Énigmes et Mystères Historiques

Entre mythe et réalité

Ce livre retrace quelques grandes énigmes, à la croisée de l’imaginaire, entre réalité et merveilleux.

La Terre Creuse, Le Suaire de Turin, Le Mystère de l’Art Royal, Le Mystère de l’Arche d’Alliance, L’Énigme des Templiers, Le Mystère des guérisons, Le Mythe du Baphomet, Les sources occultes du nazisme, Le Mystère de la Synarchie, Georges Monti, Égyptosophie et initiation.

En s’appliquant à réunir chronologiquement les témoignages écrits, on part à la découverte d’un monde à la lisière du Fantastique, peuplé de personnages improbables, aux destinées tumultueuses et souvent tragiques.

De nombreux faits étudiés vont contribuer à entretenir le doute, voire à stimuler le questionnement.

L’ensemble de ces observations met surtout en lumière une forme de « Tradition », sorte de fil conducteur intemporel et invisible, traduisant « l’universalité de l’inexplicable ».

Les allégories rattachées à l’expression d’un mythe semblent remonter aux sources de la création et de son corollaire, le mystère. Les légendes abordées jalonnent toutes les cultures, et renvoient l’image d’un être humain au centre d’une destinée commune.

L’histoire officielle entretient, non sans malice, ce goût pour l’étrange, que les thèmes des chapitres abordés ne viendront pas démentir.

S’agit-il pour autant d’une plongée dans l’irrationnel ?

Richard Raczynski, passionné par la grande Aventure des sciences humaines, est l’auteur aux éditions Dualpha d’une trentaine de livres traversés par les souffles du mystère et de la découverte.

Du même auteur
chez le même éditeur

Guide du Paris initiatiquepréface de Dominique de Lagaye
En quête maçonnique, 2e éd.
Un dictionnaire du Martinisme (essai sur)préface de Michel Gaudart de Soulages, 2e éd.
Un Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes
Deuxième Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes
Troisième Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes
Paris, Capitale de l’Art Magique
Énigmes et Mystères Historiques. Entre mythe et réalité
Le Manuscrit inachevé
Biblio Magica. Recueil de notices développé depuis un cahier du professeur Magicus (Adolphe Blind)
La Peur spectacle
Traité de l’insolitepréface de Philippe Randa
Montségur, centre d’un imaginaire cathare
Les Maîtres Invisibles
Bibliographie de l’occultisme
Anthologie de l’Ésotérisme modernepréface de Jean-Claude Jézéquel, 2e éd.
La Fraternité des polaires
L’énigme Jean Marquès-Rivière
SATOR. Essai sur un carré fascinant
L’affaire William Morgan
Le défi de l’Intelligence Artificielle
Agarttha. En des vies souterraines
Mystérieuses sphères du Costa Rica
La simulation informatique

en collaboration
chez le même éditeur

Actes du Symposium de Memphis-Misraïm. L’Aventure spirituelle, aperçu historique du rite de Memphis-Misraïm, 30 mai 2009.

Pour suivre l’actualité de l’auteur :

refletsdupasse.blogspot.com

Les voies incertaines de la Repentance Algérie 1830-1962

Préface de Thierry Rolando, Président du cercle algérianiste.

L’auteur a fait un rêve…

Il incarnait, allez donc savoir pourquoi, un président de la Nième République quand, dans l’exercice de ses fonctions, il se surprit à lancer cette condamnation improbable : «  La colonisation romaine a été un crime massif dont l’Italie doit se repentir si elle envisage d’établir avec la France de véritables relations délivrées d’un passé tragique, dans lequel les 109 tribus gauloises, des Agésinates aux Tectosages, des Carnutes aux Gabales, des Eduens aux Pictons, des Arvernes aux Atrabates, ont souffert l’indicible qu’elles ne peuvent encore effacer de leur mémoire. »

Bigre ! Par quel processus son sommeil, habituellement paisible, avait-il pu se laisser investir par de telles fariboles. Et pourtant… Croyez-vous à la prescience ?

