Mesrine l’indompté

Presque trente ans après sa mort, Jacques Mesrine demeure l’ennemi public n°1 le plus célèbre de France.

De son enfance tumultueuse à ses années de célébrité, en passant par l’Algérie, ses rapports troubles avec l’OAS, ses évasions spectaculaires et ses braquages audacieux, Jean-Émile Néaumet et Philippe Randa ont reconstitué l’itinéraire exceptionnel de ce truand hors du commun. Pour ce faire, ils ont retrouvé plusieurs de ses complices, adversaires et relations qui, pour la première fois, ont accepté de parler. Des témoignages inédits qui permettent enfin de savoir qui était le véritable Jacques Mesrine…

Cette parution dans la collection « Visages de l’Histoire » est la 5e édition de ce livre.

Des mêmes auteurs,
aux éditions Dualpha

Les acteurs de la comédie politique, 2018, 2e éd.
Mesrine l’indompté, 2020, 5e éd.

Les grands enjeux du XXIe siècle

Les relations internationales depuis 1943.

Un monde, et même plusieurs, sépare la seconde moitié du XXe siècle et le début du XXIe : effondrement des valeurs religieuses, de l’autorité, explosion de l’individualisme et déification de la loi du marché en Occident sont couronnés à la fin du millénaire par la mondialisation et la globalisation financière qui l’accompagne.

Ce monde devenu désenchanté à la torpeur apathique de la fin du XXe siècle va être secoué par l’émergence de nouveaux dangers encore inconnus pour certains ou tenus à bas bruit pour d’autres : contestation de l’Ordre mondial occidental sous couvert d’islamisme radical ; risques économiques considérables à l’échelle d’une mondialisation devenue une bombe de moins en moins à retardement, compte tenu de l’interdépendance de toutes les économies nationales ; destruction de la Nature et surpopulation ; phénomènes migratoires à grande échelle enfin, constituent les grands enjeux du XXIe siècle…

Toute action suscite en réaction. Parfois la réaction est trop tardive ou inadaptée souvent pour des raisons idéologiques qui refusent de faire les choix salvateurs.

Le XXIe siècle est celui d’une nouvelle réaction, des Hommes comme de la Nature, aux excès inouïs et suicidaires à terme de la seconde moitié du XXe. C’est ce que tente de montrer cet ouvrage, à travers l’histoire politique du monde depuis le début de la fin du IIIe Reich à Stalingrad en 1943, jusqu’à la nouvelle déstabilisation du XXIe siècle que nous sommes en train de vivre.

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

Du même auteur
chez le même éditeur

Henri Rochefort ou la véritable liberté de la presse

La démocratie interdite

Histoire et formation de la pensée politique

L’Europe chrétienne ou la mémoire perdue (suivi de) La dictature démocratique

La Démocratie travestie par les mots

Les grands enjeux du XXIe siècle

L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020), préface de Philippe Randa

J’habite chez mon chat

L’écume de la mémoire

La justice dévoyée (Le gouvernement des juges), préface de Philippe Randa

La comédie de la liberté

Montségur, centre d’un imaginaire cathare

Dans son nouvel essai Montségur, centre d’un imaginaire cathare, Richard Raczynski se livre à un inventaire rigoureux d’une his­toire où légendes et imaginaire s’invitent encore et toujours dans les différentes per­cep­tions d’un mythe.

On reprochait pêle-mêle aux Ariègeois, une trop grande tolérance à l’égard des Juifs, mais aussi les présences successives et avérés de doctrines religieuses incompatibles avec les canons édictés. On retrouvait les influences croissantes du priscillianisme, des manichéens (dualisme de Manès) mêlées aux doctrines orientales gnostiques, de l’arianisme Goth, voire des croyances étranges, qualifiées « d’indigènes ». Un terreau fertile à la propagation des idées cathares, déjà très structurés, affichant dans leurs actes, un dénuement proche de l’église primitive, loin des postures du clergé et de son pape Innocent II (1161-1216).

