Pass sanitaire forever !

L’album Ignace de décembre 2020 à novembre 2021

4e recueil annuel des dessins d’Ignace parus sur Médias presse info et sur TV Libertés.


Ignace :  côté pile excentrique,  côté face féroce !
(préface de Philippe Randa)

Tous ceux qui connaissent Ignace ne seront pas surpris : cette préface, voilà longtemps que son éditeur et lui-même avaient décidés de me la demander…

Pourquoi pas ! Quelques semaines pour réunir les dessins, les classer, les mettre en page, réaliser la couverture… Ah oui, mais et la préface ?

— Allô, Ignace ? Philippe te l’a envoyée ?

— Euh, non !

— Mais tu la lui as demandé ?

— Ah ! Euh, c’est que tu ne m’as pas donné son numéro.

— Mais si !

— Ah !

Est-il utile de préciser que depuis 4 décennies que je connais Ignace et que notre amitié ne s’est jamais démentie, j’ai bien dû lui donner mon numéro vingt-six mille fois… au moins !

C’est donc la veille de l’envoi de ce livre chez l’imprimeur que, branle-bas d’appel, j’apprends la demande et son… extrême urgence !

Ignace, l’éternel tête en l’air ? On préfèrera plutôt dire, par une charité qu’il voudrait aussi chrétienne que possible : toujours le nez dans ses dessins ! Ce qui est (aussi) assez proche de la réalité.

Ignace, côté pile et côté face, donc !

Laissons le soin à ses amis de lui pardonner ses facéties qui leur font chaque fois de bons souvenirs à se raconter et intéressons-nous à ce nouvel album que j’ai tout de même, ne soyons pas ingrat, eu le privilège de découvrir avant tout le monde.

Après l’Apocalypse Flamby (haro sur François Hollande), La crise de Jupiter (haro sur Emmanuel Macron), Dictature sanitaire « la vie est bêle » (haro sur le virus qui rend fou), voici donc Pass sanitaire forever ! dans lequel il se déchaîne contre le harcèlement sanitaire avec des phrases illustrant ses dessins bien plus mortelles que cette pandémie du Covid dont la gestion nous aura fait passer, davantage que les attentats du 11 septembre 2001, dans un XXIe siècle pour l’heure assez peu ragoûtant.

Jugez-en : « Cruelle, inhumaine, monstrueuse… Non à la Vaxomachie !!! » avec un Macron au rictus démoniaque, habillé en toréador, brandissant une seringue-épée au-dessus d’une cape rouge ou encore fustigeant ceux qui l’accusent de dictature : « La démocratie, c’est faites-vous vacciner et fermez-la ! » en passant par « Le martyre de St Sébastian » représenté au IIIe siècle le corps criblé de flèche… et au XXIe siècle criblé de seringues !

Son aîné, le dessinateur Konk avait immortalisé à jamais les ravages d’un dessin de presse avec sa phrase « Un bon dessin vaut mieux qu’on long discours ! »

Je ne peux donc que conclure avec une autre vérité : « Un bon album n’a pas (surtout pas) besoin d’une longue préface ! »

Seul un Pass politiquement incorrrect (disponible dans toutes les bonnes librairies) est indispensable pour sa lecture ; profitez-en vite… des fois que…

Philippe Randa
Directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

Ignace.

Du même auteur
chez le même éditeur

Dictature sanitaire « La vie est bêle », préface de Xavier Guénant
Pass sanitaire forever !, préface de Philippe Randa
Nous sommes en dette !, préface d’Alain Escada
La guerre ? Nous sommes prêts !, préface de Martial Bild

Carnet d’un Réfractaire

Les livres de cette collection ont été publiés dans un passé récent. Ils nous remettent en mémoire des événements parfois oubliés et offrent des analyses toujours pertinentes aujourd’hui, mais qu’il est nécessaire d’appréhender avec le recul de l’histoire. Ils offrent ainsi un éclairage indispensable pour comprendre l’évolution et la situation des sociétés actuelles.

Préface de Philippe Randa.

Si l’on s’en réfère au Larousse, « réfractaire » signifie : « qui ré­sis­te à certaines in­fluen­­ces physi­ques ou chimiques (…) à une infec­tion micro­bien­ne »…

Le lecteur aura à chaque page la confirmation que nul titre ne pouvait mieux convenir à cet éphé­mé­ride politique, historique et spirituel, gra­ve ou anecdotique, suivant l’humeur du jour ou l’importance de l’événement.