Dans les heures qui suivirent son réveil, il découvrit une déclaration de Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative algérienne de promotion et de protection des droits de l’Homme. Qu’elle ne fut pas sa stupeur ! C’est en des termes presque identiques qu’il exigeait de la France une repentance totale si elle souhaitait nouer avec l’Algérie des liens véritables.

Comment pouvait-il ne pas interpréter pareille coïncidence comme un appel à l’aide de Thémis et de Clio conjointement sollicitées dans ce qui devenait une affaire d’État ? Et c’est ainsi que, n’écoutant que son sens civique, il décida de mettre le cap sur la Repentance. Dès lors il se fraya un passage à travers une jungle d’idées reçues et de présupposés, évita les pièges tendus par les fondrières creusées par le temps mauvais, se joua des fausses balises allumées par les naufrageurs de l’Histoire, rectifia ces erreurs de parallaxe imperceptibles et répétées qui vous écartent dangereusement du droit chemin… Sa laborieuse pérégrination achevée, il peut aujourd’hui affirmer que les voies de la repentance sont vraiment incertaines à défaut d’être impénétrables. Il a reconstitué pour vous son parcours. N’hésitez pas à l’emprunter.

Au sortir d’une jeunesse algérienne et de l’avortement d’une vocation militaire qui a irrémédiablement fait « putsch » en 1961, Jean-Pierre Brun (1942-2023), s’est reconverti en juriste de terrain pour faire carrière dans l’industrie avant de terminer sa vie professionnelle comme délégué général d’un syndicat national patronal. Son humeur on ne peut plus vagabonde enfin retrouvée, il a pu s’adonner à sa vraie passion : l’Histoire et l’Algérianisme.

 

Du même auteur
aux éditions Dualpha

J’étais dans l’OAS Métro Jeunes-1961-1962

Le « Moi » du Général

Une Presse nationale de combat 1960-197…, préface de Philippe Randa

Camus autrementpréface de Laurence Brun-Mircher

Algérie 54-62… Un autre jeunesse françaisepréface d’Yves Sarthe

Les voies incertaines de la Repentance. Algérie 1830-1962préface de Thierry Rolando

D’Azzedine à Si Salah. Une étude sur « La paix des braves », préface de Jean-Pierre Blanchard

Hélie Denoix de Saint Marc, entre honneur et sainteté, préface de Père Christophe Kowalczyk

De Gaulle et l’armée, la fatale équivoquepréface de Henri-Christian Giraud

« L’esprit public » ou la dernière flibuste

Aux éditions Atelier Fol’Fer

Témoignages pour un engagement. OAS Métropole-1961-1962, collectif

Le dérangement du Monde

Le sens de l’honneur s’accommode mal des périodes de décadence, durant lesquelles il s’évanouit chez les médiocres qui, partout et toujours, forment la majorité des populations. Cet affaissement moral fait entrer la vie publique et privée en état de pourrissement. L’on perçoit alors les stigmates de décomposition sociale : encouragement au parasitisme social, prime électorale aux plats démagogues, impunité offerte aux criminels. Continuer la lecture de Le dérangement du Monde

Stalingrad

La bataille décisive de la IIe Guerre mondiale (juillet 1942-février 1943)

1942-1943. Un an après l’attaque allemande contre l’URSS, la seconde offensive d’été des forces du Reich conduit les Allemands et leurs alliés roumains sur la Volga. Une gigantesque bataille – sans doute la plus meurtrière de la IIe Guerre mondiale – va opposer l’Armée Rouge et la Wehrmacht en un duel sans merci à Stalingrad.

Du 17 juillet au 18 novembre 1942, les forces allemandes engagent une offensive qui mène les soldats de Hitler jusqu’au cœur de la grande ville industrielle. Mais le 19 novembre, les armées de Staline lancent une fantastique contre-attaque qui aboutit le 2 février 1943 à la capitulation du maréchal von Paulus et des hommes placés sous son commandement.

Les forces du Reich ont perdu 250 000 tués et près de 100 000 prisonniers dont 90 % ne reviendront jamais des camps soviétiques. La perte de Stalingrad marque l’échec définitif de l’attaque allemande contre l’URSS et constitue le grand tournant de la guerre. Désormais, à l’Est comme à l’Ouest, les Alliés vont progresser sur tous les fronts.