Si la « version officielle » propose le récit historique d’un roi Philippe Auguste (1165-1223), cédant aux instances du pape en acceptant la Croisade, on pourrait inversement pointer l’unique volonté royale d’annexion, utilisant avec habilité la vindicte papale et une richesse d’un Sud païen jetée en pâtures aux pauvres chrétiens du Nord, futur prétexte au sac de Béziers (1209). Peut-on s’interroger sur un rendez-vous manqué par les cathares, avec l’histoire, leur histoire ? Ont-ils été manipulés, devenant les pièces d’un échiquier, au centre d’une stratégie façonnée par les comtes de Tou­louse ? Et si à l’opposé, les comtés de Toulouse et de Lusignan étaient enfin parvenus à sceller un accord politique, peut-être serions-nous devenus une nation cathare ?

Sommaire

Une région et son Histoire… L’Ariège terre de trésors ?… Une perception du catharisme, parmi d’au­tres… Montségur, une passion Polaire… Fouilles à Montségur (1931-1958)… Mont­ségur et le nazisme : des « fan­tasmes à la réalité »… Les Visiteurs… Rituel Catha­re… De la renaissance… Le Graal… Simon de Montfort, le grand sauveur… Chrono­logie Cathare (1145-1321)… Aperçu biblio­graphique (non-exhaustif) sur le catha­risme… Des passions pour des lieux et des luttes qui viennent le plus souvent s’inscrire dans la relec­ture d’un héritage proche du romanes­que, aux contenus incertains.

Richard Raczynski, passionné par la grande Aventure des sciences humaines, est l’auteur aux éditions Dualpha d’une trentaine de livres traversés par les souffles du mystère et de la découverte.

Du même auteur
chez le même éditeur

Guide du Paris initiatiquepréface de Dominique de Lagaye
En quête maçonnique, 2e éd.
Un dictionnaire du Martinisme (essai sur)préface de Michel Gaudart de Soulages, 2e éd.
Un Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes
Deuxième Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes
Troisième Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes
Paris, Capitale de l’Art Magique
Énigmes et Mystères Historiques. Entre mythe et réalité
Le Manuscrit inachevé
Biblio Magica. Recueil de notices développé depuis un cahier du professeur Magicus (Adolphe Blind)
La Peur spectacle
Traité de l’insolitepréface de Philippe Randa
Montségur, centre d’un imaginaire cathare
Les Maîtres Invisibles
Bibliographie de l’occultisme
Anthologie de l’Ésotérisme modernepréface de Jean-Claude Jézéquel, 2e éd.
La Fraternité des polaires
L’énigme Jean Marquès-Rivière
SATOR. Essai sur un carré fascinant
L’affaire William Morgan
Le défi de l’Intelligence Artificielle
Agarttha. En des vies souterraines
Mystérieuses sphères du Costa Rica
La simulation informatique

en collaboration
chez le même éditeur

Actes du Symposium de Memphis-Misraïm. L’Aventure spirituelle, aperçu historique du rite de Memphis-Misraïm, 30 mai 2009.

Pour suivre l’actualité de l’auteur :

refletsdupasse.blogspot.com

White Power ! George Lincoln Rockwell, le Führer américain

Dans la culture populaire américaine, il existe deux Rockwell. Le « gentil » : Norman Rockwell, le peintre adulé de la vie quotidienne des classes moyennes, l’illustrateur hyperréaliste des couvertures du Saturday Evening Post pendant plus de quarante ans, le « peintre préféré de l’Amérique. »

Et puis il y a le (très) « méchant » : George Lincoln Rockwell, le fondateur de l’American Nazi Party (ANP), le champion de la provocation et de l’exubérance assumées, le créateur et le promoteur indomptable du « White Power », le supposé « homme le plus haï d’Amérique », celui dont l’une des biographies a tout simplement été intitulée : Hate ! Tout un programme, à première vue.

Comment expliquer cette notoriété qui perdure encore, cinquante ans après sa disparition? Certes, bien que l’American Nazi Party n’ait jamais revendiqué plus de 300 adhérents « actifs » (les fameux Stormtroopers) sur tout le territoire américain, chacune de leurs « prestations » était amplement commentée dans les journaux de l’époque. Et la personnalité même de Rockwell avait quelque chose de fascinant : décoré lors de deux guerres à de multiples reprises, très intelligent, cultivé, séducteur, excellent communicateur, il sut par ailleurs se montrer extrêmement courageux lors des affrontements « physiques ». En outre, son passé de publiciste lui permit de connaître toutes les ficelles pour embraser et provoquer inlassablement les médias, pendant les neuf ans que dura sa « croisade » antisystème.

