)- Argument 9 : Les droits de l’Homme (l’individualisme exacerbé)- Argument 10 : La Presse (incontrôlée et intouchable)- Argument 12 : le règne des interdits- Argument 13 : La drogue (explicable)- Argument 14 : La jeunesse- Argument 15 : Le système judiciaire (l’hypocrisie liberticide)- Argument 16 : L’illusion de la liberté- Argument 17 : La Justice (le triomphe de l’idéologie politique)- Argument 18 : La police (liberticide)- Argument 19 : Discrimination et mixité- Argument 20 : L’écologie (n’est pas une valeur démocratique)- Argument 21 : Politique étrangère : « LE » justificatif- Argument 22 : L’« État de droit »- Conclusion : « Comment peut-on être Persan ? »- Postface : propositions pour demain

 

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

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Henri Rochefort ou la véritable liberté de la presse

Henri Rochefort eut une vie en forme d’épopée fabuleuse. Révolté, ombrageux et jaloux d’une liberté individuelle farouche, doublée d’un sens exacerbé de la justice, il entame son combat pour la liberté de la presse dans les années 1850, la presse étant pour lui l’expression même de la liberté politique et le chemin de la cause républicaine.

Il remet en cause toute autorité, refuse toute contrainte, se fait le fer de lance de la contestation, à une époque de bouillonnement politique et de censure de la presse. La Lanterne, hebdomadaire qu’il crée à la fin de l’Empire, fut un brûlot qui contribua à la délégitimisation du régime de Napoléon III. Victor Hugo, son grand ami, écrira : « Rochefort, l’archer fier… dont la flèche est au flanc de l’Empire abattu ». Succès inouï,La Lanterne tire à 150 000 exemplaires !

Rochefort est élu député à trois reprises, ministre du Gouvernement de la Défense Nationale en 1870. Il participe à la Commune. Puis c’est l’emprisonnement et le bagne de Nouméa en compagnie de Louise Michel. Son évasion rocambolesque de l’Île de Ducos reste un fait unique dans l’histoire de ce bagne. Deux exils pendant quinze ans, deux retours triomphaux à Paris comme jamais on en avait vu. Quelle vie !

Rochefort, c’est le Second Empire, la Commune, le boulangisme, l’affaire Dreyfus, les scandales des décorations, de Panama, de l’emprunt russe. Rochefort incarne les excès de cette France de l’Empire à la Guerre de 1914. Rochefort le patriote est républicain, puis maurassien, mais toujours libre. Ses amitiés sont de tous les bords politiques. Il est partout, il n’est nulle part. Il est Rochefort, le journaliste indépendant de tous les pouvoirs, de toutes les modes, de toutes les pressions.

Rochefort peut-être le plus grand journaliste de tous les temps, pionnier de la liberté de la presse, à la vie parsemée d’aventures extraordinaires, l’héritier de Théophraste Renaudot, dont on attend encore une descendance pour une presse de combat disparue en même temps que la liberté d’expression qu’il avait su imposer.

 

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

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