Normand et Européen tout ensem­ble, Jean Mabire (1927-2006) est l’auteur d’une centaines de livres, dont de nombreux récits historiques sur la Nor­mandie, la IIe Guerre mondiale, les re­ligions nordi­ques et la littérature…

Du même auteur

Aux éditions Déterna

Les SS au poing-de-fer
Panzers marsch !
La brigade Frankreich
La Division Wiking
La panzerdivision SS Wiking
La Division « Tête de mort » (Totenkopf)
Stalingrad
La division Charlemagne
Mourir pour Berlin
Mourir pour Dantzig
La Waffen SS, (signé Henri Landemer)
Les jeunes fauves du Führer
La panzerdivision SS Wiking
Les Panzers de la Garde noire

Aux éditions Dualpha

Que lire ? Portraits d’écrivains, 9 volumes parus
L’Internationale fasciste 1934-1939
La Torche et le Glaive
Rêve d’Europe

Aux éditions L’Æncre

Du bûcher à la guillotinepréface de Philippe Randa

Aux éditions Dutan

L’aquarium aux nouvellespréface de Philippe Randa

Biblio Magica

À travers la lecture d’un cahier inédit de vingt-quatre pages (reproduit en fac-similé) rédigé par le magicien amateur Adolphe Blind (1862-1925), relatif à sa légendaire bibliothèque genevoise, cet ouvrage propose une approche, englobant toutes les acceptions de l’adjectif « magique ». Continuer la lecture de Biblio Magica

La division « tête de mort ». Front de l’Est 1941-1945

De toutes les unités allemandes engagées sur le Front de l’Est, la division Totenkopf « Tête de mort » fut l’une des plus redoutables. Se targuant d’avoir été recrutés parmi les formations de l’Ordre noir SS, les combattants de choc qui servaient dans ses rangs étaient considérés comme des nationaux-socialistes fanatiques à qui on pouvait confier les plus dures missions.

C’est sur le Front de l’Est que la « Tête de mort » devait donner toute sa mesure ; elle y gagna une réputation qui amena tous les généraux à souhaiter son intervention dans leur secteur. La division participa à la grande attaque sur Leningrad et s’ouvrit de vive force un passage à travers la ligne Staline. Encerclée au sud-est du lac Ilmen, par un froid de – 40°, les combattants allemands, ravitaillés par avion, parvinrent à résister à tous les assauts russes.

Pratiquement réduite à néant après ces durs combats, la Totenkopf fut reformée en France et équipée de blindés. Elle participa à la reprise de Kharkov avant de devenir, quelques mois plus tard, une unité d’intervention que l’on engageait partout où le Front allemand craquait sous les coups de boutoir des forces soviétiques, lancées dans la course vers l’Ouest et le Reich lui­-même.

Les rares survivants de la formation se battirent en Autriche dans les derniers jours de la guerre. Ils furent livrés aux Soviétiques par les Américains. Bien peu revinrent des camps de prisonniers.

Normand et Européen tout ensem­ble, Jean Mabire (1927-2006) est l’auteur d’une centaines de livres, dont de nombreux récits historiques sur la Nor­mandie, la IIe Guerre mondiale, les re­ligions nordi­ques et la littérature…

Du même auteur

Aux éditions Déterna

Les SS au poing-de-fer
Panzers marsch !
La brigade Frankreich
La Division Wiking
La panzerdivision SS Wiking
La Division « Tête de mort » (Totenkopf)
Stalingrad
La division Charlemagne
Mourir pour Berlin
Mourir pour Dantzig
La Waffen SS, (signé Henri Landemer)
Les jeunes fauves du Führer
La panzerdivision SS Wiking
Les Panzers de la Garde noire

Aux éditions Dualpha

Que lire ? Portraits d’écrivains, 9 volumes parus
L’Internationale fasciste 1934-1939
La Torche et le Glaive
Rêve d’Europe