Mais cela ne suffit pas à expliquer pourquoi l’homme que « l’Amérique aimait haïr » n’est pas encore, à l’instar de tous ces innombrables fondateurs de groupuscules, tombé dans les oubliettes de l’Histoire du XXe siècle.

La véritable raison de cette pérennité ne serait-elle pas que George Lincoln Rockwell clamait bien haut ce que beaucoup de ses compatriotes pensaient (et pour certains, continuent à penser) tout bas ? Et qu’à contrario du « bon » Rockwell, il peignait l’Amérique telle qu’elle était vraiment : violente, inégalitaire, phagocytée, décadente, corrompue ? Franchement, l’Amérique a-t-elle beaucoup changé depuis le 25 août 1967, jour de son assassinat à Arlington, en Virginie ? Le spectre du « méchant » Rockwell n’est pas prêt de finir de hanter l’Amérique idéale de son « gentil » homonyme.

Paul-Louis Beaujour, auteur de plusieurs biographies retentissantes (Jean Boissel, Nathan Bedford Forrest, George Lincoln Rockwell, Ian Stuart Donaldson, David Duke), continue à faire revivre ces « maudits de l’Histoire » pour lesquels il a une incontestable prédilection.

Du même auteur
Aux éditions Déterna

Jean Boissel et Le Front Franc ou La vraie vie du « Neuneuil » de Céline, préface de Philippe Randa

Nathan Bedford Forrest

Johann Rattenhuber, l’Ange gardien du Führer

White Power ! George Lincoln Rockwell, le Führer américain

Ian Stuart. La voix du rock anticommuniste

Histoire du Ku-Klux-Klan (1865-1973)

David Duke chevalier de l’Amérique Blanche

Des Prêtres au service du IIIe Reich

Les musiciens maudits

Larry Thorne terreur des Rouges

Plaidoyer pour Joseph McCarthy, préface d’Alain Sanders

Aux éditions Synthèse nationale
Colin Jordan, pour la race et la nation ( Cahiers d’Histoire du nationalisme)

Les jeunes fauves du Führer

La division SS Hitlerjugend dans la bataille de Normandie

Saignée par les durs combats du front de l’Est et frappée en son cœur par les bombardements aériens, l’Allemagne nationale-socialiste connaît en 1943 de graves difficultés pour lever et armer de nouveaux combattants. En cette année capitale de la guerre, le chef de la jeunesse du Reich, Arthur Axmann, propose de former une division entièrement composée de volontaires trop jeunes encore pour être appelés sous les drapeaux. Ils sont âgés de seize ou dix-sept ans et ont tous reçu depuis leur enfance l’impitoyable éducation virile de la jeunesse hitlérienne. Enthousiastes jusqu’au fanatisme, ils sont prêts à tous les sacrifices et à tous les exploits. Vingt mille d’entre eux vont former une division blindée de la Waffen SS. Celle-ci sera baptisée Hitlerjugend et deviendra la « Jeune Garde » du IIIe Reich.

Encadrés par de jeunes officiers ayant vécu toutes les campagnes de la Pologne à l’Ukraine, ils se trouvent en Normandie quand débarquent les armées alliées, à l’aube du 6 juin 1944. La division Hitlerjugend reçoit l’ordre de contre-attaquer dès le lendemain et de rejeter les assaillants à la mer. Mais « le jour le plus long » a déjà décidé du sort de la bataille ! Les jeunes SS montent vers le front sous un terrible bombardement aérien et parviendront tout juste à verrouiller la route de Caen. Pendant plus d’un mois, ils vont se battre, de ferme en ferme et de haie en haie contre les Canadiens, subissant des pertes effroyables, mais s’accrochant au moindre repli de terrain. Le commandant Fritz Witt est tué dès les premiers jours du combat et un général de trente-trois ans, Kurt Meyer, surnommé Panzermeyer (Meyer-le-blindé), le remplace. Les Alliés, qui nommaient la Hitlerjugend, la « baby’s Division », découvrent qu’ils ont en face d’eux les plus coriaces et les plus féroces des adversaires.