Homme de guerre et de Lettres, ancien officier, ancien clandestin et ancien condamné à la réclusion à perpétuité, Jean Curutchet a prouvé qu’il a été réfractaire tout au long de sa vie tout autant au « consensus mou » qu’au « politiquement correct », de même qu’au « prêt-à-penser » et au « prêt-à-croire » des marchands de tous les Temples, anciens ou moder­nes.

Il ne tempère pas ses réflexions sur la mar­che du monde… ou plutôt comme le monde ne mar­che pas, selon l’expression si chère à l’historien Jean Mabire.

Avoir beaucoup vécu est une chose ; avoir beaucoup connu, beaucoup entrepris, beaucoup cherché, en est une autre. C’est à ce dernier titre qu’il s’exprime tout au long des pages du Carnet d’un Réfractaire.

Éphéméride politique, historique et spirituel d’un homme qui ne tempère pas ses réflexions sur la marche du monde. Il prouve qu’il a été réfractaire tout au long de sa vie tout autant au consensus mou qu’au politiquement correct de même qu’au prêt à penser.

 

Né dans une famille d’origine basque, Jean Curutchet (1930-2013) choisit la carrière des armes. Il sert comme officier en AFN entre 1954 et 1960 avant de passer dans la clandestinité en 1961. Enlevé à Dakar, il est ramené en France et condamné à la réclusion criminelle à perpétuité. Libéré en 1968, il fonde une maison d’édition à Bayonne. Retiré au cour du Pays basque intérieur, il a pu enfin consacrer tout son temps à sa passion pour la métahistoire.

 

Du même auteur
aux éditions Dualpha

Je veux la tourmente

aux éditions Déterna

Carnet d’un Réfractaire

La faim justifie les moyens

Préface de Philippe Randa

L’épopée de la première campagne de soupes de nuit Gare Saint-Lazare

(suivi d’un entretien avec le Pasteur Blanchard, par Gilles Clavel, vice–président de l’ASP

C’était le 4 novembre 1996 sur le parvis de la gare Saint-Lazare. Le pasteur Jean-Pierre Blan­chard venait leur servir la soupe. Au propre, pas au figuré. C’était un « gars du Front national » et sa soupe n’était pas empoi­sonnée, contrairement à un bruit que l’on n’a pas manqué de faire courir. Les médias ne sont venus qu’une fois. Et ce n’était même pas pour lui, mais parce que ces médias, auto persuadés de leurs vérités, étaient certains qu’il allait se faire chasser. Il a été accueilli, remercié, loué…
Il y a pauvres et pauvres, mais il y a aussi charité et charité. Celle du pasteur est trop sincère pour qu’elle ne soit pas « politiquement incorrecte » en cette fin de siècle. Et le pasteur Blanchard revient à la gare Saint-Lazare chaque hiver depuis trois ans.
Lui n’a rien à vendre : ni une élection, ni une chanson, ni un film. Il ne demande rien – pas même une carte d’identité fran­çaise – et il donne tout.

« Il y a pauvres et pauvres. Il y a ceux que l’on montre à la télévision parce qu’un ministre, un chanteur célèbre, une comédienne tout émoustillée vient à leur rencon­tre, c’est-à-dire vient se faire filmer ou photographier au milieu d’eux. Ces pauvres-là ne sont pas inutiles. Une réélection, la sortie d’un « tube », la sortie im­mi­nente d’un chef-d’œuvre du 8e art dépend d’eux, de leur détresse. (…) Moi, j’en connais un, d’homme sensationnel ! C’est Jean-Pierre Blanchard ! Pas parce qu’il a écrit un livre fort savant sur Martin Hei­degger, pas parce que nous prônons beaucoup de valeurs communes et pas parce que nous sommes « nationaux-populistes » l’un et l’autre… Non, parce qu’en plein hiver, deux fois par semaine, c’est lui qui conduisait le camion avec les bidons de soupe, le pain, les vêtements à distribuer…  » (extrait de la préface de Philippe Randa).