Aux éditions L’Æncre

Du bûcher à la guillotinepréface de Philippe Randa

Aux éditions Dutan

L’aquarium aux nouvellespréface de Philippe Randa

La division wiking

Dans l’enfer blanc : 1941-1943

Au printemps 1940, alors que la guerre à l’Ouest vient seulement de commencer, les Allemands ouvrent des bureaux de recrutement à Copenhague et à Oslo, à La Haye et à Anvers. Au nom d’une idéologie « germanique », inspirée par de très lointains souvenirs historiques, ils vont ouvrir les rangs de la Waffen SS, garde prétorienne du régime national-socialiste, à des volontaires danois, norvégiens, hollandais et flamands. Par la suite, des engagés suédois, finlandais et même suisses seront réunis dans une formation militaire forte de près de vingt mille hommes : la division Wiking.

À sa tête, un ancien officier des troupes d’assaut de la Ire Guerre mondiale : Félix Steiner. La « division des huit nationalités » combattra sur le front de l’Est dès les premiers jours de l’offensive de juin 1941 jusqu’aux ultimes engage­ments de mai 1945. Les volontaires germaniques franchissent les frontières de l’Union Soviétique, participent aux grandes batailles d’encerclement de l’Ukraine, prennent et perdent Rostov-sur-le­Don. C’est alors le terrible hiver sur le Mious.

Au printemps 1942, l’offensive reprend vers le Caucase. Les grenadiers de la division Steiner vont se battre au pied des plus hauts sommets et tenter désespérément d’atteindre Bakou et les puits de pétrole de la mer Caspienne.

L’échec de l’offensive du printemps 1942 annonce le désastre allemand de Stalingrad. La division Wiking doit se replier au cours d’une hallucinante retraite d’hiver, marquée par les combats les plus implacables contre l’ennemi et contre le froid glacial. Au printemps 1943, il ne reste plus que quelques survivants parmi les premiers volontaires, quand l’unité est reformée en Panzerdivision et gagne de nouveaux champs de bataille, toujours sur le front d’Ukraine.

Normand et Européen tout ensem­ble, Jean Mabire (1927-2006) est l’auteur d’une centaines de livres, dont de nombreux récits historiques sur la Nor­mandie, la IIe Guerre mondiale, les re­ligions nordi­ques et la littérature…

Du même auteur

Aux éditions Déterna

Les SS au poing-de-fer
Panzers marsch !
La brigade Frankreich
La Division Wiking
La panzerdivision SS Wiking
La Division « Tête de mort » (Totenkopf)
Stalingrad
La division Charlemagne
Mourir pour Berlin
Mourir pour Dantzig
La Waffen SS, (signé Henri Landemer)
Les jeunes fauves du Führer
La panzerdivision SS Wiking
Les Panzers de la Garde noire

Aux éditions Dualpha

Que lire ? Portraits d’écrivains, 9 volumes parus
L’Internationale fasciste 1934-1939
La Torche et le Glaive
Rêve d’Europe

Aux éditions L’Æncre

Du bûcher à la guillotinepréface de Philippe Randa

Aux éditions Dutan

L’aquarium aux nouvellespréface de Philippe Randa

La fin d’un monde

L’An 1914 : la guerre dont tout le monde voulait

La conception que l’on se fait, de nos jours, de l’année fatidique 1914 reste encombrée d’idées reçues, fausses pour la plupart. À cette époque, la France est un pays dynamique, moins que le Reich ou les USA, mais au moins autant que la Grande-Bretagne.

Pays de monnaie stable depuis 120 ans, la France est en grande partie une société fermée, sauf pour ceux qui bénéficient des ascenseurs sociaux politiques, communautaires ou maçonniques. En aucun cas, la IIIe République n’est cette méritocratie, présentée par de curieux historiens conventionnels. On comprend que, dans un pays où les jeunes gens virils et doués de talents, mais dépourvus de fortune ou de piston, n’ont pratiquement aucun avenir, sauf à épouser une dot ou des relations, la guerre, avec son aura d’aventures et de gloire, exerce un attrait… cela est vérifié, d’ailleurs, en presque tous les pays européens ou au Japon.