Après la chute de Caen, les jeunes SS ne peuvent plus aligner que deux « Kampfgruppen » d’un demi-millier de grenadiers chacun. Mais ils continuent la lutte pour tenir Falaise et protéger le flanc nord de la « poche » où se trouvent prises au piège les armées allemandes de Normandie. Soixante grenadiers se battront seuls contre plusieurs régiments canadiens dans la cité natale de Guillaume le Conquérant, avant de se faire tuer plutôt que de se rendre. Seuls Panzermeyer et quelques dizaines de jeunes SS parviendront à percer les lignes, le 20 août 1944 et à franchir la Dives. La division Hitlerjugend se trouve pratiquement anéantie à la fin de la bataille de Normandie.

Normand et Européen tout ensem­ble, Jean Mabire (1927-2006) est l’auteur d’une centaines de livres, dont de nombreux récits historiques sur la Nor­mandie, la IIe Guerre mondiale, les re­ligions nordi­ques et la littérature…

Du même auteur

Aux éditions Déterna

Les SS au poing-de-fer
Panzers marsch !
La brigade Frankreich
La Division Wiking
La panzerdivision SS Wiking
La Division « Tête de mort » (Totenkopf)
Stalingrad
La division Charlemagne
Mourir pour Berlin
Mourir pour Dantzig
La Waffen SS, (signé Henri Landemer)
Les jeunes fauves du Führer
La panzerdivision SS Wiking
Les Panzers de la Garde noire

Aux éditions Dualpha

Que lire ? Portraits d’écrivains, 9 volumes parus
L’Internationale fasciste 1934-1939
La Torche et le Glaive
Rêve d’Europe

Aux éditions L’Æncre

Du bûcher à la guillotinepréface de Philippe Randa

Aux éditions Dutan

L’aquarium aux nouvellespréface de Philippe Randa

La Démocratie travestie par les mots

Les mots ont-ils un sens ? Ou comment manipuler les codes habituels de la communication pour travestir les notions et les valeurs de ce qui constitue l’identité d’un peuple, d’une nation ou d’une civilisation. C’est ce que tente de démontrer l’ouvrage de Richard Dessens à travers une trentaine de mots ou de concepts utilisés par les penseurs de la démocratie moderne de l’après-guerre.

Au-delà de l’instrumentalisation d’une pensée caricaturale et simplificatrice, c’est la liberté concrète d’expression et de diffusion qui est posée pour quiconque tenterait de vouloir débattre ou contredire un politiquement correct de circonstance, ou des évidences sociétales en réalité vidées de toute substance, mais excluantes et dictatoriales. Jamais l’intolérance, l’inculture institutionnalisée et l’outrance n’ont été aussi palpables, sous couvert de liberté et de principes démocratiques.

C’est aussi le constat dramatique de la fin de la politique qui domine dans les lignes de cet abécédaire désenchanté, politique rejetée et méprisée au profit d’un individualisme de consommateur qui a tué ce qu’il subsistait des valeurs citoyennes de la république.

Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.

 

Du même auteur
chez le même éditeur

Henri Rochefort ou la véritable liberté de la presse

La démocratie interdite

Histoire et formation de la pensée politique

L’Europe chrétienne ou la mémoire perdue (suivi de) La dictature démocratique

La Démocratie travestie par les mots

Les grands enjeux du XXIe siècle

L’irrésistible ascension de l’Europe des peuples (2016-2020), préface de Philippe Randa

J’habite chez mon chat

L’écume de la mémoire

La justice dévoyée (Le gouvernement des juges), préface de Philippe Randa

La comédie de la liberté

Le Führer dans l’intimité (1925-1945)

(Le Führer et son image – volume 3)

S’il fallait en croire divers auteurs inspirés par la haine ou perdus dans les nuées psychanalytiques, Adolf Hitler serait un monstre, passé d’une liaison incestueuse avec sa maman à une intense sexualité de type sadomasochiste – à forte tonalité stercorale, ce qui renseigne a contrario sur les fantasmes des littérateurs –, sans oublier, bien sûr, d’insister sur sa cruauté pour les animaux, humains ou non.