 

Prenant conscience de sa vocation de travailleur social, le futur pasteur des pauvres découvre l’étendue de la misère, en tant qu’éducateur à l’Armée du Salut à Paris. Croyant, de culture protestante, il devient pasteur, après un stage pastoral et une ordination au Saint Ministère. En 2005, le Pasteur Blanchard portera sur les fonts baptismaux l’Action sociale populaire (ASP).

Du même auteur
Aux éditions Dualpha

Martin Heidegger, philosophe incorrect, 2e éd.
Aux sources du national-populisme : Maurice Barrès et Georges Sorrel, 2e éd.
Mythes et races. Précis de sociologie identitaire, préface de Philippe Gautier, 2e éd.
L’Alternative holiste ou la grande révolte antimoderne, préface de Patrick Gofman
Vilfredo Pareto, génie et visionnaire, préface de Georges Feltin-Tracol

Aux éditions de l’Atelier Fol’fer

La faim justifie les moyens, préface de Philippe Randa, 2e éd.

L’Aquarium aux nouvelles

Préface de Philippe Randa.

Le Noroît et L’Éclair sont deux quotidiens locaux, dans la Normandie des années 50… À la fois pour endiguer une baisse de ses lecteurs, développer son audience, voire prendre le pas sur son rival plus important que lui, Le Noroît décide d’augmenter sa pagination de 6 à 8 pages, ce qui entraîne un bouleversement pour tous les employés du journal, des techniciens aux rédacteurs : changement d’habitude, heures supplémentaires, angoisse de l’échec dont pourrait dépendre l’équilibre financier, voir la pérennité du journal. Le Noroît se donne douze mois pour savoir si cette aventure sera un succès ou un échec…

L’atmosphère rappelle les romans de Georges Simenon : elle est celle des années 50, une époque qui vit pleinement au rythme d’une province où « la ville est pleine de petits jeunes gens ambitieux qui ne savent que faire… » et auxquels un des personnages prévoit qu’ils « seront représentants en aspirateurs ou partiront au Sahara pour y chercher un emploi (…) Pas un ne peut devenir journaliste. Il faut avoir toutes les qualités des ambitieux : ténacité, patience, dissimulation, santé, énergie. Mais il ne faut pas avoir d’ambition. »

Après un passage à l’École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d’art, Jean Mabire (1927-2006) fonde la revue Viking et un atelier d’art graphique à Cherbourg, « Les Imagiers normands ». Sous-lieutenant de réserve, il est affecté durant la Guerre d’Algérie au 12e Bataillon de chasseurs alpins, à la tête d’un commando de chasse composé aux deux tiers de musulmans. Il deviendra ensuite reporter à La Presse de la Manche, puis collaborera à de nombreuses revues historiques ou politiques, tout en publiant chez la plupart des plus grands éditeurs français. Il est ainsi l’auteur de plus d’une centaine de livres, dont de nombreux récits historiques sur la Normandie, la iie Guerre mondiale, les religions nordiques et la littérature… Normand et Européen tout ensemble (Président d’honneur du Mouvement normand et membre du comité de patronage de la revue Nouvelle École), il se définissait comme un « socialiste européen ». Une Association des Amis de Jean Mabire (www.jean-mabire.com) existe depuis 2001.

Normand et Européen tout ensem­ble, Jean Mabire (1927-2006) est l’auteur d’une centaines de livres, dont de nombreux récits historiques sur la Nor­mandie, la IIe Guerre mondiale, les re­ligions nordi­ques et la littérature…

Du même auteur

Aux éditions Déterna

Les SS au poing-de-fer
Panzers marsch !
La brigade Frankreich
La Division Wiking
La panzerdivision SS Wiking
La Division « Tête de mort » (Totenkopf)
Stalingrad
La division Charlemagne
Mourir pour Berlin
Mourir pour Dantzig
La Waffen SS, (signé Henri Landemer)
Les jeunes fauves du Führer
La panzerdivision SS Wiking
Les Panzers de la Garde noire

Aux éditions Dualpha

Que lire ? Portraits d’écrivains, 9 volumes parus
L’Internationale fasciste 1934-1939
La Torche et le Glaive
Rêve d’Europe

Aux éditions L’Æncre

Du bûcher à la guillotinepréface de Philippe Randa

Aux éditions Dutan

L’aquarium aux nouvellespréface de Philippe Randa

Saint-Yves d’Alveydre, une philosophie secrète

Préface de Philippe Randa.