L’armée française est la seconde de la planète par ordre de puissance, derrière l’allemande. Elle est toutefois encombrée de généraux plus que médiocres, ayant été nommés par l’effet du favoritisme radical et maçonnique depuis les années 1899-1906, soit les années de la revanche de ce syndicat dreyfusard, dont divers historiens voudraient faire croire qu’il n’a jamais existé.

Dès l’An 14, apparaissent de bons chefs de guerre : les stratèges Gallieni et Lanrezac et les tacticiens Pétain et Franchet d’Espèrey, qui révèleront ensuite de grands talents de stratège.

L’été 14 est à la fois le triomphe des chauvinismes presque partout en Europe et la saison du massacre pour des centaines de milliers de soldats français et russes, à un moindre degré allemands, menés à l’abattoir par des officiers inaptes aux conditions de la guerre moderne, où les machines à tuer dictent leur loi.

Le docteur Bernard Plouvier, médecin honoraire des hôpi­taux, a été in­ter­ne des hôpitaux puis chef de clinique au CHU de Lille, élu mem­bre de l’Académie des Scien­ces de New York en mai 1980. De 1979 à 2009, il a été chef de service hospitalier, spécialisé en Méde­cine interne, puis a été pneumologue des hôpitaux de 2009 à 2011. Il est l’auteur de nombreux ouvrages historiques et d’essais politiques.

 

Du même auteur
aux éditions Dualpha

Collection « Vérités pour l’Histoire »

Hitler, une biographie médicale et politique
– tome 1 : L’Essor
– tome 2 : La Conquête du Pouvoir
– tome 3 : Les Triomphes des années de paix
– tome 4 : Les Triomphes d’un homme pressé
– tome 5 : Crimes et amorce du désastre
– tome 6 : La fin de l’aventure
Pie XII contre Hitler
L’Affaire Galilée. Une supercherie du sot XIXe siècle ?
La ténébreuse affaire Dreyfus, préface de Philippe Randa
– tome 1 : Anticatholicisme et antijudaïsme ; – tome 2 : L’affaire Dreyfus : nouveaux regards L’énigme
Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel
Points de détail controversés sur le IIIe Reich et la IIe Guerre mondiale, 2e édition
Faux et usages de faux en Histoire
Traîtres et comploteurs dans l’Allemagne hitlérienne
Dictionnaire de la Révolution française
François d’Assise. L’utopie évangélique et l’attente de la Parousie
Les Juifs dans le Reich hitlérien
– tome 1 : De l’opulence à la tragédie (1873-1938) ; – tome 2 : Du nouvel avant-guerre au culte de la Shoah (1938-…)
Les Juifs de France durant la IIe Guerre mondiale (volume 1)
Les Juifs de France durant la IIe Guerre mondiale (volume 2)
La fin d’un monde. L’An 14 : la guerre dont tout le monde voulait
L’hécatombe (septembre 1914 – mai 1917)
Les illusions de la victoire (juin 1917 – novembre 1919)
Aspects méconnus du IIIe Reich au crible du non-conformisme
Dignitaires connus ou méconnus du IIIe Reich (suivi de) La conduite hitlérienne de la guerre
Le Führer et le Duce (volume 1)
Le Führer et le Duce (volume 2)
Verbatim d’un délire sanitaire (Covid-19 Incompétence, panique et gros mensonges ), avec Philippe Randa

aux éditions Déterna
Collection « Documents pour l’histoire »

Le Führer et son image (1889-1939)
Le Führer en guerre (1939-1945)
Le Führer dans l’intimité (1925-1945)

Le Reich maudit (volume 1)
Le Reich maudit (volume 2)

aux éditions de l’Æncre
Collection « Patrimoine des religions »

Jésus de Nazareth le grand consolateur, 2e éd.