Manifestement, ces poètes de l’écriture, nouveaux Homère de l’ordure, confondent la famille Hitler avec la si pittoresque famille Freud. Pour un public à la fois plus soucieux de réalité historique et moins typé, l’on propose des images qui ont le mérite de l’authenticité. Elles révèlent un homme simple, plus souriant qu’on ne l’a prétendu, cherchant quelques moments de détente auprès d’amis ni snobs ni sophistiqués, ou se déridant au contact de ses compatriotes, voire de visiteurs étrangers.

Certes, ce charmeur autrichien aimait conter fleurette aux jeunes et jolies femmes, mais on ne lui a connu que deux amours. L’un fut passionné, mais interdit par les lois de la génétique. L’autre fut empreint de tendresse et la jeune femme qui choisit de partager son destin en fut récompensée par un mariage in extremis. Rien de vulgaire ni même de scandaleux en tout cela. On comprend que les zélés serviteurs de la haine se soient mis à broder, pour compenser une réalité fort prosaïque.

Entretien avec l’auteur (extrait) ; propos recueillis par Fabrice Dutilleul.

… Vous présentez une vision entièrement différente de celle imposée à l’opinion publique par l’enseignement officiel et par les media. Comment la justifier ?

Bernard Plouvier : Très simplement : par la stricte honnêteté. Face aux événements dramatiques des années 1933-45, qui ont entremêlé guerre civile et guerre internationale, guerre économique et lutte de dogmes, haines ethniques et religieuses, l’honnête homme a besoin d’un éclairage aussi complet que possible pour se forger une opinion. Des dizaines de milliers de livres présentent un IIIe Reich démoniaque, vil, corrompu. Il n’est pas sûr que cette vision soit juste et impartiale. Ce régime ne fut pas idyllique ni irréprochable, c’est une absolue évidence. Mais a-t-il existé un régime politico-social parfait, voire un Âge d’Or ? Dans les contes de fées, peut-être. Dans la réalité, sûrement pas.

À chaque honnête homme, il appartient de porter un jugement sur telle ou telle période historique, mais seulement après avoir été pleinement informé. Et comme l’indiquent les vieux dictionnaires : l’Homme est un « terme générique qui embrasse la femme », enfin pas tous ni toutes !

 

 

Bernard Plouvier est l’auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d’Adolf Hitler en six volumes, de bio­­graphies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L’Affaire Galilée et L’Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d’essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu mem­bre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980.

 

Du même auteur
aux éditions Dualpha

Collection « Vérités pour l’Histoire »

Hitler, une biographie médicale et politique
– tome 1 : L’Essor
– tome 2 : La Conquête du Pouvoir
– tome 3 : Les Triomphes des années de paix
– tome 4 : Les Triomphes d’un homme pressé
– tome 5 : Crimes et amorce du désastre
– tome 6 : La fin de l’aventure
Pie XII contre Hitler
L’Affaire Galilée. Une supercherie du sot XIXe siècle ?
La ténébreuse affaire Dreyfus, préface de Philippe Randa
– tome 1 : Anticatholicisme et antijudaïsme ; – tome 2 : L’affaire Dreyfus : nouveaux regards L’énigme
Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel
Points de détail controversés sur le IIIe Reich et la IIe Guerre mondiale, 2e édition
Faux et usages de faux en Histoire
Traîtres et comploteurs dans l’Allemagne hitlérienne
Dictionnaire de la Révolution française
François d’Assise. L’utopie évangélique et l’attente de la Parousie
Les Juifs dans le Reich hitlérien
– tome 1 : De l’opulence à la tragédie (1873-1938) ; – tome 2 : Du nouvel avant-guerre au culte de la Shoah (1938-…)
Les Juifs de France durant la IIe Guerre mondiale (volume 1)
Les Juifs de France durant la IIe Guerre mondiale (volume 2)
La fin d’un monde. L’An 14 : la guerre dont tout le monde voulait
L’hécatombe (septembre 1914 – mai 1917)
Les illusions de la victoire (juin 1917 – novembre 1919)
Aspects méconnus du IIIe Reich au crible du non-conformisme
Dignitaires connus ou méconnus du IIIe Reich (suivi de) La conduite hitlérienne de la guerre
Le Führer et le Duce (volume 1)
Le Führer et le Duce (volume 2)

aux éditions Déterna
Collection « Documents pour l’histoire »