La synarchie, L’archéométrie, Clefs de l’Orient D’où vient la méfiance dans laquelle se trouve confiné le marquis Saint-Yves d’Alveydre, éso­tériste dont le rôle, dans le monde des sociétés secrètes et des rites initiatiques, fut prépon­dé­rant. Il faut dire que les deux grands thèmes auxquels il a consacré la majeure partie de son œuvre – la synarchie et l’archéométrie – ne pouvait que lui attirer plus d’hostilités que de lauriers.

S’il existe un « politiquement correct », c’est un terrible « philosophiquement correct » qui sévit en cette fin de de xixe siècle ? Yves-Fred Boisset réhabilite cet auteur habituellement dénigré dont la « philosophie secrète » n’a été, elle, que trop in­las­sablement dénaturée par des détracteurs sectaires, empêtrés dans la recherche de fantasmagoriques complots.

Dans la première partie du présent volume, l’auteur dégage une synthèse de la pensée historique et sociétale de Saint-Yves d’Alveydre, centrée comme l’on sait autour de la synarchie, système original qui a pour vocation d’établir une alliance et une harmonie entre « l’homme social » et « l’homme spirituel » en effaçant les contradictions habituelles qui sont nées du matérialisme brut. Pour cela, il s’appuie pour l’essentiel sur les Missions et sur quelques autres travaux moins connus de l’auteur.

Dans la deuxième partie, il présente successivement la philosophie archéométrique et les différentes parties symboliques qui composent l’archéomètre avant de conclure sur quelques-unes de ses applications pratiques.

Dans une troisième partie, il présente l’ouvrage alveydrien qu’il considère comme un pur joyau d’ésotérisme et de poésie : Clefs de l’Orient.

En annexes, est reproduit le très intéressant discours que Saint-Yves d’Alveydre prononça à Bruxelles en octobre 1882 devant les membres du Congrès International d’Arbitrage et de Fédération de la Paix ainsi que le brevet d’invention concernant « l’archéomètre » qu’il déposa en 1903.

Du bûcher à la guillotine

Préface de Philippe Randa.

Lorsqu’on n’a rien à se reprocher, on ne ris­que rien. Voire… C’est là tout le thème de ces huit histoires, qui ne sont pas toutes huit erreurs judiciaires, mais dont on peut s’interroger, au-delà des condam­na­tions et des châtiments appliqués, sur les motiva­tions réel­les des protagonistes. Étaient-il vraiment coupa­bles ? Et même s’ils l’étaient, les juges ont-ils tenus compte de toutes les circonstan­ces atténuan­tes dont ils pouvaient bénéficier ?

Un procès, dans lequel subsiste le moindre doute, peut être refait interminablement, même si un accusé a avoué. Des aveux, cela s’ex­tor­que, cela se manipule… Les aveux d’une cra­pule sûre d’elle peuvent devenir des cir­cons­tan­ces atté­nuan­tes ; au con­traire, les aveux d’un être faible, im­pres­sion­nable, influen­çable, peu­vent tout au contraire être faux, parce que soufflés, parce que diri­gés… Com­bien d’aveux ont-ils été signés après quarante-huit heures d’une garde à vue trau­matisante, par un « coupable » qui n’a plus d’autre obsession que d’aller dor­mir, ne plus être soumis à la tension d’un interrogatoire impitoyable, échapper à ceux qui le « persécutent » ?

Jean Mabire nous présente huit affaires criminelles qui s’étendent de la fin du XVIIe siècle à la moitié du XXe siècle. Ces affaires sont crapuleuses ou politiques, parfois les deux… Dans tous les cas, les sentiments humains les plus vils – jalousie, envie, lâcheté, rancune, bêtise, etc. – ont leur part et souvent, hélas, la plus belle part !