Collection « Nouveaux enjeux du XXIe siècle »

Décadence et invasion : la destinée de l’Occident

Collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux »

Réflexions sur le Pouvoir. De Nietzsche à la Mondialisation
Le XXIe siècle ou la tentation cosmopolite
Le devoir d’insurrection

aux éditions Synthèse nationale
Collection « Cahier d’histoire du nationalisme »

Le NSDAP ou Parti National-Socialiste des Travailleurs Allemands

Collection « Les Bouquins de Synthèse »

Le Populisme ou la véritable Démocratie

Traîtres et comploteurs dans l’Allemagne hitlérienne

Les historiens professionnels, qu’ils soient universitaires ou académiciens, gens fort prudents et généralement soucieux de plaire aux puissants, les auteurs mondains, personnes avisées, désireuses de séduire le grand public, n’insistent guère sur le rôle des traîtres dans l’obtention d’une victoire. Tout au plus insistent-ils sur le brio des agents de renseignements du camp victorieux. Encore minimisent-ils leur importance pour ne pas déplaire aux seigneurs de la guerre : les chefs des États victorieux et leurs maréchaux et commandants d’armées et de groupes d’armées, dont il convient de ne surtout pas ternir la gloire, voire simplement de la faire partager.

Écrire l’histoire militaire de la IIe Guerre mondiale, sans tenir compte du nombre ahurissant de traîtres du côté allemand, est une spécialité universitaire et académique fort appréciée de nos jours, mais qui rend strictement impossible la compréhension de bien des événements des années 1939-1945.

Les agents recruteurs du Komintern et ceux du GRU ont trouvé, avant, puis durant, la guerre, quantité de traîtres dans l’aristocratie, mais aussi dans le corps des officiers d’états-majors et des hauts-fonctionnaires ministériels (les diplomates préférant généralement trahir en faveur des Alliés occidentaux, jugés plus raffinés). Ils ont misérablement échoué, en revanche, à débaucher de façon significative savants, techniciens et ouvriers, qui se sont révélés farouchement patriotes jusqu’à la débâcle, pour la quasi-totalité d’entre eux.

Par ailleurs, c’est dans les milieux aristocratiques, singulièrement ceux qui avaient de fortes attaches cosmopolites, et chez les officiers de métier qu’il faut chercher les deux tiers des comploteurs qui, à plusieurs reprises durant une guerre qui fut la plus formidable et la plus meurtrière de toutes, une guerre qui ne pouvait se terminer que par l’anéantissement de l’un des ennemis en lice, ont trahi leur serment de fidélité au chef de l’État-chef des Armées.

Il est évident qu’à présenter les faits tels qu’ils furent et non tels qu’une historiographie repentante les expose usuellement, l’on s’expose à se faire mal considérer des bien pensants… aussi bien ce livre n’est-il pas fait pour eux.

Le docteur Bernard Plouvier, médecin honoraire des hôpi­taux, a été in­ter­ne des hôpitaux puis chef de clinique au CHU de Lille, élu mem­bre de l’Académie des Scien­ces de New York en mai 1980. De 1979 à 2009, il a été chef de service hospitalier, spécialisé en Méde­cine interne, puis a été pneumologue des hôpitaux de 2009 à 2011. Il est l’auteur de nombreux ouvrages historiques et d’essais politiques.

 

Du même auteur
aux éditions Dualpha

Collection « Vérités pour l’Histoire »

Hitler, une biographie médicale et politique
– tome 1 : L’Essor
– tome 2 : La Conquête du Pouvoir
– tome 3 : Les Triomphes des années de paix
– tome 4 : Les Triomphes d’un homme pressé
– tome 5 : Crimes et amorce du désastre
– tome 6 : La fin de l’aventure
Pie XII contre Hitler
L’Affaire Galilée. Une supercherie du sot XIXe siècle ?
La ténébreuse affaire Dreyfus, préface de Philippe Randa
– tome 1 : Anticatholicisme et antijudaïsme ; – tome 2 : L’affaire Dreyfus : nouveaux regards L’énigme
Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel
Points de détail controversés sur le IIIe Reich et la IIe Guerre mondiale, 2e édition
Faux et usages de faux en Histoire
Traîtres et comploteurs dans l’Allemagne hitlérienne
Dictionnaire de la Révolution française
François d’Assise. L’utopie évangélique et l’attente de la Parousie
Les Juifs dans le Reich hitlérien
– tome 1 : De l’opulence à la tragédie (1873-1938) ; – tome 2 : Du nouvel avant-guerre au culte de la Shoah (1938-…)
Les Juifs de France durant la IIe Guerre mondiale (volume 1)
Les Juifs de France durant la IIe Guerre mondiale (volume 2)
La fin d’un monde. L’An 14 : la guerre dont tout le monde voulait
L’hécatombe (septembre 1914 – mai 1917)
Les illusions de la victoire (juin 1917 – novembre 1919)
Aspects méconnus du IIIe Reich au crible du non-conformisme
« Vérité » historique et doute nécessaire sur le IIIe Reich et la IIe Guerre mondiale (1933-1945)
Dignitaires connus ou méconnus du IIIe Reich (suivi de) La conduite hitlérienne de la guerre
Le Führer et le Duce (volume 1)
Le Führer et le Duce (volume 2)
Verbatim d’un délire sanitaire (Covid-19 Incompétence, panique et gros mensonges ), avec Philippe Randa