Le Führer et son image (1889-1939)
Le Führer en guerre (1939-1945)
Le Führer dans l’intimité (1925-1945)

aux éditions de l’Æncre

Collection « Patrimoine des religions »

Jésus de Nazareth le grand consolateur, 2e éd.

Collection « Nouveaux enjeux du XXIe siècle »

Décadence et invasion : la destinée de l’Occident

Collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux »

Réflexions sur le Pouvoir. De Nietzsche à la Mondialisation
Le XXIe siècle ou la tentation cosmopolite
Le devoir d’insurrection

aux éditions Synthèse nationale

Collection « Cahier d’histoire du nationalisme »

Le NSDAP ou Parti National-Socialiste des Travailleurs Allemands

Collection « Les Bouquins de Synthèse »

Le Populisme ou la véritable Démocratie

Bibliographie de l’Occultisme

Ouvrir ce livre, c’est franchir le seuil de la Librairie du Merveilleux et se plonger dans le Paris intellectuel et hermétique de la belle époque, à la rencontre de Pierre Dujols (1862-1926), « le plus fin joaillier des bibliophiles. »

Quels livres, quels mystères et quels secrets a-t-il révélé pour mériter ce titre ?

Qui fréquentait-il pour être ainsi au cœur de l’ésotérisme de son temps ?

De Fulcanelli au pré-maçonnique Dialogus de templo Salomonis, en passant par Paray-le-Monial, c’est ce que nous dévoile ici Richard Raczynski (auteur notamment d’un Dictionnaire du Martinisme, du Manuscrit inachevé et de Biblio Magica).

Cette mise en bouche étant achevée, il est temps d’accompagner l’auteur devant les vitrines du « plus fin joaillier des bibliophiles occultistes » et de le laisser nous présenter les secrets de quelques-uns des trésors du Dujols.

« Déjà auteur de 14 ouvrages depuis 2006, Richard Raczynski propose ici de partager une nouvelle étape de sa quête « merveilleuse », après avoir exploré durant 5 ouvrages la thématique maçonnique (dans laquelle j’inclus le martinisme, même si, en toute rigueur…) et, au cours de 6 opus, le monde parisien et international de la magie, enrichis d’ailleurs par un essai sur la peur spectacle. Sa curiosité, en effet, guide ses pas vers des lieux oubliés ou peu connus (c’est un bonheur de flâner dans Paris, son Guide du Paris initiatique à la main) et ses yeux sur des ouvrages inconnus du grand public, et parfois même des spécialistes, comme ce manuscrit inachevé, dont il a procuré l’édition en 2015 » (préface de Xavier B. Coordinateur (et contributeur) de Cent ans de spiritualité maçonnique. Histoire de la GLNF (Dervy, 2015) et Trois cents ans de Franc-maçonnerie).(Dervy, 2017).

« D’une érudition hors du commun dans les registres de l’étrange, du sensible et du secret, auteur de quinze ouvrages abordant avec maîtrise et justesse des disciplines imperméables au plus grand nombre, ésotérisme, mythologie, magie, il nous avait déjà beaucoup appris, et en citant scrupuleusement ses sources il nous avait déjà prouvé le sérieux de ses travaux, démontrant, s’il était encore besoin, sa crédibilité dans des domaines pour beaucoup considérés comme improbables. Avec ce nouvel ouvrage, Bibliographie de l’Occultisme, un monument, il nous fait partager ses sources nombreuses et détaillées et son érudition à mon avis aujourd’hui inégalée chez nos contemporains, un monument qu’il serait injurieux pour celui-ci de tenter de résumer. Il rend quelques hommages à des auteurs et des éditeurs passionnés, et notamment à l’un d’entre eux, celui-là plus appuyé que les autres,  Pierre Pujols, personnage emblématique, homonyme d’un avocat au Présidial de Cahors à la fin du XVIIe siècle pour qui s’est intéressé à l’histoire du département du Lot. J’ai appris qu’enfant conçu sur le tard par ses parents, il avait pour mère, une « Toinette”… Compliment à l’auteur de cet ouvrage, Richard Raczynski auquel je ne pense pas que l’on puisse opposer un quelconque compétiteur dans ses registres de prédilection ! » (Jean de Saint-Houardon).