Normand et Européen tout ensem­ble, Jean Mabire (1927-2006) est l’auteur d’une centaine de livres, dont de nombreux récits historiques sur la Nor­mandie, la IIe Guerre mondiale, les re­ligions nordi­ques et la littérature…

 

Du même auteur

Aux éditions Déterna

Les SS au poing-de-fer
Panzers marsch !
La brigade Frankreich
La Division Wiking
La panzerdivision SS Wiking
La Division « Tête de mort » (Totenkopf)
Stalingrad
La division Charlemagne
Mourir pour Berlin
Mourir pour Dantzig
La Waffen SS, (signé Henri Landemer)
Les jeunes fauves du Führer
La panzerdivision SS Wiking
Les Panzers de la Garde noire
La division Nordland

Aux éditions Atelier Fol’Fer

La Torche et le Glaive
Les Évadés de la mer

Aux éditions Dualpha

L’Internationale fasciste 1934-1939
Rêve d’Europe

Aux éditions L’Æncre

Du bûcher à la guillotinepréface de Philippe Randa

Aux éditions Dutan

L’aquarium aux nouvellespréface de Philippe Randa

L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020)

Préface de Philippe Randa.

L’Europe est encore et toujours en danger et en proie à toutes les convoitises. Mais aux périls séculaires anciens extérieurs, toujours d’actualité, se sont ajoutés, et c’est le plus inquiétant, les périls intérieurs nés d’idéologies mortifères pour la civilisation européenne et ses valeurs. Les dirigeants ultra-libéraux de l’Europe la veulent mondialisée, offerte, vidée, violée, repentante, honteuse de ses racines, sans l’affirmer bien sûr aussi clairement.

Mais depuis quelques années, certains peuples renâclent à se laisser mourir et plusieurs États européens ont choisi d’autres voies sous les foudres, anathèmes et condamnations de l’Union européenne : Pologne, Hongrie, Tchéquie et Slovaquie, appelés le Groupe de Visegrad. D’autres ont fait des tentatives de sursaut : l’Italie ou l’Autriche un temps. D’autres enfin ont renforcé leurs combats, en Allemagne, Belgique, Suède, Norvège, Royaume-Uni et même en France.

C’est dans ce contexte à la fois de déliquescence volontaire, comme la servitude annoncée, et de climat conflictuel de plus en plus acéré que Richard Dessens laisse parler ses convictions, ses indignations, ses colères, ses analyses aussi, sur l’Europe et le devenir européen, dans plusieurs séries d’articles qui forment une tentative d’essai socio-politique. Tous les sujets d’actualité, européens et de géopolitique, sont scrutés, disséqués pour essayer d’en comprendre les significations et les projections. Droits de l’Homme, mixité, citoyenneté, mondialisme, immigration, identités, surpopulation mondiale, État-Nations, régions, Europe des peuples, écologie – la sincère et l’usurpée –, christianisme, liberté, justice, jusqu’à l’idéologie macronienne, sont entre d’autres sujets, au cœur de la politique et de sa réflexion philosophique.

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

Du même auteur
chez le même éditeur

Henri Rochefort ou la véritable liberté de la presse

La démocratie interdite

Histoire et formation de la pensée politique

L’Europe chrétienne ou la mémoire perdue (suivi de) La dictature démocratique

La Démocratie travestie par les mots

Les grands enjeux du XXIe siècle

L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020), préface de Philippe Randa

J’habite chez mon chat

L’écume de la mémoire

La justice dévoyée (Le gouvernement des juges), préface de Philippe Randa

La comédie de la liberté

Le dictionnaire sulfureux

La Pensée unique exige la soumission ; c’est elle qui dit ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas ; et gare à ceux qui ne comprenne pas que « le crime de penser n’entraîne pas la mort. Le crime de penser est la mort » comme Georges Orwel l’a écrit dans 1984.

Pourtant, la Pensée unique telle que nous la subissons n’est pas Big Brother, personnage de fiction de ce roman prophétique, même si elle en a l’apparence : « Big Brother est infaillible et tout-puissant. Tout succès, toute réalisation, toute victoire, toute découverte scientifique, toute connaissance, toute sagesse, tout bonheur, toute vertu, sont considérés comme émanant directement de sa direction et de son inspiration. »

Car la Pensée unique, ce n’est pas une ou plusieurs idées figées dans le marbre. La pensée unique, c’est celle qu’il faut avoir à une période ponctuelle sous peine d’hérésie.

Être sulfureux est davantage la conséquence, non de certaines idées jugées à tort ou à raison provocatrices, fausses ou dépassées que de ne pas avoir celles imposées par la Pensée unique, celles de l’ère du temps… et de ne pas en changer aussi rapidement qu’elle l’exige.