aux éditions Déterna
Collection « Documents pour l’histoire »

Le Führer et son image (1889-1939)
Le Führer en guerre (1939-1945)
Le Führer dans l’intimité (1925-1945)
Le Reich maudit (volume 1)
Le Reich maudit (volume 2)
Berlin. De la défaite honorable à la barbarie soviétique (volume 1)
Berlin. De la défaite honorable à la barbarie soviétique (volume 2)
Berlin. De la défaite honorable à la barbarie soviétique (volume 3)

aux éditions de l’Æncre
Collection « Patrimoine des religions »

Jésus de Nazareth le grand consolateur, 2e éd.

Collection « Nouveaux enjeux du XXIe siècle »

Décadence et invasion : la destinée de l’Occident

Collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux »

Réflexions sur le Pouvoir. De Nietzsche à la Mondialisation
Le XXIe siècle ou la tentation cosmopolite
Le devoir d’insurrection

aux éditions Synthèse nationale
Collection « Cahier d’histoire du nationalisme »

Le NSDAP ou Parti National-Socialiste des Travailleurs Allemands

Collection « Les Bouquins de Synthèse »

Le Populisme ou la véritable Démocratie

D’Azzedine à Si Salah. Une étude sur « La paix des braves »

Préface de Jean-Pierre Blanchard.

Cette étude présente dans leur logique, des éléments épars, connus ou méconnus, et les assortis de commentaires et analyses de personnalités réputées pour l’intérêt qu’elles ont porté aux ­événements sur cette phase de la Guerre d’Algérie qui s’étend d’octobre 1958 à juin 1960. Elle ne débouche sur aucun jugement. Le lecteur conclura.

Il est toutefois surprenant qu’un tel sujet n’ait pas été traité sur le fond avant 1987, date de la parution de l’ouvrage de Pierre Montagnon L’affaire Si Salah. L’ouvrage qui vous est proposé aujourd’hui , dont le manuscrit a été rédigé en 1973, a été refusé à l’époque par plusieurs maisons d’édition au motif qu’il était « impubliable à ce jour. »

Le général De Gaulle, mort trois ans plus tôt, n’avait-il pas prévenu : « Personne ne parlera de l’affaire Si Salah. Et celui qui en parlera, n’en parlera pas longtemps. »

Au sortir d’une jeunesse algérienne et de l’avortement d’une vocation militaire qui a irrémédiablement fait « putsch » en 1961, Jean-Pierre Brun, s’est reconverti en juriste de terrain pour faire carrière dans l’industrie avant de terminer sa vie professionnelle comme délégué général d’un syndicat national patronal. Son humeur on ne peut plus vagabonde enfin retrouvée, il peut désormais s’adonner à sa vraie passion : l’Histoire et l’Algérianisme.

 

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chez le même éditeur

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J’étais dans l’OAS Métro Jeunes-1961-1962

Chroniques de l’Algérie françaisepréface de Jean Bourdier

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Une Presse nationale de combat 1960-197…, préface de Philippe Randa

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Algérie 54-62… Un autre jeunesse françaisepréface d’Yves Sarthe

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D’Azzedine à Si Salah. Une étude sur « La paix des braves », préface de Jean-Pierre Blanchard

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« L’esprit public » ou la dernière flibuste