Sommaire : Préface de X.B. – Préambule – I : De l’origine – II : Les Dujols, descendants d’une noblesse oubliée ? – III : Albéric-Alexandre Thomas, l’associé de Dujols – IV : Pierre Dujols – Albert Louis Caillet, du savoir au plagiat – V : Pierre Dujols – Les sources – VI : Pierre Dujols – Paray-le-Monial – VII : Pierre Dujols – Fulcanelli – VIII : Pierre Dujols – Dupiney de Vorepierre – X : Pierre Dujols – L’Explorateur – X : Pierre Dujols – Le cryptographe – XI : Pierre Dujols – L’Eubage de Sion – XII : Pierre Dujols – Aperçu des Livres proposés par la Librairie du Merveilleux – XIII : Pierre Dujols – Son Évocation à travers les livres – Épilogue – Répartition des 3501 références bibliographiques

Richard Raczynski, passionné par la grande Aventure des sciences humaines, est l’auteur aux éditions Dualpha d’une trentaine de livres traversés par les souffles du mystère et de la découverte.

Du même auteur
chez le même éditeur

Guide du Paris initiatiquepréface de Dominique de Lagaye
En quête maçonnique, 2e éd.
Un dictionnaire du Martinisme (essai sur)préface de Michel Gaudart de Soulages, 2e éd.
Un Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes
Deuxième Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes
Troisième Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes
Paris, Capitale de l’Art Magique
Énigmes et Mystères Historiques. Entre mythe et réalité
Le Manuscrit inachevé
Biblio Magica. Recueil de notices développé depuis un cahier du professeur Magicus (Adolphe Blind)
La Peur spectacle
Traité de l’insolitepréface de Philippe Randa
Montségur, centre d’un imaginaire cathare
Les Maîtres Invisibles
Bibliographie de l’occultisme
Anthologie de l’Ésotérisme modernepréface de Jean-Claude Jézéquel, 2e éd.
La Fraternité des polaires
L’énigme Jean Marquès-Rivière
SATOR. Essai sur un carré fascinant
L’affaire William Morgan
Le défi de l’Intelligence Artificielle
Agarttha. En des vies souterraines
Mystérieuses sphères du Costa Rica
La simulation informatique

en collaboration
chez le même éditeur

Actes du Symposium de Memphis-Misraïm. L’Aventure spirituelle, aperçu historique du rite de Memphis-Misraïm, 30 mai 2009.

Pour suivre l’actualité de l’auteur :

refletsdupasse.blogspot.com

La Waffen SS

Qui pourrait comprendre aujourd’hui cette remarque de Dominique Venner, ancien directeur de la collection « Corps d’élite » : « Le corps d’élite vit en marge du commun. Il n’est pas seulement capable de bravoure et d’efficacité supérieure. Il est la caste sacerdotale de la guerre. Il en sublime les vertus, en assume l’honneur, en célèbre les rites ». Et cet admirateur d’Ernst Jünger ajoutait : « Le soldat du corps d’élite est un initié. Il a subi les épreuves qui font de lui un autre homme. Il a découvert le secret de l’Ordre. Il est dépositaire du Graal. Un Graal masculin. »

Cette « inactualité significative » justifiait à elle seule la réédition du célèbre livre de Jean Mabire qu’il signa toujours du nom d’Henri Landemer.

Georges H. Stein, en 1971, avait publié un livre d’une érudition toute universitaire. Le principal restait peut-être dans l’ombre, à savoir que sur le million d’hommes et même davantage qui servirent sous la tête de mort, plus de la moitié n’étaient pas des citoyens allemands… On n’avait pas vu pareille situation depuis Napoléon et sa Grande Armée aux multiples contingents étrangers.