 

Philippe Randa, chroniqueur politique et éditeur, est l’auteur de plus de 130 livres : romans, documents contemporains, biographies, dictionnaires historiques et littéraires, ainsi que d’essais politiques. Il est un ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale. Il dirige le site de réinformation européenne EuroLibertés et collabore à la revue Synthèse nationale et au site du Nouveau Présent.
Pour découvrir tous les livres disponibles à la vente sur  le site Francephi de Philippe Randa (ainsi que les livres qu’il a préfacés), cliquez ici.

Du même auteur
(liste non-exhaustive)

Un Instituteur au bagne (L’Affaire Lesnier, Gironde 1847-1853), Dualpha, 2005
Patton, général audace, préface de Jacques Borde, Dualpha, 2009, 4e éd.
Légendes païennes du Poitou, préface de Bruno Favrit, Dualpha, 2009, 2e éd.
Maffia rose. Des fantasmes dénoncés à l’exaspération actuelle, préface de Pierre Gripari, Déterna, 2012, 4e éd.
Entretiens politiquement incorrects, L’Æncre, 2013
Une Française dans la tourmente, Berlin 1944-1945, Déterna, 2013, 4e éd.
Le roman noir des demandeurs d’asile, préface de Jean-Yves Le Gallou, L’Æncre, 2015
Le dictionnaire sulfureux, Synthèse nationale, 2019
Le principe du tout à l’egopréface de Patrick Parment, 2020
Virus farces et attrapespréface de Franck Buleux, 2021
Une société de suspicion généralisée, préface de Jean-Claude Rolinat, 2022
Jean Picollec l’atypiquepréface de Roland Hélie, 2022
Ils ont fait la guerre (Les « écrivains-guerriers »), préface de Jean Mabire, Atelier Fol’Fer, 2022, 4 éd.
La France macroniséepréface de Jean-Pierre Brun, 2023

en collaboration :

Des Rescapés de l’Épuration : Marcel Déat-Georges Albertini, avec Roland Gaucher, Dualpha, 2007, 2e éd.
Mesrine l’indompté, avec Jean-Émile Néaumet, Dualpha, 2008, 4e éd.
Les « Antisémites » de gauche, avec Roland Gaucher, L’Æncre, 2011, 3e éd.
Les dernières années de l’Inde française, avec Michel Gaudart de Soulages, Déterna, préface de Douglas Gressieux, 2015
Stoï ! Quarante mois de combat sur le Front de l’Est, avec Pierre Rusco, Déterna, 2013, 4e éd.
D’un uniforme à l’autre, avec Jean-Claude Giraud, Déterna, préface de Jean-Pierre Rondeau, 2015, 2e éd.
Les Acteurs de la comédie politique, avec Nicolas Gauthier, Dualpha, préface d’Éric Letty, 2018, 2e éd.
Dictionnaire historique et commenté de la police, avec Jean-Claude Giraud, Déterna, 2018
Le défi, avec Marie-Simone Poublon, Dualpha, 2019
Crimes en Picardie, avec Jacques Béal, Nos Chères Provinces,  2021, 2e éd.
Dictionnaire commenté de livres politiquement incorrects, avec Francis Bergeron, Déterna, préface de Jean Bourdier, 2022, 2e éd.
Verbatim d’un délire sanitaire, avec Bernard Plouvier, 2022

Aux Éditions Dualpha
(romans)

Poitiers demain, 3e édition
Apocalypse yankee, 4e édition
Trilogie noire en Picardie, 2e édition
Trilogie noire en Languedoc-Roussillon
Un Parisien à La Beunaz (avec Peter Randa)
Complot écologiste, 4e édition

Aux éditions Nos Chères Provinces
Romans

Alaïs, la dame blanche de Montségur, 5e édition
Les Parques de l’Île d’Yeu (avec Peter Randa), 3e édition

Aux Éditions D’un autre ailleurs
(roman)

Front de l’Est, le rêve éclaté, 5e édition

Aux Éditions Dutan
(roman)

Contes fantastiques, 2e édition
Apocalypse yankee, 5e édition
Rendez-vous dans l’avenir, 2e édition

chez Auda Isarn
(roman)

Secret mortel, 2e édition
Erreur mortelle, 3e édition

Le défi

Dans une démocratie, la presse doit être indépendante. On nous l’apprend à l’école, on nous l’assène à l’envi. En France, pays des droits de l’Homme toujours prompt à donner des leçons au reste du monde, il ne saurait en être autrement. Vous en doutez ?

En cinq ans, TVLibertés a réalisé plus de cinq mille émissions, totalisant plus de trois mille cinq cents heures de production et plus de trente concepts d’émission. Le succès de TVLibertés se mesure également au nombre grandissant de téléspectateurs. En mai 2015, la chaîne comptait un peu moins de cinq cent mille vues sur les plateformes de diffusion. Trois ans plus tard, ce chiffre a été multiplié par cinq pour atteindre deux millions cinq cent mille vues.

Ausculté, surveillé, scruté, disséqué par les enquêteurs de la police de la pensée (comme les Décodeurs du Monde),TVLibertés n’a jamais diffusé une seule fausse information. La presse alternative se doit d’être exemplaire et elle l’est en diffusant une information vérifiée. Elle vise à être simplement irréprochable.

Mais dès le départ, son président Philippe Milliau voyait TVLibertés comme une organisation souple, intégrée à un réseau de relais régionaux d’information libre. Le premier fut Breizh-Info. Puis émergèrent tous les sites régionaux à Paris, Bordeaux, Toulouse, Aix-Marseille, Strasbourg, etc. et des liens furent également noués avec des sites en Suisse et en Hongrie.

Aujourd’hui, le groupe Libertés se veut le premier réseau de presse alternative, non seulement en France, mais aussi en Europe et ne cesse de tailler des croupières au Nouvel Ordre Mondial… Mais qui dirige vraiment le groupe Libertés ? Quels sont ses collaborateurs ? Ses partenaires ? Comment se finance-t-il ? Quelles sont ses ambitions nouvelles ?E

Marie-Simone Poublon et Philippe Randa vous racontent ce pari fou auquel bien peu croyaient… Et pourtant !

Avec 16 pages d’illustrations en couleur.

Les auteurs

Marie-Simone Poublon rédige des chroniques pour Eurolibertés et pour la revue Méthode des Instituts franco-russes de Donetsk sur des sujets de société, de politique, d’environnement ou encore de protection animale. Elle a publié en 2016 aux éditions Dualpha Les oiseaux de la colère, préfacé par Philippe Milliau, Président de TVLibertés. Retrouvez-la sur son site www.mariesimone.fr.

Philippe Randa est écrivain, éditeur et chroniqueur politique (Synthèse nationale, Nouveau Présent,…).  Il est l’auteur de plus de 130 livres : romans, documents contemporains, biographies, dictionnaires historiques et littéraires, ainsi que d’essais politiques. C’est un ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale ; il dirige le site de la réinformation européenne Eurolibertés. Pour plus d’informations : www.eurolibertes.com.

Jean-Pierre Stirbois De l’engagement solidariste à la percée du Front national

Il y trente ans,  Jean-Pierre Stirbois disparaissait dans un accident de voiture à Pontchartrain dans les Yvelines. Il revenait à Paris après avoir tenu un ultime meeting à Dreux, la ville où il fut élu en 1983.

Venu de la mouvance solidariste, il adhéra en 1977 au Front national de Jean-Marie Le Pen. Très vite, il en est devenu le secrétaire général.

C’est lui qui élabora la stratégie consistant à concentrer les efforts militants sur quelques villes, comme ce fut le cas à Dreux, afin d’obtenir des résultats conséquents permettant l’émergeance du mouvement au niveau national. En 1983, ce fut le coup de tonnerre de Dreux et, quelques mois plus tard, la percée historique aux élections européennes de juin 1984.

C’est pour rappeler le rôle primordial qui fut le sien dans l’histoire de sa famille politique, et aussi dans celle de notre pays, que lui est consacré ce nouveau numéro, le quinzième, des Cahiers d’Histoire du nationalisme.

Contributions de : Alain de Benoist, Francis Bergeron, Franck Buleux, Françoise Monestier, Philippe Randa, Massimo Magliaro, Jean-François Touzé, Pierre Vial, Carl Lang, Roland Hélie.