Présentes sur tous les fronts de 1939 à 1945 (à l’exception de l’Afrique du Nord), les unités de la Waffen SS firent preuve d’une grande combativité, essentiellement sur le front de l’Est, à partir de 1943. Au fil du temps, et surtout à partir de la fin de l’année 1942, elle intégra des troupes de toutes origines ; ces unités non allemandes furent largement majoritaires à partir de 1944, avec près de 700 000 hommes sur un total de près d’un million de membres de la Waffen SS pendant toute la durée du conflit. Son aventure militaire n’a jamais cessé de provoquer la fascination comme l’hostilité depuis plus d’un demi-siècle.

Lors du procès de Nuremberg, aucun membre de la Waffen SS ne figure parmi les vingt-quatre accusés du premier procès de Nuremberg, ni parmi les suivants et aucune action judiciaire ne fut menée contre la Waffen SS en tant que telle ou contre ses principaux dirigeants.

Normand et Européen tout ensem­ble, Jean Mabire (1927-2006) est l’auteur d’une centaines de livres, dont de nombreux récits historiques sur la Nor­mandie, la IIe Guerre mondiale, les re­ligions nordi­ques et la littérature…

Du même auteur

Aux éditions Déterna

Les SS au poing-de-fer
Panzers marsch !
La brigade Frankreich
La Division Wiking
La panzerdivision SS Wiking
La Division « Tête de mort » (Totenkopf)
Stalingrad
La division Charlemagne
Mourir pour Berlin
Mourir pour Dantzig
La Waffen SS, (signé Henri Landemer)
Les jeunes fauves du Führer
La panzerdivision SS Wiking
Les Panzers de la Garde noire

Aux éditions Dualpha

Que lire ? Portraits d’écrivains, 9 volumes parus
L’Internationale fasciste 1934-1939
La Torche et le Glaive
Rêve d’Europe

Aux éditions L’Æncre

Du bûcher à la guillotinepréface de Philippe Randa

Aux éditions Dutan

L’aquarium aux nouvellespréface de Philippe Randa

Hélie Denoix de Saint Marc, entre honneur et sainteté

Préface de Père Christophe Kowalczyk, aumônier catholique du 2e REI.

Pourquoi à des étudiants américains qui lui demandent quel est l’homme qui, en trente ans de journalisme, l’a le plus impressionné, Robert Soulé, grand reporter à France soir, répond-il sans hésitation « Hélie de Saint Marc ! » ?

Pourquoi le modeste légionnaire allemand Karl Ulbricht considère-t-il Hélie de Saint Marc, son capitaine et aîné de sept ans seulement, comme un père en qui il peut avoir toute confiance.

Pourquoi l’avocat général Reliquet qui requiert contre Saint Marc lors de son procès, reconnaît-il en lui « un soldat héroïque » ?

Pourquoi le général Challe dit-il de Saint Marc qu’il est certainement le plus pur de tous, alors que le capitaine Sergent affirme que la conscience de son camarade est de cristal ?

Pourquoi un officier du 1er REP évoque-t-il la pureté quasi sacerdotale de Saint-Marc ?

Pourquoi le général Zeller est-il tenté d’utiliser le terme « saint » pour qualifier Saint Marc qui, à ses yeux, paraît ne mériter aucun reproche ?

Héros ? Saint ? Bayard ou Louis IX de son époque ? Cet ouvrage s’efforce de répondre à cette rafale de questions qui prouvent bien que l’homme ne laissait personne indifférent.

Au sortir d’une jeunesse algérienne et de l’avortement d’une vocation militaire qui a irrémédiablement fait « putsch » en 1961, Jean-Pierre Brun (1942-2023), s’est reconverti en juriste de terrain pour faire carrière dans l’industrie avant de terminer sa vie professionnelle comme délégué général d’un syndicat national patronal. Son humeur on ne peut plus vagabonde enfin retrouvée, il a pu s’adonner à sa vraie passion : l’Histoire et l’Algérianisme.

 

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Aux éditions Atelier Fol’Fer

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